Mon compte
    Ce que pense la presse des "Beaux mecs"

    Lancée mercredi dernier sur France 2, la série française "Les Beaux Mecs" a-t-elle convaincu les critiques de la presse ? Tour d'horizon des avis...

    Synopsis :

    Tout commence en 2010 par l’évasion commune de Tony Roucas dit Tony le Dingue, grand truand condamné "longue peine" et de Kenz, jeune maghrébin issu des mafias des cités. En cellule, ils vivaient dans une incompréhension totale de l’autre et n’avaient rien à se dire. Dehors, le truand vieille école et le futur jeune caïd n’auront plus le choix : ils vont devoir faire route ensemble. Leur cavale cristallise un conflit de générations d’un nouveau genre, où s’affrontent les anciennes méthodes du grand banditisme (préparations méticuleuses, codes, réseaux élaborés) aux nouvelles (tout, tout de suite, n’importe comment). Des deux, quel est celui qui aura le plus besoin de l’autre ?

    Avec Simon Abkarian, Soufiane Guerrab, Olivier Rabourdin, Dimitri Storoge, Victoria Abril, Anne Consigny...

    Selon le Parisien/Aujourd'hui en France :

    "Les Beaux mecs (France 2, 20h35), c’est la qualité qu’on reconnaît aux fictions de Canal + offertes sur un plateau de platine au plus grand nombre (...)

    Selon Libération :

    "La série, écrite par Virginie Brac et réalisée par Gilles Bannier, qui ont déjà travaillé ensemble sur la saison 2 d’Engrenages, repose sur une narration à deux lignes temporelles, qui se mêlent et se font écho. Celle du passé, un peu trop vintage parfois, lève le voile sur les mystères de Tony. Celle du présent, bien filmée, vivante, contemporaine. Dans les deux, des dialogues cinglants."

    Selon Télérama :

    "Pour raconter l'existence de Tony le Dingue, parrain déchu hanté par le passé, Virginie Brac s'affranchit des règles narratives, marie le mélo et le polar, et ose le romanesque."

    Selon  L'Express :

    "De temps à autre, France télévision innove. Avec Les beaux mecs, voilà que la chaîne se lance dans la série de gangsters. Et quelle série."

    Selon Métro :

    "A travers son histoire, racontée en flash-back, c’est cinquante ans de l’histoire du grand banditisme que se propose de revisiter France 2 à la manière de Canal+. Soit de façon brute et sans concession."

    Selon L'Humanité :

    "Un va-et-vient parfois trop académique, mais parsemé de jolies scènes dont le propos est finalement bien plus romanesque que policier."

    Selon le Nouvel Observateur :

    "(...) bon spectacle qui se regarde avec plaisir sans pour autant avoir tout le souffle romanesque espéré."

    Jean-Maxime Renault

    FBwhatsapp facebook Tweet
    Commentaires
    Back to Top