Franchement j'ai passé un bon moment alors oui c'est fauché (comme d'habitude) & le jeu des acteurs est limite faux mais Mocky nous a habitués à bien pire (si on se rappelle Alliance cherche doigt par ex) ne boudons pas notre plaisir
Thierry M
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3,0
Publiée le 10 avril 2013
Mocky est un réalisateur à part, même si ce n'est pas un chef d'œuvre , ça vaut le coup de s' y arrêter.
AMCHI
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2,5
Publiée le 21 avril 2015
Plutôt pas mal ce Mocky même si on y retrouve les défauts habituels de ses films tournés ces 20 dernières années, on sent bien dans Le Mentor son côté "je-m'en-foutiste" sur la société et un certain cynisme pointe sur la nature humaine. Mocky incarne un vieux altruiste qui va empêcher une jeune fille de se marier avec un imbécile, il se mêlera de sa vie en pensant l'améliorer. Par moment on sent des scènes tournées à l'arrache ...
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Un visiteur
2,0
Publiée le 28 avril 2013
Le jeu de certains acteurs laisse vraiment à désirer, bien que Mocky et la jeune Solène Hebert s'en sortent très bien. Les dialogues auraient gagné à être plus travaillés, ainsi que le scénario en général. En fait, Mocky part un peu dans tous les sens, et on ne sait pas vraiment où il veut en venir. Une sorte de film de l'absurde à demi assumé, qui plaira certainement à certains, j'imagine, mais je ne le conseillerais pas à mes amis.
En plus de cinquante ans de carrière, Jean-Pierre Mocky a côtoyé un grand nombre de comédiennes, mais contrairement aux années 80, où son instinct le menait toujours vers les mêmes jeunes actrices vedettes (Vanessa Paradis, Isabelle Adjani et Isabelle Huppert), il dit avoir de plus en plus de mal à trouver des comédiennes reconnues qui ont la vingtaine. Le cinéaste a donc cherché à engager une inconnue, et pour ce a lancé plusieurs annonces de ca
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Mocky et Bournane
Dans le rôle de Joe la Limace, on retrouve le visage si particulier de Freddy Bournane, un des comédiens fétiches de Jean-Pierre Mocky depuis de nombreuses années. En dix ans, les deux compères ont tourné plus de dix long métrages ensemble.
Moqui-qui ?
A l'écriture du script, Jean-Pierre Mocky retrouve André Ruellan, écrivain de formation, pour la quatrième fois consécutive. Les deux amis ont déjà signé les scénarios de Divine Enfant (1989), Touristes ? Oh yes ! (2004) et Colère (2010) ensemble.
Va voir ma réponse sur Oblivion, je ne ferai pas de commentaire qui n'a rien à voir avec ce film ici. Que ce cinéaste trouve son public (en plus, il est généralement aidé par des personnes du ministère de la culture pour produire son oeuvre, merci de respecter aussi leur travail et le malheureux manque de moyen allégué).
ScrappyCorneliusDoo
On enterre nos grand cineastes comme Mocky qui sort dans 2 cinemas a Paris alors que Tom Cruise a 800 salles ! Triste epoque.