Avis The Undeclared War

Excellence série, qui mélange l'histoire personnelle de cette jeune surdouée de l'informatique qui arrive chez les espions anglais (GCHQ, équivalent du service technique de la DGSE ou de la NSA) et la réaction d'un plan de cyberattaque. Ambiance lourde et éprouvante, c'est assez lent mais intense. Très descriptif des risques cyber et assez réaliste. Le truc surprenant c'est que la série n'a pas de fin, puisque le dernier épisode fini sur un cliffhanger, un moment où tout peut basculer. ( le côté je met une histoire non hétéro pour être inclusif, ca tombe comme un cheveu sur la soupe, mais bon ...)

Voilà une drôle de série qui balance entre deux genres. D'une part un thriller assez étonnant ayant pour sujet une cyber attaque de grande envergure et d'autre part une espèce de drame autour de l'héroïne principale et ses difficultés à s'intégrer dans une société qui lui reste étrangère, le tout est emmêlé inextricablement et cela donne une série assez inclassable, mais que j'ai trouvé redoutablement efficace.
Je veux bien croire que ça passe ou ça casse. On adore cette série ou on trouve tout sans saveur ou déplacé. En revanche, ce qui m'étonne c'est que nous soyons si peu à l'avoir vu, en tous les cas à en parler. ça vaut le coup d'y jeter un oeil.

tour est parfait, sauf les sous-titres blanc la plupart du temps sur fonds blanc, du difficilement lisible

Série ridicule avec un amateurisme du gchq et une sois disant " musulmane" , un cliché affligeant et sans intérêt.
Beaucoup trop court pour que ce soit intéressant et bien entendu les russes sont les méchants.

La série commençait plutôt bien, surtout pour une production méconnue mais au fil de cette première saison, tout s'essouffle assez vite. Le sujet est intéressant et le style est assez fin (la classe britannique). Il y a du rythme et les personnages sont dans leur rôle, sans fioritures. Cependant, plus on avance et plus on s'ennuie. À la manière du hamster qui tourne dans sa roue, tout se répète et je pense qu'on aurait plutôt dû en faire une mini-série où l'on résume tout en 3 ou 4 épisodes max. Ceci dit, ça reste correct, juste en perte de rythme. 11/20.

La série présente une intrigue potentiellement intéressante, mais elle semble être réalisée par des cinéastes en formation. Le montage et la qualité de l'image sont trop nets à mon goût, et le travail sur les lumières laisse à désirer. Malheureusement, ces aspects ont freiné mon enthousiasme, ne me donnant pas envie de poursuivre au-delà de l'épisode 1.

Je l'ai regardé en deux soirées, donc j'ai apprécié cette mini-série avec la guerre numérique comme sujet central.
L'idée de mettre en scène les investigations dans le logiciel par une espèce d'escape game est très osée, le ridicule n'est pas loin, mais finalement je trouve ça bien et ça laisse des images assez pertinentes en mémoire.
Les conséquences des manipulations numériques (troll, fake news, hacking) sont très bien vues : manipulation de mouvements protestataires, réactions obligées par des postures attendues des autorités et du monde politique occidentales.
Concernant la trame principale, ça manque quand même de crédibilité : des équipes de cybersécurité incompétentes, la stagiaire immédiatement au cœur de la machine et des personnages peu nombreux et très isolés(coté britannique comme coté russe), spoiler: on sait depuis le début que si elle est forte, il y a meilleur qu'elle et, surprise, c'est par deux fois le recours au génie asperger qui décoince la situation et cela à l’insu de l'organisation : je veux bien que les services décryptage et cybersécurité soient séparés dans le système britannique mais que cette contrainte d'organisation soit supérieure au désamorçage d'une guerre, quand même ...
Le flash-back russe est un peu long.
Les histoires personnelles de l’héroïne sont très fabriquées pour suivre la mouvance en vogue : famille d'immigrés musulmans forcement en souffrance, relations homosexuelles dés qu'il y a deux filles dans un bureau ...
Avec une mini série britannique de Peter Kosminsky, j'attendais quelque chose de plus brillant, niveau Bureau des Légendes, mais ça reste une série à découvrir et j'attends la saison 2 qui utilisera sans doute mieux quelques personnages.

Une très bonne série au final bien focalisée sur 6 épisodes sans digressions inutiles ou personnages secondaires qui ne servent qu'à créer des rebondissements artificiels. On est ici dans une dystopie très réaliste de ce qui pourrait vraiment arriver avec des dictateurs tels que Putin et qui fait froid dans le dos.
Il y a certes un peu de surfabrication pour donner de l'épaisseur au personnage principal et à ses tourments, et l'épisode central du flashback est un peu lourdingue, mais le tout se regarde avec plaisir et on a vraiment envie de savoir ce qui va arriver dans cette ambiance un peu suffocante

Un scénario qui empile les mêmes caricatures que les médias mainstream de la gauche mondialiste. Cela ressemble beaucoup plus à des visions fantasmées qu'à une observation nuancée. Un mélange, tout sauf savant, entre la propagande américaine de la guerre froide et la propagande wokiste contemporaine.
Après quelques minutes à peine, on devine comment chaque élément politique ou sociétal sera abordé.