Avis : Y a-t-il un flic pour sauver Hollywood ? - Page 3

Légèrement en-dessous des autres opus, ce film offre quand même de très bons moments de franche rigolade, comme la parodie des Incorruptibles, le Club Travolta ou la parodie de la Grande évasion. L'ultime aventure du Lieutenant Frank Drebin, snif...

Peut-être un peu moins efficace que les autres, le passage aux Oscars reste quand même le plus drôle passage de la série ! Le passage a l'hôpital vaut aussi le détour, alors faites confiance à ce film pour passer une soirée sympa entre amis !

Le meilleur des 3 malgré un final qui tire en longueur. Formidable trilogie quand même.

toujours les mêmes gags, ça en devient lassant ...

Passés à la suite sur Comédie après le décès de Leslie Nielsen. Hollywood est vraiment le plus drôle (sortie en salle après ...La reine). Ils se sont vraiment éclatés sur celui-là et nous aussi. Mort de rire ! RIP Leslie...

Très drôle, mais on ressent un peu de poussivité dans l'abus de ce personnage qui maintenant à du mal à créer de la nouveauté.

Troisième long-métrage qui met en scène le Lieutenant Frank Debrin, "Y a-t-il un flic pour sauver Hollywood ?" use d'un humour à la "Hot Shots" mais avec encore un zeste de réussite en moins. Comme d'habitude Leslie Nielsen revêt son costume cravate et part déjouer un attentat visant à saboter la cérémonie des Oscars.
Sur sa route il rencontrera une belle panoplie de comédiens plus mauvais les uns que les autres dans des circonstances plus extravagantes qu'un défilé de mode. Favorisant l'usage d'un comique peu percutant, voire plutôt mauvais, "Y a-t-il un flic pour sauver Hollywood ?" n'imposera pas son style à tout le monde mais simplement aux amoureux de la médiocrité qui, sachez-le, sont malheureusement assez nombreux.

Avec les ZAZ à la production le film porte évidemment leur patte à savoir des gags en pagaille toutes les minutes et l'air ahuri de Leslie Nielsen en prime. Cette nouvelle enquête de Franck Drebin n'est pas si mal quand on aime l'humour crétin, parfois plombé par certains gags franchement lourds. Dans le genre j'ai déjà vu meilleur mais aussi bien pire dans le genre.

Retour a Los Angeles pour cette dernière enquête du désormais retraité Frank Drebin. C'est clair, le style du premier opus a disparu, tout comme l'humour en général. L'originalité est tellement absente que l'on devine tout ce qui va se passer quand Drebin arrive dans un lieu. Ce n'est même plus subtil, les gags arrivent avec leurs gros sabots et sont bien trop souvent lourdingues. Quel dommage de terminer ainsi.

Comédie policière totalement nulle. La saga s'épuise sérieusement.

petit nanar sorte de d'ancetre de scary movie et compagnie

Ça démarre par un hommage au landau dévalant les escaliers dans le « Cuirassé Potemkine » pour ne plus s’arrêter. Frank Drebin, extirpé de sa retraite par son collègue, continue à accumuler les maladresses jusqu’à la cérémonie des oscars où il faut éviter un attentat. Il acceptera un séjour en prison pour se rapprocher du commanditaire, ce qui nous permettra de connaitre son arme secrète de défense dans les douches. Si on aime les films précédents, celui-ci le sera aussi.

Un troisième volet moins drôle que les précédents. On sent que la série s'essouffle un peu même si on a plaisir à retrouver notre policier gaffeur. On rit encore mais moins souvent.

Un épisode de plus dans la série des petites comédies de Leslie Nielsen. Cette fois un terroriste veut venir commettre un attentat à Hollywood durant la remise des Oscars. Nielsen va le démasquer. Beaucoup de gags , on s'amuse, on est dans un style de comédie de boulevard à l'américaine, populaire mais efficace.

Et voilà qui vient conclure les aventures de Frank Drebin au cinéma mais avec un amer goût de déception. Premier changement notable, si David Zucker reste au scénario il cède sa place de réalisateur à Peter Segal qui signe là son premier long-métrage. On sentait déjà avec le précédent opus que l’inspiration n’était plus vraiment là et ça ne fait que se confirmer avec Y’a t’il un flic pour sauver Hollywood ? Reste alors la seule solution possible à savoir multiplier les détournements sans aucune finesse d’autres films. Se faisant, on perd aussi tout ce qui faisait le charme du personnage incarné par Leslie Nielsen. C’est ce qu’on appelle l’épisode de trop et pour garder un bon souvenir de cette saga, mieux vaut se rabattre sur les opus précédents.