Le prologue de "Terminator". Ou l'art de savoir comment commencer l'une des sagas les plus cultes des années 80.
Premier contact avec l'année 1984 pour le Terminator (Arnold Schwarzenegger). Alors qu'il est encore tout nu, il croise un groupe de punks mené par Bill Paxton. Terminator
Lors de ce premier échange, le Terminator commence à absorber les mots qu'il entend...
Mais, les punks n'aiment pas trop qu'on répète mot pour mot ce qu'ils racontent. C'est là que Schwarzy va, pour la première fois, ordonner à quelqu'un de lui filer ses vêtements.
Le Terminator, à la recherche de Sarah Connor. De toutes les Sarah Connor.
Lui aussi envoyé du futur, Kyle Reese sauve Sarah Connor in extremis des griffes du Terminator. On entend pour la première fois cette réplique, qui reviendra, légèrement modifiée, à plusieurs reprises dans la franchise.
Lors d'une virée mouvementée en voiture, Sarah Connor apprend enfin de quoi il retourne. Le futur, les Machines, la guerre, son destin et celui... de son fils pas encore né !
Toujours sur les traces de Sarah Connor, le T-800 la déniche au commissariat et la demande à l'accueil en se faisant passer pour un ami. Comme elle n'est pas "disponible" et qu'il n'est pas du genre à attendre, il sort pour la première fois sa réplique culte - "Je reviendrai." - avant de prendre les devants, autrement.
Enfermé dans une chambre miteuse et bien mal en point, le Terminator éveille les soupçons - et l'odorat - du concierge...
Pour répondre à l'intrus, plusieurs réponses s'offrent désormais à lui : "Oui/Non. Quoi ? Partez. S'il-vous plait, revenez plus tard." Ou...
Kyle Reese avoue à Sarah ses sentiments.
A la fin de Terminator, Sarah embrasse son destin et extermine le Terminator. A savoir qu'en version originale, elle lui dit : "You're terminated, fucker."
11 ans plus tard, un nouveau T-800 est missionné pour se rendre dans le passé et protéger John Connor. Comme d'habitude, il arrive tout nu. Cette fois, ce ne sont pas des punks qu'il rackette mais un motard dans un bar d'autoroute...
Petite promesse faite à John Connor.
Aussitôt rompue. Enfin pas tout à fait...
Alors qu'elle a passé tout le premier opus à le fuir et le craindre, Sarah Connor voit le Terminator lui offrir son aide, en disant presque mot pour mot ce que Kyle lui a dit 11 ans auparavant...
John Connor apprend au Terminator à parler un peu plus "normalement". Notamment en combinant des expressions qu'il a déjà dans sa besace.
De cet apprentissage, le Terminator retient également que répondre "Affirmatif", ce n'est pas super naturel. Alors que "No Problemo", c'est quand même la grande classe.
Après quelques temps, le Terminator a dépassé son maître !
Dans une scène antérieure, John avait tenté d'expliquer au Terminator pourquoi les gens pleuraient. Mais, ce dernier n'avait pas compris. A la toute fin du film, les choses ont bien changé...
Peut-être la réplique la plus émouvante de la saga...
Après le sacrifice du Terminator, Sarah Connor s'exprime avec espoir en voix-off...
Dans Terminator 3 : le soulèvement des machines, Schwarzy a appris une nouvelle phrase (dans un club de striptease). Du coup, il la sort dès qu'on l'embête.
Pour la toute première fois, le Terminator utilise sa fameuse catchphrase... pour quelqu'un d'autre ! Ici, la vilaine du troisième opus.
Le puissant appel de John Connor (Christian Bale) à la résistance dans Terminator Renaissance...
Dans Terminator Genisys, Schwarzy reste adepte des répliques bien senties...
