Avis : Les Aventuriers de l'Arche perdue - Page 4

Ce premier film narrant les aventures d'Indiana Jones est également le plus réussi (même si les deux volets suivants sont excellents). Mélange très efficace d'action, d'humour et de suspense, le tout assaisonné d'une pincée d'horreur, servi par des comédiens impeccables et une musique de premier ordre, "Les Aventuriers de l'arche perdue" s'avère être l'un des meilleurs Spielberg, tout simplement.

Indiana Jones est sûrement ma saga préférée avec Star Wars et Harry Potter, elle est cultissime, Harisson Ford est l'acteur parfait pour incarner Indiana Jones. spoiler: En 1936, le professeur d'archéologie, Indiana Jones, parcourt le monde à la recherche de trésors dont il fait don à son université. Sa dernière lubie est de braver un ancien temple péruvien et ses pièges mortels pour y chercher une idole en or massif. À la sortie du temple, son principal concurrent, le Français Belloq, l'attend avec les féroce indiens Hovitos pour lui dérober l'idole de façon déloyale. Indy parvient à s'échapper, mais sans l'idole, à bord d'un hydravion. De retour d'Amérique du Sud, il est mandaté par les services secrets américains pour court-circuiter les agents du IIIe Reich qui pensent avoir localisé l'Arche d'alliance, contenant les Tables de la Loi, sur le site de Tanis, en Égypte. Celle-ci étant censée conférer le pouvoir de mener n'importe quelle armée à la victoire, elle ne doit en aucun cas tomber entre les mains d'Adolf Hitler. Indiana s'envole pour le Népal où réside Marion Ravenwood, fille d'un de ses anciens professeurs et son premier amour. Cette dernière est en effet en possession du Médaillon de Râ, un artéfact qui permettrait de localiser précisément la relique sainte. Marion accepte de vendre le médaillon à Jones mais la taverne dont Marion est propriétaire est prise d'assaut par des brigands dirigés par l'officier de la Gestapo Arnold Toht. La taverne prend feu pendant le combat et Toht se brûle la main en voulant s'emparer du médaillon. Indiana et Marion s'échappent avec l'artefact et partent pour l'Égypte. Arrivés au Caire, Indiana et Marion retrouvent Sallah, un vieil associé de l'archéologue. Marion semble trouver la mort au cours d'un combat avec des nazis mais elle est en fait seulement capturée. Indiana s'infiltre sur le site des fouilles et découvre l'Arche mais Belloq et les nazis s'en emparent aussitôt. Indiana et Marion s'échappent du puits scellé où ils étaient enfermés et Indiana se lance sur les traces des nazis. Après une longue poursuite, il réussit à récupérer l'Arche...
Un excellent début pour la saga. Un Chef d'Oeuvre, 5/5.

Le film d'aventure ultime. Après une intro hallucinante, on est happé par une histoire captivante où les scènes d'anthologies se succèdent les unes aux autres dans un rythme effréné. Dans le genre, c'est quasiment impossible de faire mieux. Spielberg est au sommet de son art. Harrison Ford ne joue pas un personnage, il est littéralement Indiana Jones. Le reste de la distribution est brillante. La partition musicale de John Williams est magique. Aimer le cinéma, c'est indéniablement aimer ce film-là. Un chef d'oeuvre culte.

Il faut croire qu'à l'époque où le film est sorti, il apportait quelque chose de nouveau. Aujourd'hui, il reste un film pour adolescents en mal de castagne avec une succession de scènes de bravoure qui finit par lasser. L'humour , bien tiède, ne suffit pas à sauver le film.

Avant que Benjamin Gates ne déchiche le trésor des templiers et que Lara Croft use de son sex appeal et de son charisme naturel pour débusquer les artefacts dans les tombeaux les plus dangereux du globe, Harrison Ford excellait déjà dans les années Spielberg/Lucas avec une trilogie, devenue depuis une tétralogie et qui sera d'ici 2021 une pentalogie. Indy ne meurt décidément jamais, il est éternel.
Eternel, comme la nostalgie qui comme souvent prends le dessus sur la raison, ce film est considéré comme une oeuvre d'art à part entière par bon nombre de cinéphiles et pourtant il n'en a pas l'étoffe, comme bon nombre de films des années 80.

Je pense à cet Indiana Jones, Terminator , Le retour du Jedi, Retour vers le futur, qui sont tous des films appréciables, mais pour aucun d'entre eux je ne me voyais mettre une note plus élevée que 4 car ce sont ni plus ni moins que de bons divertissements. Mis à part peut être pour le "Retour du Jedi" qui fait plutôt office parfois de films pour enfants qu'autre chose lorsque l'on y regarde de plus près. Les Ewoks ça démystifie sévère quand même ...
Si le môme qui demeure en nous aime se retrouver par procuration au travers des yeux du héros dans les légendes occultes anciennes à la recherche de reliques ancestrales en se jouant des pièges , des ennemis, et des animaux, terrifiants, plaisir que j'ai savouré lors de la scène d'ouverture ou tous les ingrédients sont réunis pour combler mes songes d'enfants, avec ce qui fait l'essence même d'un aventurier. Ce sera d'ailleurs selon moi la meilleur scène du film.

Mis à part ça, on retrouve tous les codes de ce genre de film : Une bande Son efficace et entêtante , elle n'a rien d'exceptionnelle ( je sais que je vais pas me faire des amis en disant ça ) mais comme un bon vieux tube, elle a se je ne sais quoi dans la partition qu'on peut difficilement se la sortir de la tête et l'oublier, il faut dire que Spielberg force un peu avec en la ressortant à outrance, tout était fait pour que le thème musical ne nous quittes plus à la sortie du ciné.
Les acteurs, volontairement caricaturaux mais ça ne les empêche pas d'être très mauvais pour certains, je pense à L’interprète de Marion qui surjoue.
Les combats pareil, mieux vaut ne pas les prendre au sérieux mais c'est de la pastiche c'est donc voulu et dans ces cas je suis ok.
Tout simplement un pêle-mêle des films d'aventure qui ravira les inconditionnels de ce genre.
La dernière scène dans le tombeau lors de la cérémonie pour ouvrir l'arche est une mauvaise conclusion, tout est ultra Kitsch : le fond vert dégueulasse, la réaction en démesure des acteurs qui ne baigne plus dans la caricature mais dans la mauvaise parodie, les effets spéciaux archaïques, Ce n'est pas digne d'Indiana Jones.

En somme un film tout public qui émerveillera sans doute vos enfants mais qui n'est qualitativement ni plus ni moins qu'une distraction très correct.

Alors que sa création Star Wars vient de marquer durablement la science-fiction et le 7ème art, George Lucas entend bien laisser libre court à son imagination en s'attaquant à un autre genre: le cinéma d'aventures. Ayant l'idée d'un globe-trotteur casse-cou, il confie le projet à son ami Steven Spielberg, qui lui aimerait réaliser un James Bond. C'est donc tout naturellement que leurs aspirations donnent naissance à Indiana Jones. Professeur d'archéologie, Henry Walton Jones Jr est un véritable expert en occulte qui n'hésite pas à prendre congé dès qu'il a un trésor légendaire à retrouver. Malheureusement, dans ses quêtes, il se retrouve fréquemment en "conflits d'intérêts" avec les nazis. Dans le cadre de l'Arche d'Alliance (censée conférer un pouvoir absolu à son détenteur), l'aventurier au chapeau brun (campé avec excellence par Harrisson Ford) va avoir fort à faire pour être le premier à mettre le main dessus. La Gestapo le suit de très près et ce n'est pas le seul obstacle sur sa route. Accompagné de Marion Ravenwood (rayonnante Karen Allen), un ancienne élève et accessoirement ex-amante, Indiana Jones va devoir braver bien des dangers pour réussir là où tant ont échoué.
Du pur Spielberg qui s'amuse comme un enfant et parvient à ranimer celui qui sommeille en nous tout en sachant combler les attentes des adultes. Humour, émotion et grand spectacle sont menés de main de maître et à aucun moment on ne veut que ça ne s'arrête. Suivre Indiana Jones dans son voyage demeure un plaisir comparable à celui qu'on éprouve en tournant les pages d'une bande dessinée (comme Tintin par exemple). Les années ont beau passer, on a toujours autant de joie à s'y replonger. On en connait les rebondissements, on en récite les dialogues pétillants et on en connait la mélodie par cœur (incroyable John Williams). Mais rien n'y fait, on ne s'en lasse jamais. Pour terminer: si le cinéma d'aventures devait se résumer à un nom, ça ne pourrait être que celui d'Indiana Jones.

Un très bon film d'aventures comme on n'en fait plus, même si les effets spéciaux ont quand même vieilli...

Un film qu'on a aimé enfant et dont la magie s'est malheureusement totalement dissipée à l'âge adulte. L'humour est bas de plafond, les personnages sont très superficiels et l'intrigue demeure linéaire et complétement insipide. Quelques scènes d'action évitent de piquer du nez. Le comble du ridicule est atteint dans le dénouement. Indiana embarque sur un sous-marin à l'insu des méchants nazis on-ne-sait-comment. Tout le monde débarque sur une île sur laquelle les paysages sont identiques à ceux d'Égypte ! Des effets spéciaux complétement datés achèvent le tableau... Bref, ce n'est pas un fana de Spielberg qui vous le dit, mais en dépit de tout, je déconseille ce film aux nouvelles générations qui n'ont pas connu ce film dans leur jeunesse. Les autres pourront éprouver leur nostalgie mais attendez-vous à être déçu...

Film de super héros à visage humain, le premier volet d'Indiana Jones est difficilement regardable en raison de son extrême faiblesse scénaristique, proche du rocambolesque. Indiana Jones retrouve dix ans après une amie dans un coin perdu du Népal, Indiana Jones traverse la Méditerranée dans un sous-marin sans qu'on sache s'il était dehors ou dedans (dehors il se noierait, dedans, il serait repéré...) Indiana Jones est convoqué par les services secrets Américains et comme par hasard il transporte avec lui un livre ancien et épais sur l'arche d'alliance, qui est justement le sujet des services secrets. Et en l'ouvrant il tombe immédiatement sur le dessin de l'arche, sans même avoir besoin de feuilleter. Très inspiré de Tintin, il touchera le public dans la nostalgie et le rapport ontologique à l'enfance. Mais on est plus proche (très proche) de Tintin au Congo que de Tintin au Tibet. Les clichés les plus détestables sont nombreux. Autre élément du film assez insupportable: l'usage assumé des faux raccords (Indiana Jones au fond d'un trou alors que la porte se referme; plan sur la porte, plan sur Indiana Jones, plan sur la porte qui s'est à moitié relevée...).
Le film ne tient qu'à un ensemble de saynètes d'action fort efficaces, parfois surréalistes, mais mal agencées entre elles.

Les Aventuriers de l'Arche perdue est LE film d’aventure, celui qui a définit les bases de tout ceux qu'on connaît aujourd'hui. Autant le héros que les seconds rôles, les personnages sont tous très bien écrits. Le personnage d'Indiana Jones oscille continuellement entre le courage et l'humour, donnant au film de régulières bouffées de fraîcheur. J'ai particulièrement aimé Marion, en femme forte, non dénuée de charme et très débrouillarde. La musique de John Williams, évidemment culte est impossible à dissocier de ce chef d'oeuvre qui a marqué des générations, et qui continuera d'émerveiller les plus jeunes, comme moi ce soir.

Juste pour répondre à tout ceux qui disent que ce film est nul, mauvais etc ... Je vous dirais juste de vous replacer dans le contexte de l'époque ! Celui-ci est sortie en 1981 et ces l'un des premier de Steven Spielberg. Alors avant de dire que ces une grosse bouze réfléchissez 2 minutes ! Surtout, renseignez vous un peu avant sur le reste. Bande d'a******

Pourquoi j'adore: Un réalisateur (Steven Spielberg), un acteur (Harrison Ford), un scénario (ennemis Nazis), une bande originale (John Williams), une aventure, de l'action, de l'humour et un mystère ... nous voilà paré pour la plus grande aventure de tous les temps, ou l'unes d'entre elles. Que dire, on est émerveillée par le charisme et l'humour irrésistible de notre Han Solo chouchou déguisé en archéologue, le casting est excellent et les scènes cultes s’enchaînent à tout va. Le thème principal du film restera gravé dans les mémoires comme l'un des plus marquants du cinéma, les effets de surprise et la maîtrise de la caméra font planer le spectateur dans cette aventure dangereuse et excitante. Sans nul doute le meilleur film de la saga à mes yeux, un univers et un personnage tout deux emblématiques et référentiels, une imagination débordante de génie par un réalisateur modèle, sans nul doute celui qui a su maîtrisé n'importe quel genre de film, tout comme l'a était Kubrick mais différemment. Un grand, très grand classique dégoulinant de charme et de bonne humeur.

trop cool!
j'ai adoré!

Je note 5 étoiles alors que ce premier volet n'est peut-être pas le meilleur de la série des Indiana Jones, mais il est le premier, et rien que ça lui donne un avantage. Grâce aux talents conjugués de Spielberg, de George Lucas producteur, et de Harrison Ford, un nouveau héros fait une entrée fracassante à l'écran en 1981, et va vite devenir mythique, et plus de 30 ans après, ça n'a pas pris une ride, le film conserve toujours son pouvoir de séduction. Indy pour des millions d'intimes, c'est l'aventure personnifiée, puisque comme le clamait le slogan de la production, c'était "le retour de la grande aventure". En effet, le film ressuscite l'inventaire complet des vieux sérials d'après-guerre et des grandes productions de cette époque : exotisme, lieux mystérieux, pièges mortels, bestioles venimeuses, rythme effréné... et à ce titre, la séquence d'ouverture (qui se termine par la boule géante) est un très grand moment d'anthologie. D'autres scènes deviennent célèbres, comme celle où Indy assistant aux moulinets de sabre d'un guerrier, sort son revolver et le tue nonchalamment...c'est l'un des gags les plus connus du film où toute l'aventure assaisonnée d'une constante dérision, est captivante jusqu'au final dantesque. Un grand classique qui fait toujours autant rêver.

Sans grande épaisseur, ce blockbuster adulé par des centaines de millier de fans,
est vraiment mauvais. On assiste au même type de film qu'on nous sert aujourd'hui, c'est-à-dire des belles images mais rien dans l'écriture. Voici le grand problème de tous les films de Spielberg. Encore une fois, je n'ai pas tenu plus d'une heure, tellement les stéréotypes de l'aventurier sont flagrants. Dégueulasse, malgré les belles images, j'ai vraiment de la peine, avec ces blockbusters, soit disant, intelligents.