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    American Horror Story
    Critiques spectateurs
    Critiques presse
    Note moyenne
    3,8
    12 titres de presse
    • Boston Herald
    • Entertainment weekly
    • Miami Herald
    • San Jose Mercury News
    • Newsday
    • San Francisco Chronicle
    • Slant Magazine
    • New York Times
    • Red Eye
    • The Hollywood Reporter
    • Variety
    • Hitfix

    Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.

    12 critiques presse

    Boston Herald

    Ce thriller supernaturel et pychosexuel sera la série dont on parlera le plus à l'automne. J'imagine déjà les vieilles chouettes de l'association du Parents Television Council s'offusquer ! Et, effectivement, on est loin d'un show à recommander aux enfants. Il comprend : des malédictions, de la nudité partielle et de la violence, bien qu'on puisse l'associer à un hommage au Psychose d'Hitchcock, l'horreur étant plus suggérée que montrée grâce à un montage vif (...) J'ai adoré le pilote en partie parce que l'on ne sait jamais ce qui va s'y passer. C'est rare à la télévision aujourd'hui. Dans une industrie qui privilégie les séries toute fondues dans le même moule, Ryan Murphy est un original

    Entertainment weekly

    Contrairement à la plupart des séries et films d'épouvante qui reposent essentiellement sur quelques scènes silencieuses suivies d'un "boo !" toutes les ving minutes, American Horror Story est entièrement basée sur la peur, tout le temps : des tas de cris, du sexe, des visages réduits en bouillie, des comportements psychotiques et des bébés morts. Entre cette série et Nip/Tuck, difficile d'échapper au fait que Murphy a visiblement un problème avec le corps des femmes. Il trouve toujours, avec ses collaborateurs, mille façons de les modifier, les tordre et les tourmenter (...) Le titre le plus adéquate pour la série serait "Le total opposé de Glee".

    Miami Herald

    Il est très difficile de distinguer les fantasmes nauséeux de la sinistre réalité dans American Horror Story. Les images coagulent et avancent comme un vieux film sur un projecteur: sont-ce des fantômes ? Des hallucinations ? De qui ? (...) La perturbante association de la violence et de la mort déstabilise encore davantage quand vous réalisez que les lignes de la mortalité dans la série sont très floues. Un personnage indique ainsi 'Ne me pousse pas à te tuer encore une fois".

    San Jose Mercury News

    American Horror Story est un 'freak show' érotique, effrayant et maléfique, imaginé par les producteurs de Glee. C'est le genre de série que vous allez regarder tout en vous rongeant les ongles... et les doigts, si toutefois vous osez la regarder (...) Murphy et Falchuk ne sont pas connus pour leur subtilité et on sait leur penchant pour l'excès. Mais cette série n'est pas un slasher dans lequel le sang fuse. Pas pour le moment du moins. La plupart du temps, l'horreur dans la série vient de la tension créée par la famille Harmon et leurs crises existentielles. C'est perturbant et inquiètant (...) Nip/Tuck était devenue une torture à regarder et Glee n'en est désormais plus très loin. Celle-ci va-t-elle connaître le même sort ? (...) La plupart des séries s'effacent rapidement de notre mémoire. Celle-ci va hanter vos nuits !

    Newsday

    Amusant à regarder mais pas particulièrement effrayant.

    San Francisco Chronicle

    Même s'il ne s'agit pas de la série la plus flippante jamais vue, American Horror Story brille grâce aux peformances délicieuses de ses acteurs, Jessica Lange et Frances Conroy en tête. Quand elles ont une scène ensemble, c'est simplement magique ! Denis O'Hare et Evan Peters sont aussi excellents dans leur genre, et terrifiants. Dylan McDermott et Connie Britton ont hérité des rôles les plus difficiles puisqu'ils jouent des gens "normaux", bien qu'ils connaissent quelques complications maritales. Ils sont tous les deux relativement convaincants mais on leur demande quand même d'être crédibles alors qu'ils se retrouvent dans des situations qu'ils ne le sont pas du tout.

    Slant Magazine

    American Horror Story semble fonctionner comme un amalgame entre Glee et Nip/Tuck: la première pour l'aspect outrageusement référencé et la seconde pour la violence psychosexuelle (...) mais la série paraît bien superficielle à coté des films d'horreur qu'elle évoque tels que Rosemary's Baby, Halloween, Psychose ou même True Blood en matière de série. On sent l'envie de construire un thriller profond. Aussi étonnant et bien fichu que soit ce grand mélange, le télespectateur est hanté par la constante peur, qu'à la fin, il n'y ait rien d'autre qui soit vraiment consistant à se mettre sous la dent hormis un sens du bon goût

    New York Times

    American Horror Story aurait le potentiel pour être très divertissante, si et seulement si son style et son intelligence avait été couplés à des personnages riches, auxquels on peut s'attacher, ainsi qu'à une narration un peu moins proche du néant ou de ce que Stephen King ou Lars von Trier ont déjà fait.

    Red Eye

    La nudité de Dylan McDermott dans la série peut aussi la résumer : agréable à regarder mais inconsistante.

    The Hollywood Reporter

    Difficile de savoir si Ryan Murphy et Brad Falchuk sont vraiment amateurs des films d'horreur des années 60/70 ou s'ils cherchent juste à générer du buzz avec du bizarre et de l'effrayant.

    Variety

    Créativement débarrassés de toutes contraintes, les créateurs ont concocté une série aux petits oignons dont le pilote introductif -écrit pour faire parler- est une expérience très étrange, quasiment Lynchienne, complétée par des tenues bondage, des images sataniques et le plus flippant de tous les génériques (...) La série s'inspire de tellement d'oeuvres que le plus amusant est de réussir à les distinguer. Son surréalisme semble sauvagement surfait, avec le risque parfois de passer de l'inquiétant au ridicule.

    Hitfix

    Une série ambitieuse, prétentieuse et faussement profonde, qui n'est en fait qu'une cour de récré pour Ryan Murphy.

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