Mon compte
    Mort de Ted Post : 5 bonnes raisons de (re)voir son chef-d'oeuvre, "Magnum Force"

    Réalisateur culte et grand ami de Clint Eastwood, Ted Post est décédé à l'âge de 95 ans. Allociné vous donne cinq bonnes raison pour (re)découvrir son chef-d'oeuvre, "Magnum Force" !

    © D.R.

    Réalisateur culte de bonnes séries B hollywoodiennes, Ted Post aura signé au cours de sa carrière quelques films mémorables dont Le Merdier, Pendez-les haut et court ou encore Le Commando des tigres noirs. A l'occasion de son décès , Allociné vous propose de (re)découvrir son chef-d'oeuvre, Magnum Force.

    5 bonnes raisons de (re)voir Magnum Force :

      1/ Le deuxième volet d'une série culte : Il s'agit du deuxième épisode des aventures de Dirty Harry, la série de films dans laquelle Clint Eastwood incarne un flic aux méthodes musclés. Suivront L' Inspecteur ne renonce jamais, Le Retour de l'inspecteur Harry et L' Inspecteur Harry est la dernière cible.

      2/ Avec l'aide de Michael Cimino et Terrence Malick : Le scénario se base sur le travail d'un jeune inconnu à l'époque, un certain Michael Cimino. Ce n'est pas le seul illustre réalisateur à avoir travaillé sur le script puisque John Milius a co-écrit le film et les bases de l'intrigue ont été imaginées par Terrence Malick.

      3/ Un générique culte : Le ton est donné dès les premières secondes du film avec un générique kitsch très 70's, rythmé par la musique de Lalo Schifrin où l'on peut entendre le monologue culte du premier épisode ("Do you feel lucky ?").

      4/ Harry Callahan face à deux légendes du petit écran : On peut retrouver dans un rôle secondaire David Soul, qui obtiendra ensuite une forte notoriété grâce à son interprétation de Hutch dans la série Starsky et Hutch. Egalement, on y croise Robert Urich, la future vedette de Vegas, dans son premier rôle au cinéma.

      5/ Des clarifications sur le personnage : On découvre dans cet épisode que Harry Callahan n'est pas un flic fasciste à la gâchette facile, en réponse à certaines critiques virulentes parues lors de la sortie du premier film. Même si cet épisode est celui de la série qui compte le plus de morts à l'écran (30), son refus d'aller à l'encontre de la loi en fait un personnage droit et incorruptible.

      Clément Cusseau

      FBwhatsapp facebook Tweet
      Commentaires
      Back to Top