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willyzacc
74 abonnés
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3,0
Publiée le 26 février 2011
Trop de longueurs dans ce film et toute la dernière partie dans la base sous-marine est franchement redondante.. Mais il y'a de bonnes choses et notamment la plus belle James Bond girl (Barbara Bach).
Sans être un mauvais film, l'espion qui m'aimait n'est pas non plus une réussite. Les nombreuses scènes d'actions se regardent comme toujours avec un grand plaisir, mais de nombreux éléments trop exagérés comme le personnage de requin, mélange indestructible entre Terminator et Wolverine, ainsi qu'une immense demeure sous-marine, provoquent chez le spectateur du sceptisme et l'empèchent de s'immerger entièrement dans le film.
Un James Bond original, remarquable par ses gadgets (le scooter des mers qui n'était pas encore commercialisé, la voiture amphibie), la qualité de ses décors, et la scène mémorable de la base de Stromberg sortant des eaux sur un air de Mozart. Le meilleur de la série selon moi.
Probablement un des meilleurs (si ce n'est le meilleur) James Bond Tout y est ! Bon scenario, Paysage sublime, Moore en tres grande forme, Jurgen excellent en mechant mégalomane sans oublier Requin (Richard Kiel) surement le mechant le plus charismatique , il reviendra dans "Moonraker et je finis avec la plus jolie, la plus sensuelle de toute les James Bond girl Barbara Bach Excellent divertissement
Un excellent James Bond, tout à fait emblématique de la saga et démesuré à souhait, qui imposa Moore dans le rôle. Ma critique détaillée : http://www.critiques-de-chatle.com/article-l-espion-qui-m-aimait-54450681.html
Ah! Quel plaisir de retrouver Roger Moore dans le rôle de James Bond avec son humour noir et cette classe qui l'habite depuis qu'il a tourné dans la série "Amicalement vôtre"! "L'espion qui m'aimait" figure parmi les meilleurs films de la franchise car à aucun moment il ne se produit un temps mort, l'espion étant tout le temps mis en danger et c'est cela qui lui donne ce rythme absolument tonitruant! James Bond doit comme d'habitude sauver la planète et il est accompagné et secondé par une ravissante espionne soviétique à qui bien évidemment il ne manquera pas de l'honorer de la plus basique des manières. Le scénario est donc très riche, très dense et il est sublimé par une réalisation de très grande qualité. On retrouve bien évidemment les éléments qui ont contribué au succès de cette série de films: combats à coups de poing, tirs au revolver, à la mitraillette, lancers de grenades, gadgets sophistiqués. Le film est marqué également par la présence du géant Richard Kiel dans le rôle d'un homme de main à la machoire d'acier qui tue ses victimes tel un vampire. Dans ce film, les Anglais et les Soviétiques sont alliés pour contrecarrer le plan diabolique et fou d'un Allemand amateur de poissons non pas pour les manger mais pour les étudier et les admirer, l'homme étant plus fasciné par l'univers sous-marin que terrestre. Le méchant étant un Allemand, cela n'est guère une surprise depuis la seconde guerre mondiale mais il ne faut pas juger un peuple à cause d'un fou qui veut détruire une partie de la planète car ce film ne veut en aucun cas porter un jugement politique, il faut en effet bien préciser que ce long-métrage est un pur divertissement et peu importe la nationalité du salaud, c'est un moment de pur plaisir avec énormément d'action et d'humour. Il faut ajouter que les décors sont somptueux et que les moyens techniques mis en oeuvre sont colossaux. Au final, on sort heureux de ce film parfois violent mais si jouissif que l'on en redemande. Une grande réussite!
Début prometteur, avec un personnage féminin qui semble ne pas être là que pour faire jolie (Barbara Bach étant cela dit une des plus belles James Bond Girl vue sur grand écran) et un homme de main bien sympathique en la personne de Requin. La seconde partie du film, dans l'éternelle base secrète, est hélas beaucoup plus routinière et recycle quantité d'éléments déjà vus dans d'autres volets. Ca tourne sérieusement en rond.
Probablement, le meilleur James Bond de la série avec Roger Moore. L'alliance d'une superbe photographie (bravo Claude Renoir) qui magnifie les paysages de la Sardaigne et l'Egypte et nous montre de remarquables paysages sous marins, de la musique modernisée avec l'apport de classiques, de l'excellente interprétation de Curg Jurgens en méchant pathétique qui passe son temps dans la dévoration de fruits de mer et qui crève le nez dans les bigorneaux et surtout la présence effrayante de Jaws qui apporte aussi un peu d'humour. Il y a bien sûr toujours les limites de la série (un scénario improbable et naïf, une certaine prévisibilité des actions et un Roger Moore un peu monolithique) mais le charme de ce film parfois grandiose peut opérer à certains moments. L'espion qui m'aimait fonctionne sur le rapport au gigantisme dans la nature (les pyramides d'Egypte, le bâteau géant, Jaws ...). Les scènes s'enchaînent aussi très bien. Un très bon divertissement, qui n'a pas trop vieilli.
Dixième volet de la saga Bond, L'espion qui m'aimait permet à Roger Moore d'endosser pour la troisième fois le costume de Bond. Et le moins que l'on puisse dire, c'est qu'il commence à s'y faire à ce costume. Dans ce film, sa prestation est des plus convaincantes. Côté scénario, un sous marin nucléaire britannique et un autre soviétique ont mystérieusement disparus. Pour mener l'enquête, le KGB et le MI6 unissent leurs forces et mettent leur deux meilleurs agents sur le coup : James Bond et Anya Amasova. Cette dernière sera le digne pendant de Moore pendant le film grâce notamment à un personnage plus fouillé que d'habitude et à un physique plutôt flatteur. Face à eux, ils retrouveront Stromberg, un méchant mégalomane qui rêve d'un monde nouveau. Ce dernier est cependant complètement effacé par son homme de main : "Requin", un des méchants si ce n'est le méchant le plus charismatique de la saga ! Humour, action et effets spéciaux de toute beauté pour l'époque. Bref, ce James Bond là est vraiment un bon cru et Roger Moore continue donc sa belle progression après des débuts plus que poussifs.