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    Rashômon
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    Eselce
    Eselce

    1 201 abonnés 4 238 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 14 mai 2016
    La même histoire racontée sous plusieurs versions différentes. Toutes sont peu palpitantes. A moins d'aimer le cinéma étranger des années 50… Personnellement, j'ai eu beaucoup de mal à aller jusqu'au bout de l'intrigue. Les différentes versions de l'histoire n'ont pas éveillé davantage d'attention que le final. Trop vieux et comprenant des plans trop longs pour une intrigue qui aurait pu se traduire en court métrage. Bof.
    JR Les Iffs
    JR Les Iffs

    61 abonnés 1 151 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 18 janvier 2016
    film japonais, de Akira Kurosawa, 1950

    C'est l'histoire d'un crime racontée de 4 façons différentes par les acteurs et les témoins, et même par l'esprit de celui qui a été tué. Le dernier témoignage semblant être la vérité. Dans une forêt, un bandit viole une femme et tue son mari. Un bûcheron découvre le cadavre. Dans un tribunal, les témoins racontent.

    Très beau film de Kurosawa. Totalement maîtrisé techniquement : photographie, travellings, cadrage, noir et blanc. Seulement trois décors : la porte Rashomon, la forêt, le tribunal. La même histoire est racontée différemment selon les protagonistes : où se situe la vérité ? Film sur le mensonge et la lâcheté des êtres humains. Le scénario est habilement raconté, le film est toujours intéressant, l'aspect japonais du film lui confère une qualité supplémentaire poétique et même philosophique. Un classique du cinéma mondial.
    Shephard69
    Shephard69

    281 abonnés 2 259 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 9 décembre 2015
    Ma première incursion dans le cinéma d'Akira Kurosawa est une claque monumentale. Sous des airs de scénario très simple, un film dont la mise en scène pleine de paraboles dans le développement de son intrigue est d'une complexité assez déconcertante, difficile d'accès. Le jeu volontairement exagéré des acteurs colle parfaitement avec l'ambiance de l'oeuvre. Puissant récit ou comment dévoiler la vérité à travers des témoignages totalement différents.
    MemoryCard64
    MemoryCard64

    36 abonnés 375 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 18 novembre 2015
    Je continue d'explorer sereinement la filmographie de Kurosawa avec Rashomon, un de ses films les plus acclamés, dont le synopsis m'a tapé dans l’œil (eh oui, les confessions, la question du point de vue, c'est pour moi). Ce film possédait tous les ingrédients pour m'envouter mais finalement ce ne fut pas complètement le cas. La toute première scène présente trois personnages réfugiés sous la porte de Rasho pour éviter une pluie torrentielle. Deux d'entre eux viennent d'assister à un terrible procès et en font part au troisième homme. On a donc déjà un certain recul puisque l'histoire est racontée. De plus, on revient régulièrement sur celui qui narre les événements. Il fait une synthèse de chaque témoignage, et le bruit de l'eau renforce cette sensation de détachement, de calme. La forêt est le seul autre élément naturel mis en avant, un peu dommage quand on connaît la virtuosité du cinéaste pour mettre en valeur des paysages. Il lui insuffle quand même une certaine ambiance. La musique orchestrale évoque au début un conte, puis la présence de plus en plus marquée des bois rend l'ensemble plus dramatique. Cela épouse l'évolution des personnages, qui se révèlent tous immondes, chacun à sa manière. Celui de Toshirô Mifune est le plus intéressant, dommage que sa prestation soit maladroite. Il a du mal à faire ressortir le côté caractériel du bandit sans en faire trop, c'est peut être le seul point négatif de ces "reconstitutions". Les interrogatoires, quant à eux, sont filmés en plan fixe, où seuls les accusés apparaissent, tour à tour. Ils s'adressent aux policiers se trouvant dans le hors-champ, derrière la caméra. Kurosawa dit clairement que nous sommes les seuls juges de ces personnages et que nous devons construire notre propre opinion sur eux. Et je trouve regrettable que toute la lumière soit faite sur cette affaire, laisser le spectateur choisir à quelle version il veut croire aurait été très intéressant, d'autant plus qu'on admet que le témoignage censé être le plus objectif pourrait être faux. Mais peut-être que le réalisateur a voulu laisser une part de mystère en ce qui concerne la toute fin, un peu trouble. Rashomon propose une histoire riche, au propos fort, mais malheureusement pas captivante. Au vu de la tournure que prenait le film, je m'attendais à ce qu'on nous demande de réfléchir, d'interpréter. Cela dit, l'intrigue reste agréable à suivre et bénéficie d'une réalisation efficace, Kurosawa n'ayant de toute manière plus grand chose à prouver.
    Redzing
    Redzing

    921 abonnés 4 296 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 janvier 2015
    Dans le Japon médiéval, un bandit est accusé d'avoir violé une femme, et tué son mari. Les acteurs du drame témoignent alors au tribunal (l'accusé, la femme, un bûcheron témoin, et même le fantôme de l'assassiné), sauf que chacun va livrer une version contradictoire, le mettant personnellement en valeur. "Rashomon" est connu pour ce scénario original, qui en inspirera bien d'autres, et qui mélange ces points de vue divergents pour montrer que la notion de vérité est subjective. Une métaphore de la narration, et en particulier du cinéma, où selon la manière dont le plan est travaillé ou monté, on peut développer des impressions très différentes. Le tout est filmé de manière très inspirée et fluide par Kurosawa, dans des décors minimalistes mais bien exploités. On notera également l'utilisation de jeux de lumières naturelles pour mettre en relief les vices de l'Homme. Enfin, le film est bien porté par ses acteurs, et notamment Toshiro Mifune en bandit euphorique. Un classique.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 21 janvier 2015
    Akira Kurosawa signe ici un magnifique film qui donne une immense leçon de vie. C'est d'une sensibilité incroyable, Le scénario est fantastique, la mise en scène et les acteurs nous apportent une bouffée d'air frais avec une justesse qui frise la perfection. L'homme est totalement remis en question et on se met nous même à douter de notre propre perception ! Le cinéma atteint là son paroxysme !
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 2 janvier 2015
    Akira Kurosawa est certainement comme le cinéaste le plus célèbre et le plus influent du Japon, son métrage Rashômon a d’ailleurs beaucoup influencé le cinéma américain. La réalisation est parfaite, l'idée de montrer la même scène de plusieurs point de vu différent est une excellente idée. En effet seul le point de vu extérieur est objectif car il est impossible de parler de soi sans amélioré son image. Le film comporte de nombreuse idées de montage, alternant entre le présent et le passée. L'histoire est vraiment bien écrite, on y retrouve les thèmes de l'honneur et de la dignité chère au Japon, et bien sûr le vol, qui est un grand déshonneur . Malheureusement, les acteurs ne sont pas de ce niveau, en effet la plupart surjoue et sont insupportable ( tout particulièrement Masago, qu'on a envie de claquer tout le long du film ). Au final, c'est un très bon film que nous offre Kurosawa, et surtout, culte.
    I Fucking Like Movies
    I Fucking Like Movies

    28 abonnés 186 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 16 décembre 2014
    Rashomon est un film qui ne manque pas de surprises, surtout pour un film de 1952. En effet le scenario en est l'aspect le plus original, et j'avoue n'avoir jamais rien vu de semblable au cinema, ou beaucoup de films semblent copies-colles les uns sur les autres.
    Dans ce film qui l'a revele au grans public, Akira Kurosawa croise et mele les recits et laisse au spectateur le soin de les demmeler et de se faire son avis sur la verite.
    Avec un casting plus que reduit (8 acteurs a l'ecran en tout), il realise un film d'une heure et demie avec bien plus de personnalites differentes qu'il y a de personnages. Le film montre en effet une grande diversite de jeux pour chacun des personnages principaux qui sont tres convaincants.
    Surprenant du debut a la fin, l'histoire gagne en interet a chaque nouveau chapitre et l'intention du realisateur ne se revele que vers la toute fin.
    Kurosawa utilise des procedes et des plans qui n'ont pas du tout vieillis dans de nombreuses scenes, et seule la qualite de l'image, du son ainsi que le noir et blanc nous montrent que le film est ancien.
    Rashomon est une oeuvre poetique qui nous ramene dans un passe lointain qui n'est pas le notre et ou, si les usages n'etaient pas les memes, les hommes eux n'etaient pas si differents d'aujourd'hui. Entre honneur et folie Kurosawa nous amene dans un ou la lame etait toute puissante, avec un talent de virtuose.
    JimBo Lebowski
    JimBo Lebowski

    361 abonnés 1 080 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 18 juillet 2014
    Mon premier Kurosawa, une expérience particulière pour moi qui ne suis personnellement pas un grand amateur de cinéma asiatique, et bien "Rashômon" va peut être m'en réconcilier ...
    Dans le Japon du XIème siècle frappé par la guerre civile trois hommes attendent la fin de la pluie sous la porte Rashô, l'un d'eux est troublé par la mort d'un homme dans la forêt et du procès du prétendu meurtrier, les témoignages divergent, qui croire ?

    Kurosawa nous soumet l'idée que l'homme est foncièrement médiocre, qu'il n'a plus foi en l'humanité, et nous l'expose par cette réalité altérée où tout les personnages montrent leurs failles au fur et à mesure du film, le tout dans un décor contrasté, des ruines pluvieuses aux forêts luxuriantes avec une utilisation presque onirique du clair obscur.
    À l'instar des hommes la nature reste bienveillante, leur rapport est intéressant, elle reste juste, qu'elle soit maternelle, punitive ou purificatrice, Kurosawa a su capter cette subtilité qui sublime son long métrage et sa narration. Sa mise en scène rend souvent les situations tragicomiques, tombant dans une exagération volontairement cynique (comme ce combat interminable dans l'avant dernière séquence), elle reflète sa vision exacerbée de la réalité, que l'homme ne cesse de corrompre autrui et lui même.
    Le procès est montré d'une bien étrange manière, on ne voit aucun juge, ils ne sont même pas suggérés, comme si au final nous étions seuls décisionnaires de cette affaire, et ce point de vue renforce l'introspection, ce qui ne manque tout de même pas de nous perdre devant ses témoignages où chacun semblent avant tout défendre son propre intérêt et honneur, le monde est pourri. Impossible d'avancer dans cette affaire, on fait du sur place face à la malhonnêteté des protagonistes, tout est relativement pessimiste quand à la vision que se fait Kurosawa de l'homme et de sa morale, et on ne peut qu'appuyer son propos.
    Qui croire ? Tajomaru ? Masago ? Le fantôme de Takehiro ? Même l'apparente sincérité du bûcheron est trompeuse, je ne pense pas que cette affaire soit résoluble, elle est ouverte à l'interprétation, mais finalement est ce utile de reconnaître le vrai du faux ? Je ne pense pas, Kurosawa veut juste redonner foi en l'humanité, symbolisé par ce dénouement où l'apparition de ce nouveau né permet d'éclaircir l'avenir de l'homme, ou du moins de l'entrevoir.

    "Rashômon" apparaît comme une œuvre sensitive, philosophique, relativement complexe en apparence mais qui arrive à retransmettre une véritable magie que ça soit dans la réalisation, la photographie et la mise en scène, les interprétations sont saisissantes. Pour un premier Kurosawa c'est extrêmement encourageant, j'ai vraiment été conquis et je vais forcément me résoudre à rattraper mon retard quand à sa filmographie.
    ned123
    ned123

    124 abonnés 1 662 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 juillet 2014
    J'ai vu un film... que je voulais voir depuis tellement longtemps, et je dois dire que je n'ai pas été déçu. Malgré le temps qui passe, la réalisation, les cadrage, le rythme de la narration sont incroyablement moderne... Et le récit s'écoule dans une dynamique forte. Le film évoque la dimension mutlti-angle du témoignage avec des points de vue différents sur une succession d'événements dramatiques, où la vérité n'est pas si "vraie" que ça... Les 3 personnages principaux sont vraiment impressionnants. Et j'ai adoré la force qui émanent des acteurs lors de leurs duels à l'épée, qui devait probablement ressembler pour les Samouraï à une joute brutale avec ahanements, cris et souffle, qu'à une chorégraphie où chaque geste est parfaitement orchestré, dans une précision extrême...Au niveau de la bande son, il m'a semblé reconnaître des élans du boléro de Ravel (ce qui je dois l'avouer, m'a parfois fait sortir du film...). Ce qui m'a également séduit dans ce film, c'est la découverte d'une part du Japon de 1950, d'autre part du Japon du passé... La position des femmes devait y être extrêmement précaire.. Quoi qu'il en soit ce film est un excellent film, même si parfois qq cris un peu trop stridents à mon goût venaient perturber mon attention.A voir.
    Lotorski
    Lotorski

    12 abonnés 588 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 juin 2014
    Un film japonais assez remarquable. Qui démontre magnifiquement, et de manière à peine exagérée, la propension de l'être humain à mentir en étant pourtant absolument persuadé d'être sincère. Ainsi l'égoïsme peut-il triompher tout en laissant les consciences au repos… Rashomon termine cette oeuvre extrêmement sombre et pessimiste par le rappel que de rares actes de pur altruisme existent bel et bien, ici ou là.
    Val_Cancun
    Val_Cancun

    47 abonnés 764 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 19 mai 2014
    "Rashômon" (1950) est le 1er long-métrage qu'il m'est donné de voir d'Akira Kurosawa, cette légende du cinéma asiatique. Choc des cultures forcément, car les codes du cinéma japonais de cette période (traitant en plus d'une époque moyenâgeuse) ont inévitablement déconcerté le cinéphile rompu aux références occidentales que je suis. Postures outrancières, combats interminables, éclats de rire malsains redondants, trouvent difficilement leur place dans ma grille de lecture...
    Passé ce trouble initial, on reconnaît aisément le talent de réalisateur virtuose qu'est Kurosawa, qui avait déjà derrière lui une bonne dizaine de films à son actif lorsqu'il tourne "Rashômon".
    Surtout, l'originalité majeure du film se situe dans la multiplicité des points de vue et des vérités opposées qui émergent de ces différents témoignages. Cette thèse de l'absence d'une vérité unique, particulièrement innovante en 1950, a depuis servi de modèle narratif à de nombreuses œuvres cinématographiques.
    Une découverte frappante, forcément difficile à noter.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 27 avril 2014
    La même histoire raconté selon les différents points de vue il semble que Kurosawa soit un des premiers réalisateurs à utiliser le procédé, en tout cas il l'utilise à fond. Il fait aussi un travail sur ses lumières.
    Grouchy
    Grouchy

    108 abonnés 1 033 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 10 avril 2014
    Bien avant ses sept samouraïs, Kurosawa introduit sa patte unique dans le cinéma japonais avec Rashomon, où il étudie le système des points de vue de personnages sur une scène de crime. Le film commence de façon classique avec les flash-backs qui devraient établir la vérité. Sauf que tout est perturbé par la découverte des témoignages trafiqués, par peur des représailles ou par intérêt personnelle, si bien qu'à la fin le spectateur ne sait plus quelle version était vraie. La mise en scène de Kurosawa se concentre sur la nature humaine sur laquelle il donne une vision pessimiste : le lieu de rendez-vous des trois témoins est un champ de ruine, métaphore de l'âme humaine, par la forêt où deux guerriers se disputent, à la manière de deux animaux, une pauvre femme désamparée. Les séquences de témoignages sont filmées comme une caméra posée sur une scène de théâtre : on n'entend pas les paroles des juges, seul le spectateur interprète chaque discours. Mais le film manque de rythme, les vraies et fausses vérités s'enchaînent jusqu'à lasser le spectateur qui s'aperçoit que finalement rien ne sera jamais confirmé dans l'affaire, et que le film termine sur une morale un peu bâclée. Ce n'est pas le meilleur film de Kurosawa, cependant il sert de tremplin à sa grande carrière dans son travail scénaristique et cinématographique.
    Benjamin A
    Benjamin A

    648 abonnés 1 922 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 7 mars 2017
    Un film qui me tient tout particulièrement à cœur car il a été ma porte d'entrée dans le cinéma de Kurosawa et le cinéma asiatique par la même occasion.

    Xème siècle, Japon, de fortes pluies, trois voyageurs, et plus précisément un moine, un bûcheron et un passant, se réfugient dans un temps en ruine. Le moine et le bûcheron sont terrifiés, notamment par le procès auxquels ils viennent d'assister. Le procès tourne autour d'un célèbre bandit accusé d'avoir violé une femme et tué son mari, un samouraï et ils vont forcer le troisième à écouter leurs récits.

    Voilà comment débute "Rashômon" d'Akira Kurosawa, le film qui le fit connaitre en occident notamment grâce à l'oscar d'honneur du meilleur film étranger ainsi que le lion d'or à la mostra de Venise. Il propose une structure narrative, inventive et somptueuse, où les crimes seront analysés selon différents points de vues, le moine, le bucheron, la victime ou encore l'accusé.

    Le récit, en forme de kaléidoscope s'avère très bien écrit et surtout passionnant, alors que cela reste toujours fluide et surtout on cherche la vérité à travers les propos de chacun des protagonistes, avec un rythme toujours maîtrisé et un suspense tenant de bout en bout, jusqu'à un dénouement final et une fin laissant encore le doute dans nos tête et qui s'avère réussi.

    De plus, son récit s'avère aussi d'une richesse intellectuelle, sans aucune lourdeur, se questionnant autour de la mort, la justice, la conscience ou encore la moralité. On admire aussi la qualité et la maîtrise technique et visuelle de Kurosawa, entre sa mise en scène moderne et dynamique, ses travellings, mouvements de caméras, jeux d'ombres ou encore ses cadrages. C'est virtuose à beaucoup de points de vues ! La photographie en noir et blanc est superbe tandis que les interprétations sont aussi impeccables et notamment Toshiro Mifune dans le rôle du bandit.
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