Mon compte
    Masters of Sex
    Critiques spectateurs
    Critiques presse
    Note moyenne
    4,1
    1869 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Masters of Sex ?

    86 critiques spectateurs

    5
    17 critiques
    4
    40 critiques
    3
    18 critiques
    2
    9 critiques
    1
    2 critiques
    0
    0 critique
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    Zoé B.
    Zoé B.

    441 abonnés 118 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,0
    Publiée le 6 novembre 2013
    Je me souviens de ces 2 noms, Masters & Johnson. De leurs gros bouquins posés sur le présentoir des best-sellers, dans la boutique France-Loisirs près de la maison. Les titres valaient leur pesant de cacahuètes : "Homme, Femme, une Sexualité", "Le Plaisir de l’Union"... On était des gamines. On essayait, l’air de rien, de s’approcher de la pile. Feuilleter en vitesse avant d’être repérée par une vendeuse ou par nos parents. C’était il y a longtemps. Avant internet. La quatrième de couverture montrait un couple d’âge mûr, visages sévères (lui surtout, un vrai psychorigide) : Masters & Johnson, les 2 pionniers de la sexologie. La série "Masters of Sex" (quel bon titre, non ?) raconte leur histoire. Le pilote est un régal. Réalisé par John Madden ("Shakespeare in Love", "Indian Palace"…) , il promet une série classieuse, dans la lignée de Mad Men. Sur un concept très original : une romcom rétro et plutôt leste. Soit donc la rencontre, dans l’Amérique puritaine des années 50, de William Masters (Michael Sheen), brillant gynécologue, orgueilleux, cassant, et obsédé par le mystère du plaisir féminin, et de Virginia Johnson (Lizzy Caplan), jeune étudiante délurée, 2 fois divorcée, qui pense sans malice qu’on peut coucher avec ses amis, et dont Masters va faire son assistante puis son binôme. On ne peut imaginer personnages plus différents. Ils sont évidemment idéalement complémentaires. Le 1er épisode montre leur irrésistible attirance et le début d’une collaboration qui va durer 40 ans. On devine que ces deux-là vont bientôt mélanger leurs recherches et leur vie privée. On est déjà accro.
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la série
    4,0
    Publiée le 6 février 2019
    Créée en 2013, Masters of Sex est inspirée du roman de Thomas Maier et tirée d’une histoire vraie. La série met en scène Bill Masters, un scientifique qui débute une étude sur la sexualité en 1957. On y suit l’histoire de son experience mais aussi de sa rencontre avec Virginia Johnson, qui jouera un rôle cruciale dans sa vie, aussi bien au plan professionnel que personnel.

    Au centre de la série créée par Michelle Ashford nous avons donc un personnage contrasté, dont les intentions sont parfois peu claires et qui pousse les limites du « moralement acceptable » à cette époque. Cette homme est incarné très justement par Michael Sheen (The Queen, Alice au Pays des Merveilles) qui lui donne toute la profondeur nécessaire et le rend particulièrement touchant. A ses côtés on retrouve Lizzy Caplan qui interprète une femme sûre d’elle et irrésistiblement mystérieuse. La tension et complicité présentes entre les deux acteurs pendant les quatre saisons envahissent l’écran et permettent de donner une véritable crédibilité à l’histoire naissante entre Masters et Johnson. La série traite avec finesse et réserve la notion aussi bien de sexualité que d’amour. (lire la suite : https://cultureauxtrousses.com/2018/11/09/masters-of-sex/)
    shindu77
    shindu77

    73 abonnés 1 587 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,0
    Publiée le 26 octobre 2017
    Voilà une excellente série à tous points de vue. Tout d’abord, une histoire très intéressante faisant presque office de documentaire sur la vie sexuelle. Ensuite, une mise en scène efficace bien servi par de très bons acteurs.La force principale de cette série et surtout constitué du duo Master et Johnson. C’est véritablement une série à voir.
    Zoumir
    Zoumir

    61 abonnés 1 032 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,0
    Publiée le 28 décembre 2017
    Avec Masters Of Sex, Showtime surfait il y a 4 ans sur le succès de l'exceptionnelle série d'AMC, Mad Men. A la même période, avec un soucis du détail qui n'a rien à envier à sa grande sœur pour nous replonger dans les années soixante, ce show qui fait la part belle à la révolution sexuelle avec les découvertes du docteur William Masters et de la battante Virginia Johnson possède son lot de réussites.
    Étalée sur 4 saisons avec des enchaînements parfois déconcertants, la faute à de grands sauts dans le temps, elle met en avant des personnages complexes, profonds, superbement incarnés, dont les personnalités se dévoileront doucement au fil des épisodes. La relation entre ces deux pionniers de la science du sexe est bien sûr le point central de la série mais les impacts sur leur quotidien, sur leurs vies privées et publiques permettent d'étoffer l'ensemble.
    Avec un ton toujours très sobre sous le prisme d'une caméra qui nous invite au voyeurisme pour la bonne cause, Masters of Sex sait se faire drôle ou touchante, triste et décomplexée ou intimiste et joyeuse à l'image de tous les moments qui jalonnent la vie de nos héros. Et c'est pour ma part dans cette partie intimiste, à travers les secrets, les peurs et les sentiments refoulés de nos héros ordinaires que la série prend véritablement de l'ampleur, jusque dans les "petits" rôles qui ne durent qu'une saison.
    La qualité d'écriture est indéniable, elle transpire dans certains épisodes quasiment en huit-clos et nous offre de beaux moments de fragilité. Et la comparaison inévitable, pour qui terminait Mad Men en découvrant Masters of Sex, s'estompe et fait rapidement place à une nouvelle série intéressante, prenante malgré quelques passages laborieux, indéniablement sulfureuse, dans laquelle les corps et les esprits s'entrechoquent pour nous livrer une partie de la vie de ses sexologues visionnaires envers et contre tous.
    Nicolas V
    Nicolas V

    64 abonnés 1 283 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    3,5
    Publiée le 30 décembre 2017
    Masters of sex est une série particulièrement singulière.
    Singulière par son sujet : la sexualité.

    Mais pas cette sexualité conforme pour attiser le téléspectateur et réduite à un simple spectacle insipide. Ici, le sexe est le fond mais aussi la forme de l'histoire. Le sexe EST l'histoire.
    Bien entendu, certains moments sont torrides sans véritable enjeux , mais la plupart des moments sexuels sont dans un cadre médicalisé et analytique afin de servir le scénario.

    Ce dernier raconte la vie et les travaux de deux chercheurs sur la sexualité dans les années 40. Période ou les rapports intimes furent tabou et sans études médicales.

    Le sujet est original dans la manière dont il est traité. On parle de sexe ; dans les détails et à travers cela, on décrit une société prude. On dénonce la condition de la femme "moderne" dans un contexte plus que misogyne. On passera en revue le racisme, la maternité, le couple, le desir, l'homosexualité et j'en passe.

    Pour résumer, le sexe n'est qu'un prisme révélant beaucoup d'aspects sociaux et permet d'en tirer un portrait juste de cette Amériques d’antan et de ses citoyens.
    Masters of sex aurait pu sombrer dans des extravagances extrêmes en parlant de comportements sexuels plus originaux ( libertinage, sado masochisme etc ) mais la série n'en prendra pas le chemin et à raison. La série reste juste, fidèle à son sujet sans être vulgaire ; parler de sexe pour parler de ses personnages et de la société que ces derniers façonnent.

    Les acteurs sont tous très bons et même certains personnages secondaires deviennent attachants dans des arcs narratifs troublant de tristesse. La série prend le temps de soigner ses personnages. Dommage que certains arcs narratifs soient par moment bâclés après être autant développés. La série bacle par moment certaines aventures rondement menées.

    Comme pour l'ensemble des personnages, la série se concentre sur les rapports de ce couple de chercheurs qui se rapprochent et s'éloignent aux fils des saisons. Un fil rouge plus conventionnel mais tout de même intéressant au fil du temps.

    Bien rythmée, passionnante, originale, malgré une mise en scène frileuse et une bande sonore timide, ces quatres saisons divertissent tout en nous faisant prendre conscience du chemin parcouru et de l'origine de nos connaissances dans le domaine de la sexualité.
    Fabien S.
    Fabien S.

    456 abonnés 4 150 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,0
    Publiée le 9 février 2017
    Une excellente série américaine . Micheal Sheen et Lizzy Caplain incarnent des scientifiques étudiants la sexualité humaine. Un sujet très bien traité. De bons acteurs sur le sujet pervers du genre humain.
    Edgar L.
    Edgar L.

    184 abonnés 271 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,0
    Publiée le 4 octobre 2013
    Ce premier épisode est plus que prometteur et nous promet de bons moments face à cette série qui réunit tous les éléments pour être un réel succès critique tout du moins, et populaire, on peut l'espérer.
    Ce qu'il faut savoir c'est que l'histoire s'inspire clairement des recherches du vrai Docteur Masters et de son assistante : pendant une quarantaine d'années, ils ont étudié la sexualité sous toutes ses premier constat positif est donc que cette série va nous apprendre des choses. L'histoire est en effet celle de William Masters (interprété par Michael Sheen), un gynécologue qui va se lancer dans l'étude de la sexualité, et plus particulièrement de l'orgasme féminin. Il est assisté dans sa tâche de la très charmante Virginia Johnson (interprétée par Lizzy Caplan).
    Le point de départ du questionnement du scientifique est de savoir pourquoi les femmes simulent pour la plupart leur orgasme, une révélation qu'il a eu au contact d'une prostituée dont il étudiait la sexualité. Virginia, alias Vivi, quant à elle, est une mère de famille assez libérée qui entretient ce qu'elle estime être amitié avec le jeune Docteur Austin Langham (en réalité, ils couchent ensemble). Elle n'a aucune connaissance en science et va se former à la science de la sexualité auprès de son maître, le si bien nommé Docteur Masters. [...]
    Audacieuse, bien écrite et interprétée, la série ne devrait pas avoir de mal à nous passionner, en espérant que le prude Amérique accepte d'en faire un succès télévisuel et qu'on puisse ainsi assister à de nombreuses saisons. Considéré comme l'héritière de "Mad Men", j'espère sincèrement qu'elle en aura une longévité au moins équivalente ! Voilà donc LA série que je vous conseille de suivre, et mon véritable coup de coeur de cette saison 2013/2014 pour le moment !
    Paul Roux
    Paul Roux

    6 abonnés 24 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    2,5
    Publiée le 14 janvier 2022
    J’ai abandonné, après quelques épisodes de la troisième année, « Masters of Sex ». J’ai de plus en plus de mal avec ces biopics qui sont quasiment plus fictifs que des fictions.
    Dans cette télésérie américaine, on découvre, bien sûr, William Masters et Virginia Johnson, les deux célèbres sexologues dont les travaux ont marqué en profondeur la révolution sexuelle des années 60. Leur vie, il me semble, était suffisamment passionnante pour alimenter un solide scénario. Mais les auteurs y ont ajouté plein de personnages imaginaires et de péripéties toutes plus fausses les unes que les autres.
    Comme ce troisième enfant de Virginia, qu’elle n’a jamais eu. Dans la série pourtant, voilà qu’arrive une grossesse imprévue, qui plus est, au plus mauvais moment. Logiquement, la sexologue opte pour l’avortement. Mais à la dernière minute, surprise, elle choisit de garder l’enfant. Et pour ne pas effrayer les bonnes gens et se conformer aux bonnes mœurs, cette femme libre et féministe, qui avance dans la vie avec détermination, au mépris des conventions sociales, se remarie avec son ex-mari avec qui elle ne vit plus. Ça sonne faux, comme une bonne partie de cette série.
    Pour moi en tout cas, ce troisième enfant fut l’exagération de trop. Je veux bien croire que les scénaristes peuvent se permettre quelques libertés. Mais quand on raconte la vie de gens célèbres, un minimum de vérité et de vraisemblance me paraît indispensable.
    Paul Roux
    Paul Roux

    7 abonnés 76 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    2,0
    Publiée le 17 février 2022
    J’ai abandonné, après quelques épisodes de la troisième année, « Masters of Sex ». J’ai de plus en plus de mal avec ces biopics qui sont quasiment plus fictifs que des fictions. Je veux bien croire que les scénaristes peuvent se permettre quelques libertés. Mais quand on raconte la vie de gens célèbres, un minimum de vérité et de vraisemblance me paraît indispensable.
    Dans cette télésérie américaine, on découvre, bien sûr, William Masters et Virginia Johnson, les deux fameux sexologues dont les travaux ont marqué en profondeur la révolution sexuelle des années 60. Leur vie, il me semble, était suffisamment passionnante pour alimenter un solide scénario. Mais les auteurs y ont ajouté plein de personnages imaginaires et de péripéties toutes plus fausses les unes que les autres.
    Comme ce troisième enfant de Virginia, qu’elle n’a jamais eu. Dans la série pourtant, voilà qu’arrive une grossesse imprévue, qui plus est, au plus mauvais moment. Logiquement, la sexologue opte pour l’avortement. Mais à la dernière minute, surprise, elle choisit de garder l’enfant. Et pour ne pas effrayer les bonnes gens et se conformer aux bonnes mœurs, cette femme libre et féministe, qui avance dans la vie avec détermination au mépris des conventions sociales, se remarie avec son ex-mari avec qui elle ne vit plus. Ça sonne faux, comme une bonne partie de cette série. C’en était trop !
    mesavis
    mesavis

    2 abonnés 12 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    5,0
    Publiée le 8 novembre 2016
    Cette série est atypique, mais "vaut son pesant d'or" !
    Duo d'acteurs parfait, ainsi que les autres d'ailleurs, scénario captivant, et pourtant pas d'action, pas de morts ! Et pas beaucoup de sexe non plus.
    Vraiment bravo, beau travail de fond et acteurs impliqués.
    Elle mériterait un prix.
    Yalfy
    Yalfy

    90 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,0
    Publiée le 19 mai 2021
    Un mélange d' histoire dramatique dans les années 60 et d' éducation sexuelle subtile inspirée de Masters et Johnson 2 grands sexologues américains.On y critique la discrimination des homosexuels et la condition féminine de cette époque dans de jolis costumes.Pas obscène, une vision plutôt saine du sexe.acteurs et actrices impeccables
    OPALE
    OPALE

    1 critique Suivre son activité

    Critique de la série
    1,0
    Publiée le 4 avril 2022
    Non, mais je rêve !!!
    Une espèce de gloubiboulga invraisemblable.
    Des tenues différentes à presque chaque plan. Des robes de grands couturiers s'il-vous-plait !
    Même Betty, la simple secrétaire. Mais bon, c'est notoire, on gagne bien sa vie en étant secrétaire.
    Les voix des actrices, une catastrophe...
    J'en passe et des meilleures.
    Fuyez !!!
    Zayd001
    Zayd001

    9 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,0
    Publiée le 6 mai 2017
    Tirée de faits réels, cette série nous permet de réfléchir à l'évolution des mentalités dans ce domaine mais aussi de constater que ces droits ou découvertes ont été chèrement acquises et doivent être protégés.
    J'aime beaucoup les acteurs qui ont été choisi, je trouve le scénario très bien construit.
    Audrey D
    Audrey D

    4 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,5
    Publiée le 8 septembre 2019
    L'arrêt de cette série me déçoit. Elle apportait tellement sur bien des plans, sexuel religieux et aussi sur le statut de la femme il y a des années.
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la série
    4,5
    Publiée le 25 octobre 2013
    Jusqu'à présent je trouve que c'est une série très puissante. Le sujet de départ est plutôt délicat, en effet un docteur qui commence une étude sur le plaisir sexuelle ça peut très vite tomber dans le vulgaire, mais la série montre le sujet très intelligemment, sans pudeur mais sans vulgarité. On s'attache très facilement au personnage de Masters qui a ses travers et qui est clairement plus passionné par son étude que par sa vie maritale. Lizzy Caplan montre à chaque épisode un nouvel aspect de Virginia et c'est un plaisir de voir cette actrice dans un rôle qui lui va comme un gant. Une série très prometteuse pour moi j'attends la suite avec impatience.
    Back to Top