Avis : Alerte - Page 3

Il devrait être interdit de tourner de tels navets !!! Mais que font ces excellents acteurs dans un nanar pareil ???

Le genre de film qu'on voit différemment en 2021, donc après le Covid-19. En guise d'ouverture, une citation de Joshua Lederberg : "The single biggest threat to man's continued dominance on the planet is the virus" ("La plus grande menace contre le règne de l'homme sur la planète est le virus"). Citation largement démontrée par le coronavirus qui a mis à genoux l'humanité depuis plus d'un an. Le film pose aussi la question des armes biologiques et des intérêts personnels de hauts dirigeants à les développer. Les effets spéciaux et les brushings sont très 1990, donc soyons indulgents. Une course d'hélicoptères en revanche mérite le coup d'œil. Le scénario tient la route et les acteurs sont bons, même si Morgan Freeman a déjà été plus incisif. À voir avec un masque FFP2.

Un film d'actualité ! "Alerte" réalisé par l'excellent Wolfgang Petersen en 1995 bénéficie d'une bonne distribution et d'une bonne réalisation. Du voyage, de l'action, de l'aventure, un scénario dont la portée va bien au-delà d'une simple épidémie. Une véritable enquête épidémiologique doublée d'un thriller politique. Une durée généreuse. Un très bon film rondement mené.

Ça commence par un gros cliché, Hoffman et Russo sont en instance de divorce donc on devine qu'ils vont se rabibocher en fin de film. Mauvais signe mais la première partie du film est plutôt bonne avec le développement de la pandémie. Mais dès que Hoffman décide de n'en faire qu'à sa tête, on a un autre film qui sombre rapidement dans le ridicule, l'invraisemblable, le convenu et le grotesque sans oublier des bons sentiments comme s'il en pleuvait. Notons que tous les efforts du réal pour créer du suspense tombent à l'eau, tout étant prévisible. Côté interprétation, tous ces braves gens sont en minimum syndical et Rene Russo n'est pas fait pour ce rôle (elle était  si belle dans Thomas Crown). Bref ça craint !

Un film plein de suspens joliment réalisé. L'histoire est crédible jusqu'à la fin ou là c'est un peu plus délicat. A l'époque de sa sortie, ce film fût le moyen d'ouvrir les yeux aux gens sur ce qu'il est possible d'arriver dans notre nouvelle société. L'histoire est inspirée de celle d'une ville des USA Reston, ou a eut lieu une épidémie en 1989. Le film nous tient en haleine du début jusqu'à la fin. Un film méconnue qui vaut pourtant le détour !

A premier vu, on se dit quel beau casting en plus datant des années 90, on peut éviter la bouse à l'américaine..... Et bien non louper ! Le mot "bouse" est certes exagéré, on en est tout de même pas à ce niveau mais tout de même pas très loin. En effet, ce film est bourré d'incohérence qui démontre l'impossibilité de chacun des faits au fur et à mesure qu'ils sont évoqués. On ne me fera pas croire, qu'avec toutes les réglementations de vol, l'étude scrupuleuse du carnet de santé ou la consultation d'un véto n'aurait pu empêcher ce beau petit singe d'entrée sur le sol américain ? Bon admettons, mais vous ne me ferez pas croire que Jimbo Scott (aussi beau soit Dc M'amour) est pu voler un animal sans que personne ne s'en rende compte ? Bon allons admettons, il y a toujours des failles administratives et organisationnelles. Mais vous ne me ferez jamais croire qu'un président valide le fait de tuer un village entier même si ce dernier est atteint d'une épidémie non maitrisable ! Si oui, alors je prends tout de suite un ticket pour la lune parce que c'est du grand n'importe quoi ! Bon toute ses incohérences construise peu à peu le film et ses répliques. La réalisation est moyenne mais tout à fait typique de ce genre de film. Et moi qui pensait que Dustin Hoffman au casting était une valeur sûr.... Finalement je ne vais plus me fier à mon jugement. On devine aisément la fin bien entendu, aucune surprise même dans les incohérences, on s'y habitue même presque. Les acteurs sont bien en dessous de ce qu'ils ont pu nous offrir avant. Mais pour autant... et bien sa se laisse regarder (peut être que mon rhume a aidé), on passe un moment et on se dit qu'on ne le regardera plus.

une tres bonne distribution au service d'un film bourré d'invraisemblances. peu convaincant.

Histoire irrealiste servant de pretexte un thriller assez bien mené. La fin comme d'habitude est pleine de clichés.

Bon film catastrophe qui se laisse regarder. Les acteurs sont bons et le scénario est classique pour ce genre de film. Un bon divertissement sans plus.

Un long métrage pandémique qui ne trouve pas assez de force pour vraiment angoisser et donc se plonger dans le film. 11/20

L'infiniment petit est depuis longtemps à l'étude. L'arme idéale de demain, les virus ont la dos large dans ce film catastrophe. L'intrigue est palpitante et finalement nous fait comprendre notre impuissance réelle face à ces micro-organismes.

Ce film coupe le souffle, durant 2 heures on arrête de respirer et on regarde. Tout y est réussi, le scénario, le casting, la réalisation...
A voir si ce n'est pas encore fait...

Bien avant le parfait Contagion, on eu eu droit à cette pépite sur les virus, avec des acteurs impeccables, de l'action, du suspens... Pour l'anecdote, ce film c'est mon tout premier rendez-vous galant, place de la Liberté à Toulon. Tellement génial que c'était impossible de détourner mon attention, la personne m'accompagnant a eu beau essayer des moves, rien à faire, j'étais dans le film! spoiler: spoiler: on a fini par sortir ensemble quelques mois et se perdre de vue pendant des années, puis on s'est retrouvés et on est super potes!
Revu récemment, ce film n'a pas pris une ride et vaut bien plus que sa note actuelle.

Devenu un classique du genre, ce film nous donne une idée très hollywoodienne d'une pandémie terrible. En effet le début est plutôt bon, mais un virage s'opère au deux-tiers du film et part presque dans le film de guerre voire l'action movie bien mièvre, et c'est dommage.

Si "Alerte" est plutôt efficace dans sa première partie où il fait propager son virus, ennemi invisible et insaisissable, il devient guignolesque dès que des militaires bourrins et caricaturaux entrent en jeu et qu’il cède à des facilités énormes pour conclure son récit.