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laurentcmoi
16 abonnés
234 critiques
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0,5
Publiée le 26 juillet 2014
Mais qu'est-ce que c'est que ce film ?! On dirait une série Z sur la câble. Ce huis-clos ridicule n'a pour commencer quasi aucun effet spécial. Une succession de clichés et d’invraisemblances qui peut-être plaira aux ados et amateurs du genre.
Un blockbuster post-apocalyptique impressionnant et des plus intelligents. Transposer la lutte des classes dans un tel contexte et dans un lieu aussi confiné qu'un train, dernier refuge de l'humanité, souligne la vitalité du cinéma corréen. Le réalisateur, Bong Joon Ho, transpose la BD originelle et propose des scènes d'action d'une grande violence, sans pour autant verser dans la bouillie visuelle et inutile, privilégiant davantage l'aspect psychologique des personnages. Parfaitement identifiables, le spectateur a tout comme eux envie de poursuivre la lutte jusqu'au wagon de tête, et de découvrir ces derniers un par un, voyant les différents strates de la population, et de l'humanité en général Le tout filmé avec rythme et ambition (malgré un budget moindre), jusqu'à un final saisissant et d'une morale desespérante et désespérée.
Un divertissement intelligent, voici une denrée rare sinon se doit de saluer ! Intéressant de bout en bout et n'en faisant jamais trop, le film se laisse suivre avec plaisir. Reste quelques détails, notamment l'insupportable utilisation de la caméra a l'épaule sur quelques séquences de la première partie du film, mais l'ambiance qui règne au-dessus de ce train nous fait oublier tout ça.
C'est un film plein d' espoirs, un peu sanglant mais bien dans le style coréen. Chris Evens, plus connu pour le rôle de Gallen dans NCIS Los Angeles, s' en tire bien. Un grand bravo pour W. Hurt et Ed Harris!
Cruels mais réalistes, les films sud-coréens ont tous des scénarios plus ou moins déterminés. Dans ce film, ô combien sans issue de secours, le film s'avère extrêmement dur. Certes, la fin reste légèrement tronquée (l'image d'un ours à la fin) mais, sinon, le film tient largement la route, même si certains points sont loin d'être résolus. Un deuxième volet peut-être?
Il est extrêmement difficile de produire une flatuosité satisfaisante en période de grand froid. Snowpiercer réussit l'exploit en y ajoutant tous les ingrédients nécessaires : un repas familial bien garni, riche en flageolets et viande séchée, une discussion politique tendue qui fait serrer à tous ses sphincters et un bon litre de vin pétillant à température ambiante.
Mélangez le tout et vous obtenez une oeuvre abstraite, grandiose, presque arrogante, tendance acajou, qui se répandra partout dans le jardin enneigé des grands-parents.
Un film de science-fiction post-apocalyptique au synopsis d'apparence basique avec une lutte des classes mais au développement scénaristique spectaculaire. Une photographie sensationnelle, une ambiance claustrophobique qui s'installe et fonctionne très bien, des rebondissements dantesques qui prennent aux tripes, quelques passages d'anthologie qui font penser à "Old boy" ou "Thirst" de Park Chan-wook, une mise en scène de Bong Joon-ho grandiose, un casting et une interprétation de gros calibre comme John Hurt, Tilda Swinton. Grosse impression.
Film complètement ridicule d'un futur post apocalypse (aire glaciaire crée par l'homme) ou les derniers humains sont dans un train qui fait le tour de notre continent en 1an spoiler: (depuis 18ans) . Tous les clichés y sont : d'un coté en queue de train les pauvres incultes et exploités par les puissants nourris à la gelée spoiler: d'insectes et de l'autre coté du trains : les puissants vivants dans un luxe extrême et la décadence... Le scénario est ridicule, la réalisation ne tien compte d'aucune réalité (un train ne peut pas voyager spoiler: 18 ans sur des pistes glacés sans tomber en miettes !!!!! impossible de combler tous les besoins en bouffe, boissons, cosmétiques, vêtements (il y a les moutons et les champs de coton dans le train !!!!), .... en autarcie pendant cette durée. Les acteurs ne semblent pas y croire non plus : n'importe quoi : le pire blockbuster au monde
Basé sur un scénario de catégorie sociale ultra-vu à savoir « riche vs pauvre », ce film fantastique reste divertissant mais s’essouffle rapidement par sa réalisation convenue et un final bâclé.
Une vraie déception que cette adaptation par Bong Joon-Ho, sans doute le meilleur réalisateur coréen, du classique de la BD made in France, "le Transperceneige" : après un départ assez entraînant, qui laisse bien augurer de ce parcours horizontal des strates d'une société futuriste survivant à bord d'un train lancé à pleine vitesse au coeur d'un monde gelé, où Bong sublime l'ambiance crasseuse de la BD et laisse espérer un puissant travelling illustrant l'éternelle lutte des classes, régulièrement percuté par des scènes de violence dont les Coréens possèdent le secret, le film se perd peu à peu. Le choix d'une illustration baroque (limite on est chez Besson, c'est dire) des wagons-classes sociales, le manque de conviction - voire d'intelligence, un comble chez Bong - du filmage de l'action, le choix d'un burlesque grinçant qui, malheureusement, ne fonctionne pas dans ce contexte (alors que dans "The Host", l'humour désespéré transcendait le sujet), toute ces fautes font que Bong n'arrive jamais à dépasser les limitations d'un budget visiblement insuffisant pour recréer la vision démentielle de Lob et Rochette au cinéma. Même si, et heureusement, "Snowpiercer" ne tombe jamais dans la facilité du blockbuster S.F. à l'américaine, il reste l'ébauche parfois inspirée mais souvent frustrante du grand film qu'il aurait pu, non, qu'il aurait du être.
Premier accroc pour un réalisateur que j'adore. Il y a d'abord à mon sens un problème de casting et de direction d'acteurs (le real est manifestement moins à l'aise avec des acteurs dès lors qu'ils ne sont pas Coréens.Rôles principaux massacrés ! Pour quelle raison ? difficile à dire). Mais il y a surtout de gros problèmes d'incohérences qui dans un autre contexte aurait pu faire dire au spectateur "waow, blockbuter personnel, signé par un auteur sans souci particulier de réalisme", or le fonds ici est tellement simpliste (toute la trop explicative scène finale en atteste), la métaphore tellement lourde (le train comme notre terre surpeuplée) que chaque petit raté narratif saute littéralement aux yeux et n'a jamais l'effet escompté. Je prends par exemple cette entrée en matière, pré-révolutionnaire, qui donne le sentiment de démarrer au milieu d'un film (???). Audacieuse mais Ô combien hasardeuse ! Puis tout s'enchaîne de façon bien trop linéaire d'un wagon à l'autre (alors que ça devrait grossir, monter en intensité...) au point que le train semble avoir été traversé en 2 temps 3 mouvements de façon monotone (un tableau chasse mollement l'autre) pour déboucher devant une petite porte qu'il suffirait de faire sauter, tout bêtement, pour libérer toutes ces âmes en transit ? Un peu léger tout de même ... On touche alors du doigt le vrai gros problème du film : il se construit sur le sable du tout théorique, sur la mélasse d'idées qui par essence manquent de chair. C'est ce qui donne l'impression d'une absence de densité alors qu'on est passé d'un bout à l'autre du train ultra rapidement... Cela finit par laisser un goût d'inachevé, un sentiment de gâchis pour un pourtant beau matériau. Mais l'intrigue est hélas fumeuse au point de friser le produit made in nanarland par instants, surtout vers la fin, je pense aux combats à mains nues avec un mort-vivant sur un ponton "infernal" (lourde symbolique pour appuyer le fait qu'on est dans la salle des moteurs et donc un peu en enfer) ou ces allers-retours sans queue ni tête de la jeune femme asiatique pour aller chercher une improbable clé... Restent de très beaux moments : le bras congelé en 7 minutes, la scène des paniers d'oeufs dans une jolie classe d'enfants, la scène de baston en infra-rouge ! Mais ça fait maigre. Gros loupé. On attendra le prochain pour se re-réjouir !
Une idée de film très originale, avec l'appui d'un casting très diversifié, mélangeant notamment acteurs américains et coréens. Kang-ho Song et Ko Asung sont exquis dans leur interprétation d'un couple coréen à moitié timbré mais gardant le sens du devoir. Analogie de la lutte des classes, il est vrai que le scénario est toutefois sans innovation majeure.
Comment ce film peut avoir 3 étoiles ?! réveillez vous ce film est une daube humaine ! Aucune crédibilité ! une scène qui m énervé ! la prof coincé du fion qui sort la mitrailleuse sous les oeufs. mais c est à chier . qui va croire ça ? Et k autre avec son dentier ! genre la folle. qu'elle mer.. pouvez vous me dire comment est ce que les riches font pour se loger, prendre leur douche, laver leur vêtement, se nourrissent etc... depuis 14 ans sans que le train se soit arrêté 1 fois. Et l aquarium! magique. un film pour abruti voilà ce que c est !