Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
landofshit0
253 abonnés
1 745 critiques
Suivre son activité
1,0
Publiée le 22 janvier 2015
Une comédie familiale qui joue sur le décalage c'est un point de départ totalement possible pour faire une bonne comédie. Seulement car il y a un seulement il ne faut pas être paresseux dans l'écriture, ni dans la mise en scène. Un indien dans la ville n'a malheureusement aucune des ces deux qualités,l’écriture est simpliste,elle n'a pas une once d'originalité tout comme la mise en scène et la réalisation. La sympathie que pouvait laisser espère le pitch disparait à la vue de ce spectacle bien trop fadasse. Seul reste une comédie aux gros gags qui désespèrent bien plus qu'ils n'amusent.
Ah, sacré Hervé Pallud. Mes amitiés à Charlotte votre fille, qui vous a inspiré le nom de l’héroïne (c'est elle qui me l'a dit !). Le film est pour moi un classique, même si c’est l’unique bon film du réalisateur. Et encore, quand je dis bon film, je ne parle pas de chef d’œuvre. Il est pas mal et fait partie de notre enfance ; c’est surtout pour cette dernière raison que nous ne l’oublions pas. 3/5
Film d’enfance par excellence, Un Indien dans la ville est un souvenir pur de mes jeunes années. Rien que la musique me fait frissonner. Bon, avec le recul, on ne peut pas dire que ce soit un excellent film, même si la performance des acteurs est bien moins pourrie que la mort de Marion Cotillard dans le dernier Batman. Mais étant donné que ça s’applique à la quasi-totalité du cinéma, cette comparaison n’est pas nécessairement évocatrice. Bref. Ludwig Briand (Mimi-Siku) est tout à fait crédible en indien et Timsit est toujours aussi ringard et marrant. Un gentil film souvenir qu’il m’est agréable de regarder de temps en temps !
Un film culte à ne pas rater! Toujours aussi drole meme en le connaissant par coeur. Pas besoin d'etre un genie pour ecrire un scenario tel que celui-ci, et au final ça marche. On ne s'en lasse pas, bien au contraire.
Ce ne sera pas forcément le cas de tout le monde mais Un indien dans la ville faisait partie de ma culture ciné durant mon adolescence. Je vous l’accorde, la comédie d’Hervé Palud a pris quelques rides depuis sa sortie en 1994 mais le plaisir de la redécouvrir est intact. Il y a d’abord le duo Lhermitte / Timsit qui fonctionne à merveille et surtout Ludwig Briand qui aura marqué la mémoire de milliers de spectateurs avec le rôle de l’attachant Mimi-Siku tout cela accompagné du Chacun sa route de Tonton David. Evidemment, ceux qui découvrent le film aujourd’hui ne partageront pas le même enthousiasme et ne verront qu’une réalisation bateau et un scénario aussi léger que la tenue des villageois de Lipo-Lipo.
"Un indien dans la ville" fait partie de ces films cultes comme "le père noël" , "Dîner de cons" ou encore "Marche à l'ombre" que l'on connait par cœur, dont on peut citer certaines répliques vingt ans ou trente ans plus tard de mémoire, tant ils sont devenus une part de notre patrimoine culturel. Pourtant, à l'évidence, tout çà a quand même pris un coup de vieux...
Un film français amusant. Le scénario est tout simplement simple pour une réconciliation de divorce avec les petits ennuis que créent un indien dans une ville. Thierry Lhermitte et Patrick Timsit sont pas mal, le reste du casting est film a l'avantage de nous bien faire rigoler dont le début avec Thierry Lhermitte qui se fait terroriser par une tarentule avec une bonne musique rythmé de frissons, sans oublier les bêtises de l'indien comme abattre un pigeon avec un arc. Les décors sont à la française, à part les décors dans la jungle qui sont sympas à voir. Des costumes normaux. Un film français qui nous détendra tranquillement.
Énorme succès de l'année 1994, Un Indien dans la ville a marqué les gosses de cette époque. A la manière des Visiteurs ou d'un Crocodile Dundee, Un Indien dans la ville, comme le suggère le titre, joue à fond la carte du contraste entre un gosse élevé chez les indiens par sa mère qui s'est enfuie enceinte et qui se retrouve subitement en plein Paris avec un père et une civilisation qu'il ne connaît pas. D'où les conneries qui en découlent. On escalade la Tour Eiffel, on chasse les pigeons de Paris avec un arc, on cuit des poissons rouges au barbecue, on mange de la nourriture pour chats, on balance des coups de pied dans les parties des policiers. Des gags et des dialogues peut-être pas très malins mais il faut savoir que le réalisateur, Hervé Palud, est un ancien membre de la troupe Les 13 cloches. Troupe qui a tourné avec Philippe Clair à la fin des années 70. Lhermitte, qui a signé l'adaptation et la production du film, ainsi que son pote Timsit paraissent vite dépassés par les événements, vociférant les 3/4 du film. Les Russes sont des mangeurs des doigts. Quant aux gosses, ils font connerie sur connerie. Ludwig Briand, dont la prestation avait marqué à l'époque, qui joue le fameux Mimi-Siku, a complétement disparu de la circulation et le revoir, comme revoir le jingle du Club Dorothée dans une scène du film, foutrait presque le cafard. Que les années passent vite.
"On est mal, on est mal, on est mal!" Comédie familiale sans grande prétention, Un indien dans la ville, offre une agréable cure de nostalgie et quelques bons moments de rigolade.
Pour moi, cette comédie française basée sur le choc des cultures est inoubliable. Mimi-Siku (« pipi de chat ») est drôle et émouvant. Il nous rappelle certaines choses essentielles oubliées dans notre société dite « moderne ». Par sa simplicité, il souligne le diktat et la futilité des mots « obliger », « travail », « argent ». Le jeune Ludwig Briand fait preuve d’une grande maturité pour un acteur de son âge. Le film repose en grande partie sur ses épaules. Arielle Dombasle incarne presque son propre rôle en citadine hautaine et maniérée. Le couple Thierry Lhermitte/Patrick Timsit en traders sous pression est vraiment amusant. Même lorsque les deux compères se compromettent avec la mafia russe (et sa salade de doigts…). Le rythme ne faiblit jamais. Que de bons moments ! Citons l’escalade de la tour Eiffel (« la grande flèche qui pique le cul du ciel »), la traversée des Champs-Elysées sur la chanson « Chacun sa route » de Tonton David, la chasse aux pigeons à l’arc, la nourriture pour chat, la symbolique des casseroles, Mimi-Siku à Arielle Dombasle : « Beau foufouillon toi ! », les poissons exotiques de Timsit cuits à la broche… La famille de ce dernier est caricaturale mais reflète avec humour les comportements fâcheux de notre mode de vie : le père excité qui ne sait que gifler ses enfants, la mère dépassée qui a peur du changement, le fils en surpoids scotché devant la télévision ou les jeux vidéo, la fille insolente et rebelle. A noter que l’idylle entre cette dernière et notre indien d'Amazonie, considéré chez lui comme un homme à l’âge où chez nous ce n'est encore qu'un enfant, est emprunt d’une véritable tendresse. Tout est réuni pour faire de ce film un classique du genre.
Les bonnes comédies françaises comme celles-la se font rares de nos jours, c'est toujours plaisant de revoir ce 'classique' qui à le mérite de faire rire à travers une bonne histoire.