Une suite totalement inutile, au scénario bâclé et bancale, bref, un film qui n'avait qu'un seul but, ramenez dans les salles ceux qui avaient vu le premiers épisode, pour les faire banquer une deuxième fois. Un nanar de plus dont je me serait bien passé.
Le 2e volet est vraiment nul!!! pourquoi faire une suite si c'est juste pour faire une suite mais pas parce qu'il y a quelque chose d'intéressant!!! On y croit pas une seconde et on s'ennuie tout a long du film...regardez seulement le 1er et bannissez le 2.
Si le premier Speed est devenu au fil des années une petite référence dans le domaine, sa suite n'a pas suivi ses traces. Pathétique, ridicule, Speed 2 ne nous donne qu'une seule chose : la gerbe !
Projet qui est arrivé sous une forme non prévue à la base.
En effet, Keanu Reeves devait reprendre son rôle, mais il a eu un accident de moto, et les producteurs refusaient de repousser le tournage.Au final, Jason Patric a pris le rôle principal.
Et il n'est pas Keanu Reeves.Beaucoup moins impressionnant et charismatique (et j'irais jusqu'à moins bon acteur), sa prestation n'emballe pas.
Le reste du film non plus, accumulant les morceaux de bravoure plus ou moins solides, ainsi que les séquences spectaculaires. Sandra Bullock et Willem Dafoe sauvent un peu les meubles, mais ça suffit pas à ramener le niveau du premier film.
Reste un bon film d'action, sans prétention aucune, si ce n'est de nous faire passer un moment tranquille avec le cerveau sur Off.
Bon, sans plus, alors que le premier était (et est encore) carrément excellent.
Cette fois, le psychopate qui prend un paquebot de voyage en otage n'est autre que le parfait Willem Dafoe (Spider Man, Inside Man, Missipi Burning) qui n'est pas si parfait que ça dans ce film. Jason Patric remplace l'impeccable Keanu Reeves. Sandra Bullock est toujours présente. Mais le scénario qui n'a rien d'original est baclé. Pourquoi faire rester les otages dans le paquebot pendant 2 heures de film alors qu'il avaient au moins 4 ou 5 chances de s'enfuir. Alors on s'ennuie dans des longueurs incroyablement longues et agaçante, particulièrement le début. OK, quand le suspense prend ses débuts, on s'ennuie moins, mais comparé au premier film, ce second est un thriller d'action quelquonque qui reprend en remix des scènes des derniers film cultes du genre ! La fin est bien mais attendre presque 1h30 avant, fait enlever de l'intêret à cette dernière demi-heure meilleure que les autres. L'histoire aurait pu être mieux approfondis et original. La musique est bien et les effets spéciaux aussi. Jason Patric n'est pas à la hauteur de Keanu Reeves. Sinon, assez bon moment, mais quand on a vu l'excellente reussite du précédent, on ne peut que éprouvé de la profonde déception pour ce film. Distrayant mais décevant.
Si le premier opus était un modèle de film d'action, celui-ci est le modèle de suite foireuse! Il s'appelle bien Speed, mais on s'endort au bout de dix minutes. Tiré par les cheveux, même l'excellent Willem Dafoe n'arrive pas à sauver cette grosse machine commerciale qui tente mais en vain de rééditer l'exploit et le succès de son prédécésseur. Un ratage complet!
Même si la simplicité assez déconcertante du scénario et l'absence de Keanu Reeves sont regrettables, ça se laisse regarder si vous n'avez rien d'autre à faire. En fait non, si vous n'avez rien d'autre à faire re-regardez le premier.
Comment passer d’un original sympa et rafraichissant à une suite qui semble devoir être directement rangé au rayon des séries B. « Speed 2 » est pour moi l’une des belles incarnations de cette mauvaise recette : « si tu as peur de faire la même chose, fais deux fois plus. » Bah non. Justement, ce qui faisait l’efficacité de « Speed », c’était son dosage, sa montée en puissance, et surtout sa capacité à transformer soudainement une situation du quotidien en situation extraordinaire. Eh bah désolé, mais en passant du bus au bateau, on loupe déjà pas mal d’éléments fondateurs du premier opus. Et vu que derrière on se contente juste de broder plus ou moins la même intrigue mais qu’on espère la cacher derrière une multitude d’explosion et bah forcément, toute la subtilité de la démarche tombe à l’eau…