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    Cannes 2013 : "Le Congrès", nouvelle valse d'Ari Folman

    Le Congrès d'Ari Folman ("Valse avec Bachir") était présenté jeudi 16 mai en ouverture de la Quinzaine des Réalisateurs. Découvrez ce qu'en a pensé la presse !

    Le Congrès d'Ari Folman

    Avec Robin Wright, Harvey Keitel, Jon Hamm, Danny Huston...

    Quinzaine des Réalisateurs

    De quoi ça parle?

    Robin Wright (dans son propre rôle), se voit proposer par la Miramount d’être scannée numériquement, pour pouvoir librement exploiter son image au cinéma. 20 ans plus tard, elle est l’invitée d’honneur du Congrès de la Miramount Nagasaki qui présente sa dernière invention: vivre son film sur demande, sur simple prescription…

    Ce qu'il faut savoir

    Déjà présent en compétition officielle en 2008 pour son excellent Valse avec Bachir, Ari Folman est de retour 5 ans plus tard avec Le Congrès dans la section de la Quinzaine des Réalisateurs. Véritable réflexion sur l’avenir du cinéma, l’industrialisation de celui-ci et sur le métier d’acteur, Le Congrès fait vibrer le spectateur dès la scène d’ouverture tant le jeu des comédiens est brillant. Harvey Keitel en agent désabusé, Robin Wright en comédienne plus préoccupée par sa famille que par sa carrière et Danny Huston en producteur tyrannique. La deuxième partie du film, animée cette fois-ci, nous entraîne dans un monde coloré et désabusé où le spectateur peut devenir la star qu’il souhaite.

    Ce qu’en pense la presse

    Todd McCarthy / The Hollywood Reporter : "La curiosité initiale du spectateur cède la place à l'impatience puis l'ennui dans la deuxième partie du film. Un accueil mitigé pour ce drame aux intentions louables mais qui peine à tenir la route."

    Mathilde Blottière / Télérama : "Après Valse avec Bachir, Ari Folman oscille entre réel et virtuel. Robin Wright et Harvey Keitel tiennent la première partie de ce film hybride et à moitié réussi."

    Franck Nouchi / Le Monde : "Compliqué, parfois un peu confus, le propos de Folman est néanmoins toujours passionnant. Mêlant admirablement les images réelles et les séquences d'animation, il entraîne le spectateur dans d'étranges contrées narratives, à condition toutefois que ce dernier veuille bien accepter de se prêter au jeu croisé des influences psychochimiques et des réalités trompeuses."

    Peter Debruge / Variety : "Excepté la mise en lumière sur l’âgisme ambiant à Hollywood, Le Congrès n’apporte pas beaucoup plus au sujet. En attendant, quelque part dans son adaptation, Folman a perdu le fil qui connecte cette allégorie de fiction spéculative à notre monde."

    Didier Péron / Libération : "Après Valse avec Bachir, Ari Folman se perd dans une science-fiction déjà datée."

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