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Un visiteur
4,0
Publiée le 18 octobre 2009
Passons sur le scénario, basique, mais allez faire un scénario original à partir d'un background relativement peu développé dans le je adapté. Quelques trahisons côté personnages, plus ou moins pardonnables (Balrog non affilié à Bison, Honda sumo hawaïen...). Bref, de mauvais points.
Au-delà de ça, on trouve quoi?Une interprétation sympa et enthousiaste, et l'ultime rôle de Raul Julia, stupéfiant. Il ne joue pas Bison, il EST Bison, tellement il a su restituer la mégalomanie et la folie du personnage, malgré une carrure loin de le valoir.
Bourré également d'humour et de répliques toutes plus cultes les unes que les autres...
Street Fighter n'est pas la meilleure adaptation de jeu vidéo qu'on ait vue, mais il a le mérite, au moins, de proposer un film divertissant, sans prise de tête, et efficace.
Qu'on soit fan ou pas de Street Fighter, on passe un bon moment de détente, et on lui en demande pas plus.
Une grosse blague ce film je me suis bien marrée... trop jeune à l'époque pour le voir. Avec le recul...je sais pas vraiment l'engouement du film à l'époque mais bon... des sauts surhumain un JCVD qui se la pète... des répliques magnifique...une fin...enfin bref l'impression d'être à NanarLand
Quand on annonçait l'adaptation du célèbre jeu vidéo "Street Fighter II" au début des années 90, les fans étaient à la fois impatients mais aussi terrifiés de voir le résultat. Et petit à petit que les informations défilaient dans les magazines spécialisés de l'époque, ils devenaient de plus en plus craintifs jusqu'à ce qu'ils soient préparés au pire : Street Fighter serait un nanar. Il faut dire qu'en étant réalisé par le tâcheron Steven E. DeSouza, principalement scénariste de blockbusters, et piètrement interprété par un Jean-Claude Van Damme hélas involontairement comique, le long-métrage ne pouvait être une réussite dite 'sérieuse'. Interprétant un héros patriote américain avec l'accent belge, JCVD, alors en plein essor, se ridiculise copieusement face caméra. Autour de lui, une mise en scène de série Z et surtout un scénario d'un ridicule affligeant, écrabouillant la petite mythologie du jeu, et de nombreux personnages deviennent inconsistants, leur rôle se minimisant au profit d'autres. Ainsi, pour les fans du jeu, certains sont soit rabaissés au rang de sous-fifres sans importance soit des personnages à la personnalité ridiculement changée, en témoigne Dhalsim, devenu ici un scientifique chevelu se rasant on ne sait trop pourquoi la tête à la fin du film. Deejay est quant à lui un sbire transparent lançant vanne sur vanne, E. Honda un caméraman insignifiant se battant mollassonnement avec Zanguieff sous fond du thème de Godzilla (oui, ils ont osé) tandis que la fameuse bête Blanka ne sert strictement à rien, son unique apparition en monstre vert étant d'une inutilité affligeante. Trop de personnages pour une une si mince intrigue amenait inéluctablement à une inconsistance élémentaire, le long-métrage se concentrant principalement sur le combat Guile/Bison, ce dernier étant malheureusement interprété par le regretté et excellent Raúl Juliá dont c'est hélas le dernier film. Une image bien ternie donc pour l'ex-Gomez Addams qui cabotine ici à outrance, l'acteur étant autant en roue libre que ses compagnons de fortune, tous aussi grimaçants les uns que les autres. Autour d'une histoire ringarde, de décors presque en carton pâte et de costumes cheap, nous n'oublierons bien sûr pas les combats mous du genou chorégraphiés à la va-vite et les infidélités multiples au jeu original qui nous font au final nous retrouver face à un film d'action médiocre au possible. Street Fighter, un nanar mémorable rentré immédiatement au panthéon du genre...
Un Vandamme d'un bon niveau, même si celui-ci n'y est pas pour grand chose... Il joue mal, ce n'est un secret pour personne. Mais bon, côté baston, il faut reconnaître qu'il est plutôt balaise. Et quand le reste du casting se met au diapason, ça donne un spectacle agréable à regarder. Raul Julia joue à merveille son personnage au second degré. Certains dialogues sont même tordants (je ne sais pas si c'est voulu) : " Vous vous oubliez ! - Nan ! C'est vous qui avez oublié vos couilles !" Ou encore : "Si vous voulez quitter cette prison, il faudra me passer sur le corps." Et que dire de : "Eh bien moi, à la maison, j'y retourne pas tout de suite. Je vais prendre mon bateau, remonter ce putain de fleuve et infliger à Bison une déculottée si sévère que le prochain aspirant Bison aura chaud aux fesses!" Bref, du grand art!
Ici on dépasse largement le nanar, une daube sans nom qui au fil des années devient un bon cru de nanardise : on a le droit à tous les personnages du jeux vidéos ( qui est complètement massacré ) plus ou moins ressemblant, des combats mous, mal orchestrés et vraiment risibles, un fil conducteur inexistant tellement les scènes n'ont rien à voir entre elles, des costumes ridicule et pour couronner le tout des dialogues assez drôles : la palme revenant évidemment au discours de JCVD qui est juste énorme de connerie mais qu'est ce que c'est drôle... A voir entre potes et totalement bourré.
« Street Fighter ». Je n’aimais pas le jeu vidéo mais j’ai aimé le film. Pourquoi ? Simplement parce que en le voulant (ou pas), cette adaptation est une parodie de navet, et un film d’action au effet spéciaux et au combat aussi gros les uns que les autres, mais le pire c’est que cela fait rire et que l’on aime ça ! Ajoutez à cela la présence de J-C Van Damme et de quelques autres acteurs non connu, mais physiquement ressemblant aux personnagesdu jeu, menépar un Guile intélligent, fort et séduisant et vous obtenez un film d’action burlesque , raté mais attachant. A voir au moins une fois.
Les personnages sont malheureusement très très différents du jeu vidéo... Dhalsim n'est pas un docteur, Blanka n'est pas l'ami de Guile, Sagat et Vega sont des hommes de Bison, Balrog est un autre homme de Bison, pas un journaliste, Honda n'est pas journaliste non plus mais un sumotori, T.Hawk et Cammy ne sont pas de l'armée, Dee-Jay et Zangief ne sont pas des hommes de Bison... Bref, loin du jeu, quoi... De plus, on dirait encore une fois les Etats-Unis contre l'URSS (présence de Zangief dans le camp de méchants) car les Nations Alliés ont un hymne typiquement américain alors que Shadowloo a un hymne russe (dans les vestiaires, on l'entend). De plus, Guile n'a pas un si grand rôle, et Ryu et Ken ne sont pas arnaqueurs... Ryu est vagabond, Ken est riche à millions. Mais le scénario n'est pas mal quand même et les acteurs arrivent tout de même à bien relever le niveau malgré quelques répliques dont ils auraient pu s'abstenir... Venez en parler sur http://tempslibre.forumr.net
Alors que les chose soit claire ce film est loin très loin d'être un chef d'œuvre. Mais quand on est fan de JCVD et qu'on prend en compte le plus important c'est a dire que c'est tirer d'un jeux vidéo qui n'as aucun scénario on ne peut que constater que c'est l'une des meilleurs adaptation de jeux et ça même si ce n'était pas très difficile ça fait quand même plaisir. En plus c'est fun et pas prise de tête alors soyons fou. 4 étoiles.
Un film tiré d'un jeu vidéo à succès (j'adorais y jouer quand j'étais plus jeune!) qui a le mérite de ne pas se prendre au sérieux. Le contrat est rempli: absence de psychologie et combats permanents. Une série B pour les inconditionnels de Van Damme qui du reste est assez distrayante.
Un très bon nanar hilarant avec Jean-Claude Van Damne , Raul Julia et la chanteuse pop Kylie Minogue qui veut être l'adaptation du jeu vidéo Street Fighter.