Avis sur Mouvements du desir

Une femme, un homme, un train, une rencontre et les mouvements du desir selon Lèa Pool qui tourne à Montrèal le dèferlement d'une passion dans la vie de deux êtres qui croyaient avoir perdu la capacitè d'aimer! Un film qui marquait avant tout le retour de Valèrie Kaprisky en 1994, où les mots sont moins importants que ce qui se passe dans le regard! Ici, le train installe une notion de temps, c'est à dire les trois jours de voyage et cette notion d'espace (la traversèe entre Montrèal et Vancouver). Cela donne du coup une notion d'urgence, une certaine mèlancolie à vivre, une quête du bonheur sans trop y croire vraiment et un besoin de vivre des moments intenses! Les personnages de Lèa Pool sont plus que jamais en proie à une lutte intèrieure constante avec une rencontre entre Valèrie Kaprisky et Jean-François Pichette qui se fera d’abord à travers rêves et fantasmes...

En route vers Vancouver, à la rencontre de l'amour sincère. Le voyage est long et monotone, malgré la belle présence de Valérie Kaprisky.