Derniers Avis : Snowpiercer, Le Transperceneige - Page 28

J'ai probablement du passer à côté de quelque chose...

Choquant et violent. Le film décrit la lutte des humains pour leur survie dans un monde où la glaciation a réduit à néant toute vie sur Terre hormis dans ce train permettant une vie en autarcie. La lutte des classes y est très bien décrite, l'animalité de l'Homme en situation extrême également. Le scénario part d'une idée originale mais cumule les invraisemblances. Sur le train tout d'abord : hyperpuissant face aux coulées de neige et de glace, qui fonctionne depuis 18 ans de manière ininterrompue et dont on ignore tout du mode de propulsion et du carburant alors qu'il date de notre ère (l'année de départ du film est 2014). Sur la nourriture, comment faire vivre tout un écosystème dans un train, comment sont en particulier développés ces insectes qui font partie de la nourriture de base. Invraisemblances dans les scènes d'action également : le tir d'un bout à l'autre du train avec une extrême précision. Les décors sont en revanche de haute volée, la réflexion sur la nature humaine est passionnante, l'action menée tambour battant, on a envie d'y croire, mais on est à la peine. Dommage.

J'ai regardé le film sérieusement 10 minutes, après j'ai ris et je me suis mise en mode nanar 30 minutes, après je me suis ennuyée, quel navet!

Que s'est-il passé dans la tête du réalisateur? une bonne idée de base (même si théoriquement c'est impossible) avec un train éternel qui fait le tour du monde et ayant à son bord le reste de l'humanité...Bon j'avoue je ris, mais sisi il y a moyen de faire un thriller sf. Sauf que, au fur et à mesure qu'on regarde cet étron du cinéma, he bien, on ne peut pas s'empêcher de se dire que toute l'équipe du film a délibérément foutu en l'air leur crédibilité.

Scénario absurde, aucune cohérence dans les textes, jeu d'acteur à se tirer une balle, spoiler: prenez le type qui se fait geler le bras, le froid ça brûle, ben oui mais le gars a plutôt l'air de se demander ce qu'il y a de l'autre côté de la paroi tout en tirant une tête d'ahuri et ce en se laissant gentiment faire, il a dû au max gueuler 3 secondes avant d'écouter patiemment la conversation.
Et puis le héro qui tire une tronche de dépressif à longueur de temps, mais oui c'est un homme à l'esprit torturé vous comprenez, et de temps en temps quand il s'y met à fond, on fait un gros plan dessus (réalisateur: c'est bon ça mon coco on à déjà 2 caméramans qui se sont suicidés, lache pas l'affaire).

Faut m'expliquer des trucs là, pourquoi...pourquoi les types à l'arrière du train vivent comme des clodos, quelle est la raison? une question de ressource? Admettons, mais pourquoi ils sont là, pourquoi ils existent? Il servent à rien, ils bossent pas la maintenance du train, ils n'ont strictement aucune utilité. pourquoi il y a des wagons de clodos nondidju de nondidju! Ben oui ça m'énervent à mort parce que ce sont les protagonistes et que leur existence même est absurde. Tout le film est un enchainement d'absurdité, une salle rempli de soldats ninjas (juste d'apparence) qui en toute logique éventre un poisson chat pour y tremper leurs haches, mais bien sûûûr, c'est pas expliqué dans le film mais c'est sans aucun doute possible pour se repérer à l'odorat. Ah et parfois les personnages parlent, ils disent des mots et ça forme une conversation, je suppose qu'on est censé en apprendre plus sur les personnages, la situation, l'objectif mais c'est assez difficile d'y voir clair quand ça se résume à "ouvre cette porte!- kronol d'abord!" . spoiler: L'explication de la fin est prévisible au possible, après de belles scènes philosophiques, la détresse des clodos, le sauvetage d'un écosystème et la dépravation de la classe aisée (ah que quoua? Cliché? Mais qu'est ce que vous aller chercher, voyons) on allait forcement pas tombé sur un gros méchant pas beau, et qu'est ce qu'il y a quand il n'y a pas de gros méchant pas bô? Ben on tombe sur un type qui vient nous parler d'"équilibre" avec des arguments qui n'ont ni queue ni tête (j'aurais franchement préféré un gros méchant pas beau, là j'aurais été étonnée)


Ce film est aussi logique que de mettre ses chaussures au congélo pour avoir les pieds au chaud. Mais ce qui me met vraiment sur le cul, c'est le nombre de critiques positives que reçoit ce film, il est même pas assez bien pour être un nanar

Vraiment décevant. Je n'arrive pas à saisir d'où vient la note des critiques. Aucun sens, ni idées et encore mois de créativité. Cela, sans parler de la fin ... affligeante !
Bref ! limite du navet à un cheveux près ! je ne m'attarde pas plus à donner un avis --> 1.5/5 !!!

J'aime beaucoup ce film, assez violent, Chris Evans est génial, il passe de la colère la plus profonde au pleurs. Bref le le conseil amateurs de science-fiction et de scènes un peu violentes.

un road movie dans un train, original. le personnage principal manque de profondeur et les scènes d'actions et de combats sont plutôt ratés. mais ce film, malgré de nombreuses incohérences, se laisse voir sans déplaisir.

Snowpiercer, Le Transperceneige" avec un titre pareil ne laissait pas attendre une telle réalisation ! Plusieurs niveaux de lecture pour ce film. Un bon moment malgré beaucoup de scènes sombres

On pouvait en attendre BEAUCOUP, et évidemment trop car une telle entreprise aujourd'hui ne peut qu'échouer, à mes yeux. La première partie du film fonctionne pas mal, on peut même être impressionné par la scène où le train défonce deux ou trois barrages de glace. Mais voilà, après ça, les scènes grossières s'enchaînent, les situations sont trop grosses (la poignée de révolutionnaires réussit à vaincre une armée de nazis brandissant des haches avec toute la haine de leurs corps...très grossier et totalement improbable...). Certains personnages sont très caricaturaux, le patriotisme coréen plus ou moins caché est risible, le côté héroïsme forcé du dernier chapitre est à vomir, et Ed Harris ne parviendra pas à redonner de la crédibilité à tout ça. Le problème n°1 du film, c'est qu'il n'a rien inventé ("Soleil vert" c'est la même chose, en mieux) et qu'il se contente de suivre son scénario sans créer de véritables ambiances et sans prendre son vrai sujet à bras le corps : le train. LE TRAIN ! c'était ça le sujet : le train qui absorbe l'humanité, et pas l'inverse ! Le train aurait dû faire partie intégrante de la mise en scène, là était l'enjeu du film. Au lieu de suivre le parcours incroyable de ce train fou, on suit le parcours des révolutionnaires à l'intérieur du train, et on se tape un nombre incalculable de clichés vus et revus mille fois, avec une absence terrible de finesse dans le traitement... Les coréens ne savent toujours pas faire des films, ils se contentent de copier la machine américaine dans ce qu'elle a de plus prévisible. D'ailleurs en parlant d'élément prévisible, la fin est vraiment très très prévisible. C'est pas très grave, mais au bout de 2h de film tu as le droit d'en avoir marre.

Pas franchement transcendant comme film. Des fois du n'importe quoi.
Un film qui se regarde, mais qui s'oublie vite.

spoiler: Et l'ours, pour survivre, il avait son propre train?

Il semblerait que la presse et certains spectateurs aient abusé de "kronol" (la drogue du train). Et le réalisateur aussi d'ailleurs - il a du faire tourner. Je ne sais pas ce qui est le plus navrant. Les incohérences peut-être, qui s’enchaînent, de plus en plus nombreuses et de plus en plus grosses. Ou bien la symbolique derrière laquelle le film se cache comme un obèse derrière un coton-tige. En fait, l'impression qui me domine, c'est celle de m'être fait [insérer ici le verbe obscène de votre de choix]. Soyons clair, du point de vue du spectateur, le film devrait s'appeler le Transperçanus.

Des longueurs interminables et très peu d'action,j'ai tenu 1 heure.18 ans passés dans le train pour comprendre des choses simples,des acteurs une bonne grosse ça pour çe

Complètement surréaliste, abracadabrant, long et indigeste. Des personnages caricaturaux, des dialogues longs et pénibles, la galère....

Snowpiercer raconte le soulèvement de passagers de dernière classe contre l'élite d'un train faisant sans interruption le tour de la terre dans un monde plongé dans la glaciation et dont les seuls survivants de l'espèce humaine se trouvent justement à bord de ce train. Derrière le film d'action musclé radical se cache une fable sociale sur la lutte des classes qui trouvera un écho particulier en ces temps de crise ou les fossés entre les pauvres et les nantis se creusent et où, les riches sont de plus en plus riches. Le film est réalisé avec maestria et le réalisateur coréen maitrise bien son sujet et entretient brillamment le suspense.

Un petit bijou d’anticipation à retenir parmi les merveilles de cette année. Malgré un propos final un poil confus, Bong Joon-Ho signe une fresque invitant le spectateur à réfléchir et nous emmène bien sûr au-delà de la parabole initiale sur la ségrégation sociale en nous montrant qu’avec le retrait d’un seule pièce de la machine, c’est tout un monde qui déraille. A la fois divertissant et intelligent, que demande le peuple !

Bien que la révélation de la fin soit assez inattendue, le déroulement de l'histoire n'en reste pas moins plat et prévisible. Trop rien ne se passe, quelque soit les wagons traversés, les personnes rencontrées ( spoiler: sauf peut-être l'institutrice qui tient son arme comme un balais de toilette
). Il y aurait pourtant eu bien plus à exploiter sur le sujet, qui change de tous ces films qui se déroulent dans un avion.