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Un visiteur
4,5
Publiée le 15 octobre 2011
Quelle Justesse, Quelle finesse! Acteurs prenants. La détresse, l'aide, l'ouverture, et enfin la vengeance... J'en dit trop en disant peu. Un excellent film! À voir!
Nuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuul. Plus Nul que Nul. Sé film sé dé la merde et le mot est faible complètement pourri; De la Merde en Fragmentation super serré. Heureusement que Milos forman ne voit pas ça sinon il s'en serais surement retourné dans sa tombe. A réservé aux pseudo Intellectuel
Film intéressant avec peu d'action mais une tension très palpable. La musique et le jeu des acteurs nous plongent dans un univers qui presente de grandes similitudes avec les films de Claude Chabrol.
Un superbe film, froid et captivant, un mélange de Chabrol et Bresson, entre revanche sociale, frustration sexuelle et rapport de genres. Le genre de film qui passera encore dans les cinémathèques dans vingt ans.
Projet ambitieux et réussi grace à la force des acteurs qui transperce l'écran et nous plonge, sans effets ni fioritures, dans un bain glacial. Impressionnante Catherine Frot si bien accompagnée par le talent de ses partenaires. Un film peu facile à encaisser, peu médiatisé (mais pourquoi donc?). La surprise n'en est plus que servie. Allez le voir!
Déborah François et Pascal Greggory lassent avec un jeu monocorde. Catherine Frot est la seule à bien s'en sortir, sans crever l'écran pour autant. Le scénario est grossier, de bonnes idées mais qui souffrent de ne pas avoir été assez travaillées. Tout comme la réalisation, probablement la raison du manque de conviction des comédiens d'ailleurs. 1 étoile pour un potentiel gâché.
une jeune fille, ayant abandonné le piano après avoir raté une audition, se fait engager comme baby sitter puis tourneuse de pages dans la famille d'Ariane, la grande pianiste qui présidait ladite audition. Mais celle-ci ne reconnait pas la jeune femme qui, par une envie glaciale de vengeance, va détruire à petits feux la pianiste. la confrontation Déborah François/Catherine Frot est épatante. Un film glacial et dérangeant, noir. Un bon cru
Le film en soit est bon ! Un scénario puissant et sans prétention (peut être d'ailleur pas assez). Ce qu'on en retient, c'est le suspens inquiétant qui est mis en place tout le long du film... vengeance ? Idolation ? Le tout nous laisse perplexe jusqu'au dénouement final qui est bien pensé !
Bref, ses défauts à mon goût sont de ne pas avoir assez appronfondit la difficultée du monde musical (et c'est pourtant la dessus que démarre le film), les musiques sont aussi interrompue un peu rapidement alors qu'elle auraient pu accompagner le film dans plusieurs passages... Son scénario, un peu trop fragile à mon goût, nous laisse un peu sur notre faim, un peu comme si tout n'avait pas été dit...
Une mention spéciale au jeu des acteurs (et notamen, actrices) Catherine Frot est époustouflante, Déborah François est troublante... Les scènes de concert sont étonament bien tournées... la musique est parfaitement en phase avec les gestes des acteurs...
Un vrai film, un chef d'oeuvre pour Denis Dercourt. Une tension insoutenable dès les premières minutes qui ne diminue pas une seule fois durant le film. Chaque seconde compte, il n'y a pas une note en trop. Deborah François est un personnage féminin qui marque le paysage cinématographique par sa froideur, son demi-sourire, son expression silencieuse, qui font d'elle un monstre, un danger oppressant et vénéneux, embellissant davantage à chaque plan au fur et à mesure que le personnage d'Ariane (sublime et touchante Catherine Frot) se fragilise. Un authentique moment de cinéma, et la plus belle histoire de vengeance jamais accomplie depuis longtemps. Ne pas s'éviter un bijou de ce genre. (Mention spéciale pour la B.O. qui, très intelligemment choisie, fait découvrir toute la profonde richesse dramatique de Chostakovitch et Schubert, entre autres. Bravo à Jérôme Lemonnier, le compositeur du film ! Il parvient à faire de la musique du film et de son silence un personnage à part entière.)
La vengeance est un plat qui se mange froid, et "La tourneuse de pages" est un drame assez glaçant. Dans la majeure partie du film, on se demande si la jeune femme interprétée par Deborah François (dont le jeu subtil est d'une rare intensité) va accomplir sa vengeance et si oui quelle forme cela prendra. L'atmosphère est perverse et malaisante mais paradoxalement savoureuse, servie par une réalisation d'une parfaite élégance et une BO superbe. Une authentique réussite, et un film assez unique dans son genre.
Au départ, j'ai l'impression d'assister à une bonne surprise de la part d'un film français. L'un de ces thriller psychologique qui rappele "Harry, un ami qui vout veut du bien" ou "Lemming". Une ambiance de film que j'ai donc tendance à apprécier. Mais au final, je trouve qu'il n'y a pas grand chose dans ce film. Je reste un peu sur ma faim. Bref, un peu déçu.
Enfin je ne regrette toutefois pas de l'avoir vu, on passe un assez bon moment quand même.
A noter l'affiche du film, que je trouve plutôt ratée, et qui ne représente pas l'atmosphère du film.
Un plat qui se mange froid mais préparé sans convaincre. Le dénouement censé être le dessert de choix tombe comme un cheveu dans la soupe car invraisemblable.
C'est effectivement un bon film, qui se laisse voir sans bouder son plaisir. Le scénario n'est pas spécialement original. La réalisation, académique, est assez plate. Mais la prestation de tous les acteurs compense largement ces petits écueils. Mention spéciale à Déborah François qui s'acquite fort bien d'un rôle assez "case-gueule". Elle habite de façon très convainquante son personnage, rendant totalement crédible cette histoire.