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    Sarah Miles
    Métiers Actrice , Directeur artistique
    Nationalité
    Britannique
    Naissance 31 décembre 1941
    Age
    82 ans
    48
    ans de carrière
    25
    films et séries tournés
    6
    nominations
    Helen : autopsie d'une disparition Bande-annonce VO

    Filmographie

    Young Dracula
    Young Dracula
    Date de sortie inconnue
    Jurij
    Jurij
    Date de sortie inconnue
    Sur la route de Nairobi
    Sur la route de Nairobi
    17 février 1988
    Steaming
    Steaming
    22 mai 1985
    Témoin indésirable
    Témoin indésirable
    23 août 2023

    Photo

    News

    Commentaires
    • Plume231
      Ces merveilleux fous volants dans leurs drôles de machines (1965) de Ken Annakin [img]http://images.allocine.fr/r_16...[/img] Synopsis : Londres, 1910. Richard, jeune officier passionné d'aviation, est officieusement fiancé à Patricia, la fille du magnat de la presse lord Brownsley, qu'il persuade d'organiser une grande course d'aéroplanes ralliant Londres à Paris. L'idée est un succès et tous les plus grands pilotes internationaux affluent pour s'inscrire à l'épreuve. Parmi eux, il y a le coureur de jupons français Pierre Dubos, le pétulant comte italien Ponticelli, le très poli japonais Yamamoto, le rigide colonel allemand Von Hollstein et Orville Newton, un sympathique casse-cou yankee qui s'intéresse beaucoup à Patricia, au grand dam de Richard. [img]http://drush76.files.wordpress...[/img] Critique : Une manière pas trop mal d'achever cette année qui a été très prolifique pour votre serviteur que "Ces merveilleux fous volants dans leurs drôles de machines", film qui fait partie de la veine des "comédies très agréables de course des années 60 qui ont coûté un tas de pognon, avec des engins bizarres, une galerie de personnages haute-en-couleur et un casting de gros malade" qui a aussi donné au lieu aux excellents et réjouissants "La Grande Course autour du monde" et "Un Monde fou fou fou fou". Mais je dois avouer que ce film m'a paru un peu en-dessous des deux autres pour la simple raison qu'il y a plein de très bons trucs qui n'ont pas été exploité à fond comme le côté suffragette du personnage féminin, le triangle amoureux ou encore certains personnages secondaires (une durée de trois quart d'heure de plus aurait été bien pour mieux développer ces aspects !!!). Ce qui ne veut pas dire qu'il faut bouder son plaisir ; au contraire. Les caricatures de nationalité, dont bien sûr le stéréotype du français fringant et hyper-dragueur joué ici par Jean-Pierre Cassel, sont irrésistibles, les drôles du machines valent à elles seules le détour, les cascades aussi, le rythme dans la seconde partie est d'enfer, la BO est très belle tout en soulignant le côté comédie du machin, et les scènes hilarantes sont loin de manquer surtout celles avec les allemands qui sont à pisser de rire (le duel en montgolfières et le pilotage avec lecture du manuel sont d'anthologie !!!). Une façon de terminer cinématographiquement 2012 sous une touche d'hilarité. [img]http://r21.imgfast.net/users/2...[/img] [img]http://forgottenfilmcast.files...[/img]
    • AMCHI
      [img]http://houseofmirthandmovies.f...[/img] Affrontement de 2 mondes pour un Losey qui est très apprécié pour ma part je lui reconnais de la qualité à ce film et dans sa 1ère heure The Servant m'a vraiment plu mais je ne sais pas après j'ai commencé à me fatiguer devant ce film. Peut-être trop suggestif pour moi, vers la fin je m'attendais presque à ce que le lord et le butler se roulent un patin mais The Servant (époque oblige entre autres) reste latent sur cette question. Un bon film oui avec une interprétation forte (surtout de Bogarde) mais avec une fin qui m'a un peu déçu. [img]http://r21.imgfast.net/users/2...[/img]
    • Plume231
      La Méprise (1973) d'Alan Bridges [img]http://image.toutlecine.com/ph...[/img] Synopsis : L'Angleterre dans les années 20. Dépressive depuis la mort de son mari, lady Franklin quitte la clinique où elle a été soignée. Encore fragile, bien qu'âgée d'une trentaine d'années, elle doit renouer contact avec le monde extérieur. Elle se lie rapidement d'amitié avec Steven Ledbetter, son chauffeur. A plusieurs reprises, il l'emmène en promenade à travers la campagne anglaise. Par son intermédiaire, la jeune femme fait bientôt la connaissance de Cantrip, président du club de boxe local. Lorsque, quelque temps plus tard, Ledbetter apprend que sa patronne et Cantrip se voient régulièrement, il est envahi par un profond sentiment de jalousie... [img]http://media.paperblog.fr/i/50...[/img] Critique : Palme d'or ex aequo avec "L'Epouvantail" de Jerry Schatzberg, "La Méprise" est tombé dans un grand oubli en dépit de ce prix. On peut trouver l'attribution de ce dernier exagéré (un Prix d'Interprétation Masculine aurait été plus justifié !!!) mais ce film regorge pourtant de quelques qualités qui en justifient la vision. Adaptation d'une oeuvre de Leslie Poles Hartley (l'auteur du roman "The Go-Between" qui a eu aussi les honneurs du grand écran à travers un excellent film de Joseph Losey qui a reçu aussi deux ans auparavant la récompense suprême à Cannes; et dont le thème de prédilection a l'air d'être le fossé entre les classes sociales !!!), le cinéma britannique montre une fois de plus qu'il est le spécialiste des non-dits, des frustrations et du bouillonnement intérieur. L'ensemble pêche parfois par une réalisation certes soignée mais trop classique ; par contre le sujet ne manque pas de force et puis surtout l'interprétation est excellente. Robert Shaw, pourtant plus connu pour ses rôles de chef de gangster dans "L'Arnaque" et de vieux chasseur de requins dans "Les Dents de la mer", joue ici ce qui est sûrement son plus grand rôle à travers ce personnage de chauffeur frustré et solitaire. Les dernières séquences où ce dernier explose sont puissantes grâce au talent de l'acteur. Rien que pour ce dernier, "La Méprise" mérite, même à défaut d'être un grand film, qu'on le visionne. Note : 14/20 (***) [img]http://www.cineplus.fr/var/cp_...[/img]
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