Mon compte
    Kalidor : la légende du talisman
    Note moyenne
    1,8
    899 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Kalidor : la légende du talisman ?

    88 critiques spectateurs

    5
    7 critiques
    4
    7 critiques
    3
    16 critiques
    2
    23 critiques
    1
    24 critiques
    0
    11 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    BiggerThanLife
    BiggerThanLife

    79 abonnés 44 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 6 mars 2013
    Moi je me régale à chaque visionnage, c'est comme un doux voyage dans le temps, un cinéma d'un autre temps, aux personnages tellement attachants. Merci à tout ceux qui ont participé à ce jolie petit film... et en particulier à Ennio Moricone... quelle sublime musique !
    Redzing
    Redzing

    950 abonnés 4 311 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 5 février 2012
    Dino de Laurentis veut surfer sur la vague des films d'heroic fantasy, qu'il a lui-même lancée en 1982 avec "Conan the Barbarian". En résulte ce "Red Sonja", où l'interprétation catastrophique de Brigitte Nielsen plombe le film, à tel point que les distributeurs ont cherché à mettre le personnage de Schwarzenegger au premier plan. Mais celui-ci se montre peu motivé dans son rôle d'ersatz de Conan. Et malgré des costumes/décors travaillés, ou la réalisation de Richard Fleischer, la crédibilité du film est désastreuse. La faute également à des répliques ridicules, un scénario cliché, et surtout à un gamin side-kick des plus crispants. Un beau ratage.
    Yannickcinéphile
    Yannickcinéphile

    2 115 abonnés 4 228 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 20 janvier 2016
    Malheureusement il faut le reconnaître, Kalidor la légende du talisman ce n’est pas ça en matière d’heroic-fantasy des années 80. Pas d’enjeux véritables, de l’humour enfantin, des acteurs en roue libre, bref, pas bon.
    Ce qu’on retiendra surtout de ce film c’est d’abord sa solide bande son signée Morricone. Là pas grand-chose à redire, c’est épique, un poil rétro maintenant mais toujours convaincant, bien dans le ton qui aurait dû être celui de cette épopée guerrière. On pourra aussi apprécier quelques beaux décors, et une ambiance qui aurait pu faire penser à Conan par certains aspects, mais qui malheureusement n’est pas à la hauteur. Quant à la mise en scène de Fleischer, sans être tonitruante, elle n’est pas mauvaise non plus.
    Pour le reste, ben c’est un peu la misère. Déjà je ne sais pas pourquoi mais on sent un gros manque de budget figurant ! L’armée de la reine c’est trois pékins, il y a quelques méchants sur la route mais sans plus, ils n’apparaissent presque jamais plus d’une petite dizaine à l’écran. Autant dire que pour la dimension épique c’est un peu cuit. A cela s’ajoute des costumes assez miséreux, et des effets visuels tout à fait dépassé (notamment pour la seule créature du film). Quitte à avoir des effets dépassés, j’aurai alors au moins aimé une générosité, avec plus de créatures, plus d’inventivité.
    Les acteurs sont en roue livre. Schwarzenegger fait presque office de figurant tant il ne sert à pas grand-chose qu’à faire quelques démonstrations de ses muscles. Nielsen hérite du rôle principal. Elle en veut, visiblement, et son physique athlétique la rendait toute indiqué pour ce rôle, mais elle ne joue pas très bien, il faut le reconnaitre. Elle est l’exemple du barbare inexpressif de base ! Les deux héros sont par ailleurs épaulés d’un improbable et inutile duo composé de Paul L. Smith, et de Ernie Reyes Jr., prince insupportable !
    Ce ratage conduit à celui du scénario. Histoire minimaliste autour d’un cristal aux pouvoirs peu déterminés, pseudo-épreuve au fil de la quête qui consiste le plus souvent à bavarder et à donner deux ou trois coups d’épée. Le film est assez risible et sa durée ridiculeusement courte pour le genre laisse supposer la faiblesse de l’histoire, le manque de contenu, et la dimension très vaine du spectacle auquel on assiste.
    En clair Kalidor est un film faible, plus proche de Kull le conquérant que de Conan. En dehors de quelques décors et de la musique le film fait principalement faucher, il n’a pas d’histoire, des acteurs faibles, bref, on se demande bien pourquoi il est autant rediffuser. 1.
    AMCHI
    AMCHI

    5 133 abonnés 5 936 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 22 mai 2013
    Comparé au tout premier Conan c'est sur que Kalidor : la légende du talisman semble inférieur et même comparé à la suite réalisée par Fleischer ; toujours avec Fleischer à la caméra cette adaptation de Red Sonja (autre personnage crée par Robert E. Howard) est un film qui malgré de nombreux défauts on ne peut s'empêcher d'avoir une certaine sympathie. Kalidor : la légende du talisman comporte quelques bonnes scènes d'action et de beaux paysages donnent un certain cachet de plus la musique de Morricone est magnifique par contre le problème majeur c'est la présence du morveux qui ne sert à rien (à signaler que le serviteur du prince est joué par le terrible geôlier Turc de Midnight express). Bref un gentil nanar.
    dahbou
    dahbou

    181 abonnés 2 186 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 12 juin 2008
    Hormis la musique de Morricone, il n'y a rien à sauver de cette série z adapté de Red Sonja alors autant Conan 1 était une réussite autant là c'est un naufrage complètement kitch et surtout atrocement mal joué car il faut bien le dire Brigitte Nielsen est une actrice pitoyable. L'univers de Robert E. Howard est complètement détruit et il est surprenant de voir un réalisateur pourtant si chevronné, de s'être retrouver dans ce bourbier.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 5 janvier 2013
    Malgré ces nombreux défault, Kalidor est un excellent divertissement. Les décors sont extra, les acteurs sont mauvais mais reste attachant, les effets spéciaux sont à la hauteur de ceux de conan mais le rest ne surpasse pas conan. je met 5 étoile à ce nanars pour remonter sa note
    Napoléon
    Napoléon

    119 abonnés 1 542 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 29 novembre 2022
    Un film sans âme qui a trop pris d'âge. L'histoire est non rythmée et tient sur un timbre poste. Les personnages sont superficiels. Reste un côté ringard retro assez drôle.
    LoupBlanc36
    LoupBlanc36

    16 abonnés 420 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 8 juin 2008
    Swarzy signe ici un ersatz de « Conan » en essayant de faire plus un héros avec de plus gros (muscle) et plus macho. Le personnage le plus travaillé reste Sonia la Rouge, avec toute une histoire derrière elle. Quand au scénario et au déroulement du film, il est vide de tout sens, parfois même soporifique malgré quelques scènes de combat bien ficelée. Certains effets visuels (on peut dire effets spéciaux) ont très mal vieillis, tout comme le film d’ailleurs.
    Avoir pour les fans de Swarzy et de film kitch, à éviter pour les autres.
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 027 abonnés 4 096 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 6 octobre 2019
    Quand on connaît le passé glorieux de Richard Fleischer, on peut trouver dommage de le voir terminer sa somptueuse carrière sur un tel film. D’un autre côté on peut se dire que s’il n’avait pas été là les choses n’aurait pas tourné d’une si agréable manière. D’accord ce n’est pas un bon film dans le sens conventionnel du terme. Acteurs aussi charismatiques qu’un champ d’endives, scénario tenant sur un timbre-poste et décors en carton pâtes, ce métrage porte en lui tous les ingrédients du nanar à la sauce Di Laurentiis. Mais justement, si c’était tout à ça réuni qui en faisait le charme. Voir Schwarzi déclamer ses dialogues avec la voix française d’Harrison Ford est pour le moins sympathique. Quant à Brigitte Nielsen on se demande bien en dehors d’une plastique irréprochable comment elle a pu un jour mettre les pieds sur un plateau de cinéma. Ah si ! j’oubliai, elle a été un temps (très court) Mme Stallone. Le seul qui se tire d’affaire est Paul Smith qui joue une sorte de Sancho Pansa très sympathique.
    MaCultureGeek
    MaCultureGeek

    1 039 abonnés 1 224 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 16 novembre 2015
    Comme tout bon acteur qui se respecte ( à plus ou moins de choses prêt ), Schwarzenegger n'a pas fait que des bons films, dans sa carrière. Bon, il est certains que j'ai déja vu pire, mais autant vous dire que là, avec "Kalidor", on en tient une couche. Premièrement, il faut mentionner la malhonnèteté visible de Dino de Laurentis qui, sachant pertinement qu'il tenait là son dernier film avec le nom "Schwarzenegger" en gros sur l'affiche d'un sous-Conan, a tu le véritable nom du film, "Sonja", et fait disparaître la réelle héroïne du métrage, Brigitte Nielsen. Bon, est-ce que "Kalidor" est vraiment mauvais? Oui, et non. En fait, ce n'est qu'un sous-Conan de plus. Rien de plus, rien de moins. Le résultat final est donc loin, très loin du métrage indispensable; c'est une grosse série b des années 80, et en tant que tel, son amateurisme évident lui fournit un certain charme, si ce n'est un charme certain. Bon, cela ne fera pas monter sa note finale, mais je tenais au moins à le préciser dans cet article. Ensuite, est-ce que Schwarzy vaut vraiment le coup, dans le cas présent? Forcément que oui. Mais non. En fait, il garde les ingrédients qui lui amènent son succès habituel, mais sans n'en avoir, vraisemblablement, rien à carrer. Il sait qu'il joue dans une daube, et en tant que tel, il ne s'engage pas, et ne se prend jamais au sérieux. En fait, il semble se moquer des scénaristes. Constamment. Et il a raison de le faire. Parce qu'il faut bien l'avouer, l'écriture globale n'est guère trépidante. Loin d'être inintéressant ( tout de même ), le métrage souffre quand même d'une rédaction catastrophique, le genre que l'on se paye dans une fête forraine ( pour dix balles, évidemment ). Le scénario, stupide, est désopilant de bêtise. De même pour l'écriture des personnages; c'est stupide et, bien entendu, il ne faudra surtout pas y chercher l'originalité des productions habituelles de Schwarzy ( à cette époque, tout de même ). En ce qui concerne la réalisation, c'est encore décevant. En même temps, avec un budget aussi serré, et une équipe technique complètement à la ramasse, forcément que le mec ne va pas nous sortir l'équivalent d'un chef-d'oeuvre. Et pour tout vous dire, on est vraiment loin de chef-d'oeuvre que je n'attendais pas. Le mec ne sait pas y faire, c'est évident. Pire même, il semble complètement perdu dans ce cadre kitsch et ridicule. Parce qu'il faut le dire, les décors, les acteurs ( mon dieu Brigitte Nielsen, qu'est-ce qu'elle joue mal celle là ! ), la musique ( pompée de Conan ), l'écriture, rien ne viendra l'aider dans ses vains efforts de mise en scène. Ce qu'il fait est moche, irréfléchi, banal, bref, c'est tout bonnement catastrophe. Mais en même temps, comme je l'ai déja cité plus haut, tout cela, tous ces évènements que je vous ai énoncé, toutes ces choses amènent au métrage un charme irrésistible. Ah oui, et je tiens tout de même à préciser que les combats sont excellents, bien chorégraphiés et dynamiques. Mais cela ne peut pas sauver un film. Ah oui, et le thème musical principal est très convaincant. Mais c'est un plagiat de Conan. Et le film est divertissant. Mais pompé de "Conan". Et stupide. Mérite-t-il, cependant, le visionnage? "Affirmatif".
    Danny Wilde
    Danny Wilde

    96 abonnés 502 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 25 juillet 2014
    Il faut rétablir la vérité et réhabiliter un peu ce film. On connaît Robert Howard pour le cycle de Conan, auquel ce film a été comparé, expliquant sans doute en partie son insuccès. Pourtant, cet échec fut injuste dans la mesure où sa seule prétention est d'être sans prétention. Conçu initialement pour n'être qu'une apparition épisodique servant de faire-valoir à la rousse guerrière Sonja, (par amitié pour De Laurentiis qui avait produit Conan) le rôle de Kalidor joué par Schwarzy a finalement pris plus d'ampleur, et le film fut distribué en Europe en valorisant le nom de son personnage. Il est vrai que cette aventure un peu naïve n'atteint pas le souffle puissant de Conan le barbare, mais la présence de Schwarzy qui tire son épingle du jeu (et qui retrouve Sandahl Bergman), l'attrayante musique de Morricone, la réalisation correcte de Richard Fleischer, et quelques décors baroques de Danilo Donati (quoiqu'un peu creux), incitent à la mansuétude, et le film reste distrayant si on n'est pas trop regardant.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 9 septembre 2008
    Gros foirage de la part du réalisateur de 20.000 Lieues sous les mers et de Conan le Destructeur. La production semble fauchée, les décors sont hideux, les couleurs tout sauf naturelles, les costumes sont d'un mauvais goût impayable, vraiment, c'est à peine digne d'une série B. En plus de ça, Brigitte Nielsen ne convient pas au rôle et Schwarzenegger est ridicule. A se demander s'ils ont embaucher quelqu'un pour faire le casting et la direction d'acteurs. Red Sonja est sauvé de justesse de l'oubli grâce à la BO inspirée d'Ennio Morricone.
    CeeSnipes
    CeeSnipes

    256 abonnés 1 708 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 20 janvier 2015
    Après les deux Conan, Arnold Schwarzenegger était un peu catalogué dans les Sword & Sorcery. Pire encore, il était sous contrat avec ce cher Dino de Laurentiis qui lui fit jouer dans Red Sonja.

    Car Red Sonja, comme son nom l’indique, n’est jamais le film d’Arnold Schwarzenegger, mais bien celui de Brigitte Nielsen, une adaptation d’une nouvelle de Robert E. Howard, encore une fois réalisé par Richard Fleischer, qui a passé la fin de sa carrière à torcher des Sword & Sorcery sans aucune vision mais un vrai talent de faiseur (en tout cas sur Conan le Destructeur qui était plutôt fun, mais futile). Red Sonja, en revanche, est une catastrophe monstrueusement laide visuellement (les monstres ont bien mal vieilli et sont extrêmement ridicules), menée d’un rythme anémique, ce qui n’aide pas un scénario d’une bêtise affligeante et gêné par la présence de Schwarzenegger dans le film, qui oblige Kalidor à apparaître à des moments incongrus et surtout jouée par des acteurs extrêmement mauvais, l’ancien culturiste australien inclus. Brigitte Nielsen n’a pas l’étoffe d’un premier rôle, Ernie Reyes est agaçant et la pauvre Sandahl Bergman se retrouve à jouer du vent. Pire encore, le film est composé par Ennio Morricone qui y livre sans doute sa partition la plus passe-partout.

    Rien n’est à sauver dans ce sombre Red Sonja, qui n’aurait jamais dû être retrouvé avec son exploitation en salles. Lamentable, pénible, jamais fun, le film est juste catastrophique.
    ronny1
    ronny1

    30 abonnés 913 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 18 août 2017
    Indépendamment du côté involontairement comique de RED SONJA, ce ridicule navet piégea Schwarzenegger qui avait signé pour un rôle secondaire. Cette escroquerie s’accompagna d’une publicité faisant apparaître l’héroïne comme un personnage de la saga Conan de Ron Howard, ce qui est un faux, Red Sonya n’étant pas un personnage d’héroïc fantasy, tout du moins chez Howard.
    Si Ennio Morricone à la musique te Giuseppe Rotunno à la photographie font espérer le meilleur ils livrent ici une partition sans intérêt pour l’un et une pellicule à la limité de la platitude pour l’autre. Si bien que le seul mérite du film fut de lancer la sculpturale Brigitte Nielsen au charisme d’un bloc de paraffine. Le reste d’un grotesque certain (le sommet, si j’ose dire, étant atteint avec un maître d’art martiaux interprété par Tad Horino, attifé comme un arbre de noël écologique), peut se résumer dans l’opinion de Maria Shriver, à Scharzenegger lors de la première du film : « If this doesn't kill your career, nothing will” (Si ça, ça ne tue pas ta carrière, rien ne le fera).
    Avec AMITYVILLE 3-D et CONAN THE DESTROYER, il est désolant de voir le très estimable Richard Fleisher terminer sur cette suite de navets.
    Stephenballade
    Stephenballade

    358 abonnés 1 236 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 8 août 2018
    C’est fou de voir à quel point on peut diamétralement changer d’avis à propos d’un film… Parce que si j’avais rédigé cet avis selon les souvenirs que j’en avais gardé, j’aurai certainement octroyé un 4/5, en tout cas au moins un 3,5/5. Seulement voilà : fidèle à mon habitude, j’ai visionné ce film afin de donner mon avis au gré des multiples détails relevés. Et quelle ne fut pas ma déconvenue !! J’ai ruiné en même pas 1h30 mes souvenirs d’adolescent ! Parce que qu’est-ce que c’est mauvais ! Comme quoi, hein… Quand on est jeune, on est c.. en tout cas on est un public très facile. D’une façon générale, c’était vrai dans les années 80. Durant cette décennie, on a eu droit à de bons films, mais je me demande encore comment j’avais pu apprécier ce film. On a beau dire, on a beau faire, Brigitte Nielsen n’est pas une actrice. Elle est peut-être agréable à regarder, quoiqu’en ce qui me concerne je ne lui trouve rien d’exceptionnel, mais elle n’a rien d’une actrice. Mais alors absolument rien. Rien ne ressort de son personnage malgré ses efforts qui n’ont fait que forcer ses traits. Mais la toute première chose qui choque, c’est le titre. Nous sommes loin, très loin du titre original. En version française, on pense voir en tout premier plan Arnold Schwarzenegger, mais la vedette revient en fait à Brigitte Nielsen, conformément à ce que laisse augurer le titre original. Dommage, on se régalait déjà de revoir l’homme bodybuildé dans son costume de barbare, ce costume qui lui allait si bien lors de l’avènement arrivé par "Conan le barbare" trois ans plus tôt. Bon, ce costume lui va toujours aussi bien, mais il n’est pas aussi inquiétant, au même titre qu’il n’est pas plus impressionnant. Pire, il semble quelque peu embarrassé, gêné soit par la vue de la mannequine danoise, soit par le fait qu’il ne lui trouvait aucun talent d’actrice. A moins que ce ne soient les deux en même temps… De là à introduire une pseudo-romance… (en vue de la faire taire et de prendre le devant de la scène ? hihihi !). Le fait est qu’il n’est absolument pas crédible. Pour ce qui est de l’aspect technique, "Kalidor : la légende du talisman" a considérablement vieilli. J’ai eu beau essayer de tenir compte du millésime 85, rares sont les fois où j’ai vu des effets aussi mauvais, qu’ils soient sonores ou visuels, même pour l'époque. Et c’est très visible lors de l’orage (même pas peur tellement il n’est pas crédible pour deux sous), ou lors de l’utilisation de l’épée maléfique. En revanche, je ne sais pas si ce sont les outrages du temps qui ont fait leur irrémédiable travail de sape, mais l’image et la bande son sont particulièrement dégueulasses. A cela on rajoutera un ton particulièrement théâtral, dans des décors qui trahissent très (trop) souvent le travail en studio. Restent le travail fourni sur les costumes et la partition d’Ennio Morricone, seuls points positifs du film mais ils ne resteront pas eux non plus dans les annales. Moralité : je me suis débarrassé derechef de la VHS (eh oui, j’en ai encore) qui trônait fièrement dans ma vidéothèque. Honte à moi d’avoir gardé si longtemps un navet pareil !
    Les meilleurs films de tous les temps
    Back to Top