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    Steve Jobs sur Canal+ : saviez-vous que Leonardo DiCaprio avait accepté le rôle ?

    À l'occasion de la diffusion de Steve Jobs sur Canal+, découvrez en cinq anecdotes le biopic de Danny Boyle scénarisé par Aaron Sorkin, dans lequel Michael Fassbender parvient à se fondre dans la peau du fondateur décrié d'Apple.

    1. Un rôle très disputé

    George Clooney et Noah Wyle étaient les choix de Sony pour incarner Steve Jobs ; mais lors de son arrivée comme réalisateur, David Fincher souhaite Christian Bale et entame des négociations avec l'acteur. À son arrivée sur le projet, Danny Boyle envisage Leonardo DiCaprio, mais après avoir accepté le rôle, l'acteur se retire du projet en octobre 2014 pour tourner The Revenant. Le nom de Christian Bale est alors de nouveau annoncé au casting, mais il quitte pour la deuxième fois le long-métrage pour des raisons inconnues. Ben AffleckMatt Damon et Bradley Cooper sont aussi évoqués tandis que le scénariste, Aaron Sorkin, pense à Tom Cruise pour incarner l'homme d'affaires. C'est finalement Michael Fassbender qui décroche la timbale ; son arrivée au casting est confirmée au début du tournage, en janvier 2015.

    François Duhamel

    2. Une biographie comme point de départ

    Pour son scénario, Aaron Sorkin s'est inspiré de la biographie de Steve Jobs rédigée à sa demande par Walter Isaacson. Le co-fondateur d'Apple a collaboré à l'écriture du livre sorti le 24 octobre 2011, soit environ trois semaines après son décès. Le scénariste du film précise : "Mon adaptation est ma propre interprétation d’un homme complexe et de ses relations avec ses proches." À la suite de la lecture de la biographie de Walter Isaacson et de ses entretiens avec Steve Wozniak, Joanna Hoffman, John Sculley, Andy Hertzfeld, Lisa Jobs et Chrisann Brennan, Aaron Sorkin a réussi à identifier cinq relations conflictuelles dans la vie de Steve Jobs. Le scénariste a ensuite décidé de les mettre en scène autour de trois lancements de produits phares.

    3. Une construction originale

    Ce nouveau film inspiré de la vie de Steve Jobs ne se présente pas sous la forme d'un biopic classique. Le scénariste Aaron Sorkin a choisi de ne pas raconter son histoire de manière linéaire, mais abstraite. Danny Boyle a donc construit le long-métrage en trois scènes de 40 minutes, et a décidé de se concentrer sur seinze années de la vie de Steve Jobs. Il le décrit à travers le lancement de trois produits phares de la marque : le Macintosh (1984), le NeXTcube (1988) et l'iMac (1998). La plupart des scènes se déroulent en temps réel et sont accompagnées de flashbacks.

    François Duhamel

    4. Dans l'ordre

    Danny Boyle et son équipe ont tourné chaque partie indépendamment et dans l'ordre chronologique, avec trois semaines de répétitions avant le premier acte et deux semaines avant l'acte II et III. "Ca permet aux acteurs de se concentrer sur chaque acte séparément et sur la façon de parler, de s’habiller, sur l’état d’esprit de leur personnage à chacune des ces périodes de leur vie.", explique le réalisateur.

    5. The King of France

    À l'origine, le film de Danny Boyle devait s'appeler The King of France car Jef Raskin, ancien employé d'Apple, affirmait souvent qu'avec ses révolutions, Steve Jobs pourrait devenir le Roi de France.

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