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    Riverdale saison 3 : les adieux à Luke Perry dans notre récap de l’épisode 19

    Une semaine marquée par la dernière scène de Luke Perry. Un détail dans l’épisode mais un au revoir douloureux. Surtout quand la série recommence à faire n’importe quoi…

    Shane Harvey/The CW

    Avec Fear the Reaper comme titre d’épisode, on avait cette petite musique bien connue qui débarquait dans notre esprit. Que ce soit les Blue Oyster Cult ou une des innombrables reprises. Le petit riff de guitare ou la mélodie lancinante entendu dans Scream (entre autre) s’invitaient ainsi dans une série qui s’est rarement distinguée par sa musique autrement que dans les épisodes musicaux. Une fois n’est pas coutume, il sera question de bande originale mais pas de Don’t Fear the Reaper

    Netflix

    30 ans sinon rien

    Hasard du calendrier, hier Jennifer Garner célébrait sur Instagram les 15 ans de 30 ans sinon rien. Un anniversaire modeste pour un film tout aussi modeste mais qui vient titiller les neurones capables d’associations improbables. Non, aucune des héroïnes de Riverdale va se réveiller dans le corps d’un adulte (ça pourrait être fun, cela dit). C’est de Creepy Evelyn dont il s’agit après l’enquête scoubidouesque de la Vera locale : Betty Cooper (toujours aussi esseulée dans ses problèmes familiaux). Enfin une victoire pour l’adolescente ? Pas vraiment puisqu’elle perd Tony, nouvelle victime de la secte. Il faudrait peut-être revoir ta stratégie, Betty, car tu envoie des amis comme des lemmings au casse-pipe… Il faut dire que c'est difficile de résister au charme de Chad Michael Murray.

    Pulp Fiction

    On ne va pas revenir sur le caractère improbable qui envoie la famille Jones jouer à Griffons & Gargouilles pour tenter de sauver Jelly Bean ? A la place, on peut se demander ce qui a pu se passer dans la têtes des auteurs pour refaire Pulp Fiction version low cost avec musique en mode Jean-Michel-à-peu-près. Ou alors on peut écarquiller les yeux devant le combat qui oppose Maman Jones et une Penny borgne, munies de saï (les armes favorites d’Elektra). Ou alors on peut se dire que les Jones sont vraiment une famille de bras cassés (littéralement). Mais c’est tout de même l’occasion de revoir le Roi Gargouille, qui épargne étonnement Jelly Bean et Jughead… Mais qui se cache derrière le masque ?!

    Netflix

    La gloire de mon père

    Et il y a Archie. Enfin, il y a surtout la dernière scène de Luke Perry. Une courte scène d’une banalité un peu affligeante où Fred joue à nouveau les pères-courage devant un adolescent menaçant de tout plaquer dès qu’un problème arrive. Et ils sont nombreux, les problèmes. Très nombreux. A peine sorti de prison que le spectre d’un procès fait à nouveau son apparition. On pourrait presque prendre cela pour un running gag. Archie fait un combat. Archie « tue » son adversaire. Archie a des états d’âme. Archie arrête la boxe. Archie se fait arrêter. Archie est libéré de prison grâce à la caution versée par Veronica, qui ne sert plus qu’à cela dans la série ou alors à proposer des idées super chouettes, comme organiser un combat caritatif de boxe pour aider la famille du défunt, mort pendant… un combat de boxe. Bien pensé Veronica. Non seulement on a beaucoup de peine d’assister à la dernière séquence de Luke Perry, on a surtout beaucoup de compassion pour un personnage qui a Archie pour enfant.

    Dans le prochain épisode…

    Le prochain épisode s’appelle Prom Night et cela évoque toute une mythologie de teen shows ou movies. C’est évidemment le titre d’un slasher des années 80 (a.k.a Le bal de l’horreur chez nous) dans lequel un tueur masqué poursuit des adolescents. Une partition bien connue à Riverdale, les psychopathes étant légions. Ce sera peut-être l’occasion de voir le Roi Gargouille reprendre du service au rayon de la flippe (il s’est fait plutôt discret ces derniers temps). On a hâte ?..

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