Les deux Gaulois les plus célèbres du monde sont de retour ! Mis en scène par Guillaume Canet, Astérix et Obélix L'Empire du Milieu nous entraîne en 50 avant J.C. L’Impératrice de Chine est emprisonnée suite à un coup d’état fomenté par Deng Tsin Quin, un prince félon.
Aidée par Graindemaïs, le marchand phénicien, et par sa fidèle guerrière Tat Han, la princesse Fu Yi, fille unique de l’impératrice, s’enfuit en Gaule pour demander de l’aide aux deux valeureux guerriers Astérix et Obélix, dotés d’une force surhumaine grâce à leur potion magique.
Nos deux inséparables Gaulois acceptent bien sûr de venir en aide à la Princesse pour sauver sa mère et libérer son pays. Et les voici tous en route pour une grande aventure vers la Chine. Mais César et sa puissante armée, toujours en soif de conquêtes, ont eux aussi pris la direction de l’Empire du Milieu.
Une voix familière !
Comme la coutume l'exige, le long-métrage débute par une voix-off scandant la désormais célèbre phrase qui ouvre tous les albums d'Astérix.
"Nous sommes en 50 avant Jésus-Christ ; toute la Gaule est occupée par les Romains... Toute ? Non ! Car un village peuplé d'irréductibles Gaulois résiste encore et toujours à l'envahisseur. Et la vie n'est pas facile pour les garnisons de légionnaires romains des camps retranchés de Babaorum, Aquarium, Laudanum et Petibonum."
Tout au long du film, cette même voix viendra faire la jonction entre les différentes parties de l'intrigue. Suave, chaude et légèrement rocailleuse, ce timbre a dû vous rappeler quelqu'un, mais qui ?
Un clin d'oeil sympathique
Les aficionados d'Astérix et Obélix : Mission Cléopâtre auront immédiatement mis un nom sur cette voix ! Il s'agit bien sûr de Gérard Darmon. Le comédien est de retour dans la saga des Gaulois après avoir interprété le sournois Amonbofils dans l'oeuvre culte d'Alain Chabat sortie en 2002.
Pathé
Ce n'est pas la première fois que Gérard Darmon se livre à l'exercice de la voix-off. On a notamment pu l'entendre dans "Méditerranée, notre mer à tous", documentaire de Yann Arthus-Bertrand et Michael Pitiot. Il a également prêté son timbre caverneux au grand méchant Maltazard dans la saga Arthur et les Minimoys de Luc Besson.
