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    King of California
    Note moyenne
    2,5
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    119 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 24 mars 2008
    un bon moment a passer.Le film en lui meme ne vaut pas 4 etoiles mais 3 au maximum mais je lui en n'est mis 4 pour michael douglas qui est carrement dejanté il joue super bien .A voir au moin 1 fois
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 13 avril 2008
    Certes, si "King of California" louche du côté de "Little miss sunshine" sans en atteindre le niveau, la performance de Michael Douglas, mélange de Boudu et Don Quichotte, permet de passer un bon moment.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 15 septembre 2007
    C'est clair, ce n'est pas le film du siècle. Il en est même très très loin. Mais il reste tout de même plutôt sympa. L'histoire, même si elle n'est pas vraiment originale, reste quand même plutôt amusante. Les acteurs à commencé par Evan Rachel Wood (ma chouchoute) jouent plutôt bien, même si ce rôle là, ne restera pas non plus dans les anales de sa filmographie. En somme un film plutôt sympa, qui même s'il a un peu de mal à démarrer, à le mérite de vous divertir.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 5 octobre 2014
    Il y a l’océan infini. Il y a le vent qui souffle. Il y a l’immensité du ciel bleu. Il y a le bruit des vagues qui s’écrasent en rouleaux sur le sable blanc. Et quand on se retourne, on n’a derrière soi que le désert de Mojave. Cette sensation d’être au bout de la route. Au bout de toutes les routes.
    Que ressentit le premier explorateur qui foula les rivages inconnus de la Californie? Que pensa ce conquistador lorsqu’il se trouva confronté à l’ultime finisterre ? Eut-il la prescience de ce qui était vraiment en train de se passer ? Eut-il l’idée qu’au moment même où ses pieds alourdis s’enfonceraient en titubant dans l’eau du Pacifique, s’arrêterait la marche éternelle des Européens vers l’Ouest ? Eut-il l’intuition qu’il était en train de mettre un point final à la quête de l’homme blanc ?
    Car c’est peut-être à cet instant, cet instant où l’Occident s’achève, que l’histoire du monde se termine.

    Mais bien sûr, il y a une histoire après l’histoire. Même en Californie.

    En 2007 sortait, dans l'anonymat le plus complet, un film intitulé King of California, avec Michael Douglas et Evan Rachel Wood. Enfant mort-né, il sortit des salles obscures aussi discrètement qu’il y était entré.
    Ce film relate l’histoire de Charlie, sorti de l’asile psychiatrique après deux ans d’internement, et qui retrouve sa fille de dix-sept ans, Miranda, qui habite toujours, seule, au domicile familial. Charlie a une nouvelle idée fixe. Il est persuadé, après avoir compulsé à l’hôpital le journal du père Torrès, un religieux et explorateur espagnol dont l’expédition fut entièrement massacrée par les Indiens vers le milieu du dix-septième siècle, que ces pages contiennent des messages codés menant à un trésor constitué de doublons d’or espagnols, que Torrès aurait caché, quelque part en Californie, avant de se faire tuer.
    Après une vie entière ponctuée par toutes sortes de projets aussi farfelus que désastreux, l’ancien soixante-huitard qu’est Charlie, grand enfant perdu dans ses chimères, est cette fois persuadé que ses rêves vont enfin l’amener quelque part. D’abord confronté à l’agacement et à l’incrédulité de sa fille, qui endosse paradoxalement le rôle de l’adulte responsable du duo, il va finalement la décider à l'aider dans ses recherches, à travers une Californie dévastée par les autoroutes, les constructions immobilières anarchiques et les centres commerciaux.

    Qui est le scénariste et réalisateur Mike Cahill, dont c’est là le premier et – à ce jour- le dernier film ? Personne ne le sait exactement : un écrivain obscur qui a tellement d’homonymes qu’il est très difficile de retrouver sa trace sur le Net (un autre réalisateur, appelé également Mike Cahill, et beaucoup plus jeune, sévit également, et avec plus de bonheur, à Hollywood).
    A partir du même sujet, Cahill aurait surement pu faire un film « philosophique », un film « intellectuel », car lui-même est, assurément, un intellectuel. Il aurait pu commettre un film glauque et prétentieux, assuré d’être sélectionné au festival de Cannes. Il aurait pu aussi réaliser, au contraire, une petite comédie sans prétention, et la critique, se livrant à une lecture totalement superficielle de l’œuvre, l’a finalement jugée comme telle.

    Ni film précieux pour lettrés et bobos, ni fable philosophique (bien que cela soit sans doute le terme le moins impropre pour désigner cette oeuvre), ni « petite comédie », King of California ne peut même pas être classé dans les inclassables. Car il faudrait pour cela qu’il dégage une impression de bizarrerie, de distorsion, d’anormalité.
    film sur la filiation impossible entre un père autiste replié dans ses obsessions et sa fille désenchantée dont les rêves se limitent à l’acquisition d’un lave-vaisselle, film sur un présent gris et laid où les hommes trop nombreux ont tout envahi et tout souillé, et en même temps film léger, mystique, habité, visuellement extraordinaire (que de détails !), King of California est aussi une ode à la beauté, à l’imaginaire, à l’aventure, au monde tel qu’il fut, et à l’amour non-dit entre un père et sa fille, cet amour qui semble baigner cet univers atroce d’une lumière divine ; de la même façon que le fantôme de l’Amérique du Nord précolombienne, par le truchement des extraits du journal du père Torrès qui accompagnent le récit, semble illuminer ce paysage cauchemardesque d'autoroutes, de grandes surfaces, de chaînes de restaurants et de lotissements en construction.

    Même si l’expression a été tant de fois galvaudée, King of California est un vrai, un authentique OVNI. Une chasse au trésor au coin de la rue, une rébellion contre le monde moderne, une odyssée transcendée par la foi et par l’amour. Et, accessoirement, peut-être le plus grand rôle de Michael Douglas.

    Et ce trésor, dont Charlie, avec cette sorte de conviction et de détermination démente qui le caractérise, pense finalement déterminer l’emplacement exact au beau milieu d’un magasin de bricolage, sous une couche de plusieurs mètres de béton, s’avèrera peut-être une métaphore du destin du film de Michael Cahill. Du moins faut-il l’espérer.

    Qui ramènera King of California de l’Avallon des films morts avant d’avoir vécu ?
    Georges F
    Georges F

    5 abonnés 257 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 23 septembre 2007
    film à interdire aux "plus de douze ans".
    bon, c'est le thème de la chasse au trésor , celui ci se trouve dans le sol d'un supermarché ele père entraîne sa fille dans cette rocambolesque aventure oû il disparaîtra: c'était son voeu.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 5 octobre 2007
    Une fantaise originale et surprenante qui bénéficie d'une bonne interprétation avec un Michael Douglas à contre emploi et la jeune Evan Rachel Wood, mais qui s'avère assez bancale et trop bizarroïde voire incompréhensible, surtoût dans le dernier quart d'heure où l'on a vraiment du mal à y comprendre quelque chose!
    Lokao O
    Lokao O

    3 abonnés 173 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 12 septembre 2007
    sans interet hors mi voir Mr Douglas dans un autre style
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 22 septembre 2007
    King of California raconte la difficile relation qu'entretiennent Fille et Père quand ce dernier sort de quelques années d'internement psychiatrique, tout ça sur fond de chasse au trésor géante. On reconnait ici le speech d'un film indépendant américain, ce qui est plus surprenant est de retrouver Michael Douglas en haut de l'affiche. Il faut avouer que le vieux bougre s'en sort extrêmement bien dans son rôle d'Indiana Jones un brin allumé, quelques scènes de sur-jouage viennent quand même atténuer cette belle performance. Heureusement, à ses côtés se trouve la belle Rachel Evan-Wood qui se révèle aussi talentueuse que ravissante dans ce film. Le scénario est original et malgré un manque de surprises on ne s'ennuie pas. La réalisation aurait mérité d'être un peu plus dynamique pour coller avec l'esprit du film, tant pis ça plombe un peu le film dans son milieu mais ça n'empêche pas de passer un bon moment dans son ensemble devant ce King of California descendu un peu injustement par la critique.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 12 septembre 2007
    Ce film est un joli petit conte. Michael Douglas est parfait dans ce role de doux dingue naïf. Ne vous attendez pas à hurler de rire, le film vous donnera le sourire et c'est déjà pas mal.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 8 avril 2008
    Très bon film, le duo Evan Rachel Wood / Michael Douglas marche à merveille !
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 5 février 2008
    Delirant décalé inclassble un petit film doux amer sur une famille explosée par un pére bipolaire . Ses delires proches de la folie sont difficiles à suivre pour sa fille mais l"evolution de leur relation est trés belle . Un petit ovni dans le ciel convenu du cinema americain
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 28 septembre 2007
    Après avoir vu ca, Je comprends pourquoi les gens Téléchargent les films…

    Ils ne veulent pas payer, pour voir des trucs aussi navrant…
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 10 octobre 2008
    franchement, le film est pas transcendant...
    l'histoire pas exceptionnelle. un peu désuette.
    je mets une étoile pour une raison : le jeu d'acteur de mickael douglas. il est à contre-courant.
    il n'est pas indispensable à votre vidéothèque.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 26 septembre 2007
    J'ai été un peu déçu par ce film qui paradoxalement manque de folie. Michael Douglas cabotine un peu mais on lui pardonne aisément tant le film repose sur ses épaules. Le film souffre d'un manque de rythme. Il n'y a pas de surprise, la narration suivant son fil sans dévier.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 27 octobre 2007
    C'est plus la recherche à la compréhension entre un père et une fille qu'une chasse au trésor. Sympathique mais sans plus
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