De quoi ça parle ?
Dans une petite ville côtière d'Australie, un bébé disparaît. Ce tragique évènement va alors fortement fragiliser le jeune couple que forment Joanna et Alistair. Ensemble ils voient leur mariage s'effondrer tandis que leur vie privée se retrouve exposée aux yeux du grand public...
The Cry, réalisée par Glendyn Ivin et écrite par Jacquelin Perske d’après le roman d’Helen FitzGerald.
Avec Jenna Coleman, Ewen Leslie, Asher Keddie, Stella Gonet, Sophie Kennedy…
Lundi 28 juin à partir de 21h05 sur M6 et d'ores et déjà disponible sur Salto
Ce qu’en pense la presse...
Selon Télé Loisirs :
“Une mise en place soignée et palpitante, qui repose sur une intrigue structurée alternant sans cesse des temporalités : le présent et plusieurs périodes du passé. Les personnages sont parfaitement dépeints et incarnés avec justesse. Jenna Coleman - vue, notamment, dans « Doctor Who » - est remarquable” 4.5/5
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Selon The Hollywood reporter :
“The Cry ne donne jamais l'impression d'être trop compliquée, même si le réalisateur Glendyn Ivin joue avec les flashbacks à un rythme effréné. La série présente habilement Alexandra, l'ex-femme jalouse, comme une suspecte, tout en ne laissant jamais les téléspectateurs ignorer l'idée que Joanna pourrait être impliquée.” 4/5
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Selon Première :
“The Cry multiplie les temporalités – l'enlèvement en lui-même, la rencontre entre Alistair et Joanna, la folie médiatique autour de l'affaire, le procès – et questionne en permanence la culpabilité des différents protagonistes. Une gestion exemplaire du suspense qui joue sur les faux-semblants et la construction de l'identité sociale, sujet qui irrigue la série de la première à la dernière seconde.” 4/5
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Selon Le Parisien :
“Un drame destructeur qui met au jour des failles préexistantes dans la vie des deux parents. Au-delà du côté polar autour de la disparition de l'enfant, « The Cry » est un thriller psychologique et intimiste déchirant servi par deux formidables interprètes : Jenna Coleman et Ewen Leslie.” 4/5
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Selon le Boston Herald :
“Il y a une méthode à cette folie, et elle est inspirée du style de Gillian Flynn ("Gone Girl") : on ne peut se fier à la narration de personne. L'accumulation de détails conduit à des prises de conscience surprenantes et horribles.” 3.5/5
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