De mauvaise foi
Anecdotes, potins, actus, voire secrets inavouables autour de "De mauvaise foi" et de son tournage !

Un vrai rassemblement chrétien

Une partie de De mauvaise foi a été tournée à Paray-le-Monial (Saône-et-Loire), en immersion pendant une session d’été réunissant des centaines de jeunes chrétiens. Ce choix de décor a permis d’ancrer certaines scènes du film dans une réalité palpable et d’obtenir des images authentiques, chargées d’énergie collective.

Une adaptation fidèle mais modernisée

Le scénario de De mauvaise foi est adapté du roman Les Pieuses Combines de Réginald de Thomas Hervouët, édité chez Quasar en 2014. Le réalisateur Albéric Saint-Martin a cependant modernisé le récit et resserré l’intrigue pour l’adapter à un format cinématographique de 1h34, tout en conservant l’essence burlesque et la profondeur des personnages.

Un patchwork de références

Albéric Saint-Martin a puisé son inspiration dans la grande tradition de la comédie française : Philippe de Broca pour son tempo enlevé, les films du Splendid pour leur capacité à mêler légèreté et critique sociale, mais aussi l’art de la caricature de Louis de Funès, notamment pour façonner le personnage de Réginald (Pascal Demolon).

Un tournage sous le signe de la réécriture constante

Le scénario a été affiné pendant plus d’un an et demi, avec de nombreuses versions successives avant et même pendant le tournage. Le duo formé par Albéric Saint-Martin et le producteur Hubert de Torcy, rejoint ensuite par Frédéric Auburtin, a travaillé minutieusement à équilibrer comédie de situation et émotion. Les comédiens eux-mêmes ont parfois improvisé et enrichi les dialogues en plateau.

L’importance de la musique

Le film bénéficie d’une bande originale signée par Jean-Pascal Beintus et Thierry Malet, qui a été pensée pour accompagner les ruptures de ton entre comédie légère et moments de tendresse.

Un mélange de générations

Le casting de De mauvaise foi a volontairement réuni des figures bien connues comme Pascal Demolon (Réginald) et Philippe Duquesne (Edmond), rompus à la comédie, avec une jeune garde de comédiens, dont Romane de Stabenrath et Jean-Baptiste Lafarge. Cette dynamique intergénérationnelle a nourri les scènes d’une énergie particulière et a accentué le contraste entre tradition et modernité, fil rouge du film.

Un personnage à la Jean Carmet

Philippe Duquesne s’est inspiré de l’archétype du « français moyen » pour son rôle d’Edmond, un notaire un peu maladroit mais attendrissant : "Il symbolise le français 'moyen' à la Jean Carmet. J’ai beaucoup d’affection pour ce genre de personnages parfois un peu maladroits mais profondément bons". Cette référence a permis à l’acteur de construire un personnage entre tendresse et comédie, accentuant le décalage avec le sérieux de son ami Réginald.

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