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    La Vierge, les Coptes et Moi
    Bande-annonce La Vierge, les Coptes et Moi
    29 août 2012 en salle | 1h 31min | Comédie, Documentaire
    De Namir Abdel Messeeh
    |
    Par Namir Abdel Messeeh, Nathalie Najem
    Avec Siham Abdel Messeeh, Namir Abdel Messeeh
    Presse
    3,5 15 critiques
    Spectateurs
    3,4 268 notes, 62 critiques
    VOD
    noter :
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    Synopsis

    Namir part en Égypte, son pays d'origine, faire un film sur les apparitions miraculeuses de la Vierge au sein de la communauté copte chrétienne. Comme dit sa mère «Il y a des gens qui la voient, il y a des gens qui ne la voient pas. Il y a peut-être un message dans tout ça. »

    Très vite l'enquête lui sert de prétexte pour revoir sa famille, et pour impliquer tout le village dans une rocambolesque mise en scène…

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    En VOD / Blu-Ray, DVD
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    Bande-annonce

    La Vierge, les Coptes et Moi Bande-annonce VF 1:58
    La Vierge, les Coptes et Moi Bande-annonce VF
    310 581 vues

    Interview, making-of et extrait

    Qu'est-ce que l'ACID ? 5:31
    Qu'est-ce que l'ACID ?
    34 293 vues

    Acteurs et actrices

    Siham Abdel Messeeh
    Rôle : Elle-même
    Namir Abdel Messeeh
    Rôle : Lui-même

    Critiques Presse

    • L'Humanité
    • L'Obs
    • La Croix
    • Le Figaroscope
    • Le Monde
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    Critiques Spectateurs : ils ont aimé

    Meilleures critiques les plus utiles
    jeanmarcd
    jeanmarcd

    9 abonnés 174 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 septembre 2012
    Un filme généreux, drôle mais qui ne cherche pas à nier le poids des religions en Égypte rurale.
    Un œil bienveillant mais plein d'humour envers les habitants du village.
    A voir absolument : un film qui fait du bien !
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 1 septembre 2012
    Film un peu marginal et (sans doute) à très petit budget, "La Vierge, les Coptes et moi" nous raconte le périple, peut-être purement documentaire (en fait on ne sait pas si c'est une histoire inventée ou bien une histoire réelle), de Namir, Egyptien d'origine et de religion copte (les chrétiens d'Egypte qui ne se sont pas convertis à l'islam lors de l'invasion arabe), vivant en France depuis toujours ou presque, dans son village natal où ...
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    Christoblog
    Christoblog

    726 abonnés 1 605 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 septembre 2012
    Il y a parfois de petits miracles dans le système de distribution français. Qu'une fenêtre de sortie ait pu être trouvée pour un film aussi saugrenu que La Vierge, les Coptes et moi en est un. J'avais entendu parler de ce film à Cannes : ceux qui l'avait vu dans le cadre de la souvent passionnante programmation ACID en parlaient avec un filet d'émotion dans la voix. Le prétexte est insensé pour un premier film : le réalisateur ...
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    ninilechat
    ninilechat

    66 abonnés 564 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 septembre 2012
    Bon, l'humour copte est carrément moins acide que l'humour kurde (à propos, où est passé le génial Hiner Saleem? Il nous manque!). L'humour copte est gentillet.... Namir Abdel Messeeh (lui même!) est cinéaste et copte et vit à Paris, non loin de ses parents, peu pratiquants. Lui même est si mécréant qu'il a demandé que la mention de sa religion soit effacée de son passeport. Mais à une fête de famille, une tante arrive ...
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    Photos

    Secrets de tournage

    Premier long métrage

    La Vierge, les Coptes et Moi est le premier long métrage de Namir Abdel Messeeh. Après avoir suivi des études à la Fémis, le réalisateur égyptien s'est lancé dans la pratique en 2005 en réalisant un court métrage intitulé Quelque chose de mal, suivi du documentaire Toi, Waguih. Il a par la suite consacré trois ans à la réalisation de ce film.

    Du documentaire à la fiction

    Au départ, Namir Abdel Messeeh a voulu réaliser un documentaire sur les apparitions de la Vierge en Égypte. En allant à la rencontre de ses proches, qui ont vécu ces apparitions, pour les interroger, le projet a pris une toute autre tournure pour le cinéaste, devenant une sorte de "fiction" dans laquelle on le voit en train de mener son enquête : "Il y a eu un premier repérage, puis je suis rentré en France avec une matière qui m’a permis ensuite Lire plus

    Le montage

    La modification du projet pendant le tournage a mis Namir Abdel Messeeh face à plusieurs difficultés au moment du montage. En effet, il lui a fallu tout unifier, pour que le spectateur ne ressente pas les deux approches distinctes qui étaient apparues pendant le tournage : "Atteindre cette cohérence était un vrai enjeu pour moi. Pour y arriver, on a travaillé le montage pendant un an", souligne le réalisateur.

    Infos techniques

    Nationalités France, Qatar, Egypte
    Distributeur Dulac Distribution
    Récompenses 3 prix et 5 nominations
    Année de production 2012
    Date de sortie DVD 02/01/2013
    Date de sortie Blu-ray -
    Date de sortie VOD 27/12/2012
    Type de film Long métrage
    Secrets de tournage 8 anecdotes
    Box Office France 45 571 entrées
    Budget -
    Langues ARABIC, Français
    Format production -
    Couleur Couleur
    Format audio -
    Format de projection -
    N° de Visa 124837

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    Commentaires

    • Manu F.
      Un film drôle, émouvant, complexe et qui transcende les genres...Est-ce un documentaire ? Certainement pas. Une fiction ? Oui, mais alors fortement teintée d'autobiographie. Une autofiction en somme. Un film foutraque qui part un peu dans tous les sens comme - on l'imagine - le cerveau du réalisateur lui-même à qui l'on reproche sans cesse le manque de vision globale. Mais au final une réalisation extrêmement bien maîtrisée. Un film paradoxal qui donne à voir et à réfléchir tout en se laissant regarder comme une simple comédie. Bref, un pur moment de cinéma comme on aimerait en voir plus souvent.
    • benoit V.
      je suis vraiment pas amateur de documentaire mais j'ai bien aimé ce film qui a une saveur supplémentaire à mes yeux: c'est le 1er film que j'ai vu en section audiovisuel au lycée. Un film sympa 3/5
    • chatmimi
      Un film touchant, drôle : une bien belle découverte ! Bravo Namir !!!!!!!!!!!
    • Fr?d?ric A.
      L'aventure se passe au Caire. La ville la plus polluée du monde mériterait une palme à Cannes. Elle est une vedette dans la catégorie des décors plébiscités par les cinéastes, avec New York et Paris. Dans La Vierge, les coptes et moi, pas d’espion français, pas de momie lyophilisée, pas d’assassin dans les felouques, pas de poursuite dans les souks. La Vierge-Marie apparaît sur le dôme d’églises entourées d’ordure et de gravats. Elle se tait. Elle sourit. Les coptes et les musulmans la contemplent esbaudis et heureux. Un petit coin de ciel bleu dans un quotidien exténué. La mère de Namir Abdel Messeh lui rebat les oreilles avec ces apparitions. Il veut en avoir le cœur net. Il trimballe sa caméra à Imbaba. Mais il ne voit rien. La pellicule n’attrape que la poussière alors que les braves gens tirent leurs chaises en plastique pour contempler la Vierge comme les touristes dans les musées de Rome admirent les madones. « Heureux celui qui croit sans avoir vu ! » Namir voudrait voir pour peut-être croire, alors qu’il faut croire pour voir. Les croyants ont l’avantage de faire surgir le merveilleux sur les immondices. On a besoin d’espoir pour survivre dans la mégapole tumultueuse. à défaut d’embobiner la Sainte Vierge en technicolor, Namir filme les crédules, poursuit la légende urbaine dans les sacristies enfumées d’encens et à la terrasse des cafés où somnolent les chats et de gros messieurs moustachus qui tètent le narguilé. Il dessine avec humour et tendresse le portrait d’une communauté chrétienne sans cesse menacée, pauvre et fière. Fin juin, Namir a projeté son film dans notre couvent dominicain du Caire. Pour cette avant-première, nous avions invité des amis coptes et des étudiants d’Al Azar. Les musulmans se sont passionnés pour le sujet. Que la Sainte Vierge apparaisse au Caire et que les Egyptiens occidentalisés ne puissent la voir relève de l’évidence. Les coptes ont été gênés par les traits dont le scénario les affuble. Ce qui nous les rend attachants leur fait honte : crédulité opiniâtre, paysannerie mal dégrossie, millénarisme tumultueux… Une fois encore, c’est la question du visage et de l’identité qui provoque les réactions les plus farouches. A fortiori quand la Sainte-Vierge est mêlée au débat. Le cardinal Congar notait finement que la théologie mariale touche au cœur de l’anthropologie. La Vierge Marie est un signe du rapport intime qu’entretiennent Dieu et l’homme. Lorsque j’étais aumônier d’étudiants à Dakar, je me souviens du succès des évangélistes sur le campus. Une prédication tour à tour séduisante et menaçante, prompte à dénoncer les errements d’autrui, assure le succès auprès des foules de badauds, jeunes de surcroît. La critique du Vatican est un poncif qui ne prend guère de risque. Mais lorsque le prêcheur exalté en arrivait aux mensonges de l’Église catholique concernant la Vierge Marie, les étudiants catholiques et musulmans se détournaient, dégoûtés. Tu peux critiquer la papauté qui a bon dos, mais ne touche pas à ma mère. Je communie avec les Coptes du Caire et les Wolofs de Dakar : la Sainte Vierge sourit. L’image goguenarde ou la rhétorique belliqueuse ne sont pas de taille face à son silence persuasif. Il est plus précieux pour nous que tous les arguments raisonnables.. Philippe VERDIN
    • Victoire B.
      Un très bon moment. Les personnages sont très attachants et les rapports mère-fils très drôles. La musique colle bien. C'est un film dépaysant et très sympathique où l'on découvre une communauté peu connue.
    • PASSIONNATO DE BLOIS
      La bande annonce à l'air sympa. C'est bien filmé. J'espere que ce sera pas une arnaque comme "Les enfants de Belle Ville", ou comme le dernier Woody allen.
    • adeline D.
      Excellent film. La mère du réalisateur est incroyable lorsqu'elle prend la place du producteur.Je me demande si l'ancien producteur (qui s'appelle Grégoire, et qu'on entend au téléphone) joue son propre role, ou est ce que ces conversations ont été secrètement enregistrées par le realisateur ? Je suis très intriguée et curieuse de connaitre sa reaction lorsqu'il découvirra le film, au cas ou il ne l'a pas encore vu. C'est un documentaire bien ficelé : on dirait une fiction. Très habile. Et la fin est magique.
    • louis M.
      Derrière l'humour et la légèreté, le film renoue avec un cinéma de la spiritualité. La légèreté du film n'est qu'un voile modeste pour aborder des questions profondes qui concernent la croyance, la foi, le dogme, et ce que signifie appartenir à une communauté. Plus proche de Pasolini que de Dreyer, le film offre un voyage chaleureux, généreux et drôle dans l'Egypte des paysans coptes, ces oubliés de la révolution, dont la foi, l'enthousiasme, et la joie de vivre sont une véritable leçon de vie. Ce film est un voyage humaniste, courageux, et audacieux dans un pays, l'Egypte, qui se révèle finalement très proche de nous, et dont les voyages touristiques au pied des pyramides, ou de la vallée des Rois ne nous permettent finalement jamais d'approcher d'aussi près. J'ai vu ce film à la Rochelle début juillet et j'y pense encore.
    • dounayrod
      Excellent, très drôle !! Vu pendant le festival de Cannes 2012. Allez-y !! Super moment !
    • papyon
      Découvert au festival à Cannes, c’est un bijou de tendresse et d'émerveillement autour d’un thème rare traité avec beaucoup de finesse. Merci au réalisateur pour ce moment de liberté de pensée et de grande humanité!
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