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Kalie
53 abonnés
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2,5
Publiée le 27 janvier 2015
Encore un film oublié des années 80 que j'ai vu durant mon adolescence. C'était une période où je me jetais sur tous les films de SF/fantastique. Mais ici, il s'agit plus d'un film sentimental. L'histoire d'un triangle amoureux entre un homme, une femme et... un ordinateur ! En renversant du champagne sur ce dernier, son propriétaire ne pensait pas le doter de sentiments. Si l'élément fantastique est original ; l'ensemble manque d'énergie. Seule la scène avec le cambrioleur donne un peu de punch.
La belle et l’ordinateur (‘Electric dreams) est un long-métrage réalisé par un certain Steve Barron en 1984. Le scénario est simple : la rivalité entre un ordinateur à l’intelligence supérieur qui à soudainement pris vie se retrouve rival contre son propriétaire pour conquérir le cœur de leur jolie voisine. Sur le papier, on pourrait vraiment penser que ce film nous ferait part d’une personnification superbe de l’ordinateur nous attachant ainsi à l’histoire et nous faisant oublier ce côté surnaturel minimaliste. Et bien sûr, en matière personnification, Christine de John Carpenter en est le maître ! Ici, rien de tout cela, cependant le côté kitsch du film, des dialogues et de la photographie contraste avec de bons plans assez intéressants de par leurs points de vues pertinents comme lors de cette scène ou Miles arrose son ordinateur de champagne, à ce moment précis on aperçoit comment l’intérieur de l’ordinateur (à savoir les puces, micro-processeurs et autres circuits) se font efficacement inondés, malheureusement le film n’est bien filmer que par moment. A croire que le réalisateur voulait offrir de bons plans mais il ne fallait pas trop lui en demander… Quand au casting, il n’est pas très mauvais, mais ne casse pas des briques non plus avec notamment des prestations mitigés de nos deux acteurs principaux, à savoir Lenny Von Dohlen en Miles Harding le propriétaire de cet ordinateur pas banal et Virginia Madsen interprétant la voisine de ces « personnes » se déclarant peu à peu la guerre pour le cœur de cette dernière. cependant, il es toujours intéressant de voir quelque chose de nouveau (une créature, ou autre chose qui n’est pas souvent humain) apprendre à découvrir le monde, et ici apprendre à expliquer l’amour. Et concernant cet amour, le film en donne une bonne leçon quand à la fin du film reflétant bien la vision de l’amour que se fait ce Steve Barron, réalisateur de ce film particulier. La mise en scène n’est pas très soigné, non vraiment ce film est aussi décevant visuellement que sur le papier avec son concept un tantinet stupide et grotesque bien que celui-ci s’inspire de la révolution qu’était la technologie comme les ordinateurs et autres objets électronique d e l’époque. Evidemment maintenant, un IMMAC es ridicule comparé à un ordinateur portable APPLE. Difficile donc de se remettre dans le contexte, en matière d’utilisation de la technologie moderne à l’époque, je ne peux que vous conseiller la première partie du film l’Amie mortelle de Wes Craven. De plus le rythme du film est vraiment étrange, vraiment pas travaillé quand aux scènes, aucune n’est percutante et nous plonge dans cet univers aucunement crédible mais s’essayant à l’innovant. Steve Barron, ton film n’est pas très connu et je comprend pourquoi…
Un film qui n'a pas profondément marqué les esprits à sa sortie. Pourtant les rumeurs de remake sont régulièrement relancées. C'est que profondément ancrée dans le début des années 80, cette petite comédie romantique témoigne du passage à l'ère du tout connecté et s'offre le luxe d'une profonde réflexion sur l'intelligence artificielle qui rappelle les grandes références SF de l'époque. En outre à la réalisation, Steve Barron, venu du video-clip (on lui doit notamment celui de Take on me de A-ha), se permet des plans inventifs qui surprennent toujours, 30 ans plus tard. Enfin la bande-son phénoménale vient compléter l'ensemble pour faire de ce petit bijou plein de charme un film culte auquel de nombreux films de SF rendent désormais hommage.
Quel plaisir de revoir ce film après tant d' années..c est surtout drôle de penser qu en 1985 ce film montrait le top question technologie alors que maintenant cela parait tellement dérisoire...ceci dit il m a rappelé pleins de souvenirs et ça reste une bonne comédie romantique des années 80..a noter la super BO du film avec de très bon morceaux.
J'ai adoré ce film et j'aimerais beaucoup le revoir mais il est introuvable en français. Peut-être les chaînes hertziennes pourraient-elles nous l'offrir en cadeau pour Noel ? Ce serait une idée très agréable.
J'avais adoré ce film quand il est passé à la télé. J'aimerais beaucoup l'acheter quand il sortira en DVD. Ce film est l'une des raisons pour lesquelles j'ai fait option intelligence artificielle durant mes études.
C'est un film romantique qui introduit quelques idées sur l'intelligence artificielle de façon plutôt poétique.
Film très sympa, très typique des années 80 ! Il fait tellement de bien à regarder ! Dommage qu'il faille plonger, piocher dans ces années là pour y retrouver de la légereté !
qu'il faisait bon vivre en 1984,le son de Culture Club,le charme de Virginia Madsen ,une comédie typiquement 80's ,c'est kitch,mais qu'importe,mais qui a eu l'idée de coller ce titre a la version Française ! Electric Dreams sonne tellement mieux..............
J'adore ce film ! Pour dire, c'est mon film préféré. Pourtant c'est cucul la praline. L'histoire d'un bel architecte complètement à côté de ses pompes qui achète un ordinateur (une pointure à l'époque mais un dinosaure aujourd'hui) et qu'un jour il aspergea de champagne ou mousseux pour arrêter un début d'incendie son PC... Suite à cela l'ordinateur sera doué d'une grande intelligence... Entretemps une jolie violonniste qui devient voisine s'installe dans son appartement. Au fur et à mesure une romance s'installe entre Miles l'architecte et Madeline la violionniste mais aussi l'ordinateur qui veut prendre possession des faits et gestes et aussi s'immiscer dans leur vie.... Ce film léger avec une histoire très originale de 1984 avec beaucoup d'humour, d'amour accompagné des chansons de Culture Club, Giorgio Moroder et de Philip Oakey (Human League) participe et renforce cette histoire en 3 type d'amour : Eros : L'amour passion. Agapé : L'amour-amitié-fraternelle-Divin. Philia : L'amour profond. Ce film très méconnu dont je ne suis pas certain qu'il soit sorti en France mérite d'être vu et revu... Je l'ai peut être vu 50 fois... Je sais une chose, c'est que je l'ai montré à beaucoup de femmes et elles ont toutes aimé.