Derniers Avis : Turbulences à 30 000 pieds - Page 2

Robert Butler signe sans doute une oeuvre intimiste mais qui ne manque pas de mordant : Ray Liotta (Les affranchis, Copland,... ) dans tous ses états et Lauren Holly (L'enfer du dimanche) en atout charme. Un film catastrophe n'évitant pas forcément les clichés.
A regarder, mais n'embarquez pas ce soir, ni demain soir !

Mèlangeant thriller (un bandit prend un avion en otage) et film catastrophe (comment poser l'appareil ?), "Turbulences à 30 000 pieds " est un suspense distrayant, qui a le bon goût de rèserver des surprises à intervalles règuliers et d'offrir un final joliment spectaculaire! Et comme en plus on retrouve ici le solide Ray Liotta dans un rôle dèlicieusement ambigu, on ne va pas bouder son plaisir pour autant! Un avion en perdition, un criminel très cruel, une hôtesse de l'air hèroïque, des effets spèciaux ètonnants: c'est la recette gagnante de ce divertissement hollywoodien! Embarquez donc, histoire de vèrifier que les bonnes vieilles formules ont vraiment du bon...

Un film qui ressemble plus à un téléfilm. Un bon casting, du suspense et du rythme. Malheureusement le décor n'est pas original, l'histoire s'effrite petit à petit et beaucoup de détails sont ridicules. Dommage car ça aurait pu être un très bon film catastrophe si en plus des moyens ils y avaient mis plus de travail et de rigueur!!

Mouais, faut vraiment pas être difficile pour trouver un quelconque interet dans se film ou le sénarios est cousu de fil blanc et prévisible.
Ray Liotta n'est même pas vraiment bon en salopard de service.

Certains films prennent vraiment les gens pour des cons. C'est le cas de "Turbulences à 30 000 pieds" où on voit une hôtesse de l'air éliminer un tueur en série puis piloter, et surtout poser un avion sans aucun problème. Heureusement pour elle, il y avait le pilotage automatique, qui s'est réparé tout seul (sans commentaires)...Bref, c'est du foutage de gueule et ça ne mérite pas le détour.
Ah si seulement Teri Halloran avait été dans les avions du 11 septembre...

Si ce thriller ne débute pas trop mal avec un tueur en série ambigu escorté dans un avion, ça ne dure que très peu, l'action devenant rapidement invraisemblante et Ray Liotta surjouant son personnage pourtant intéressant. Pas grand chose de mémorable.

Film qui bat de l'aile. Bien que Ray Liotta s'impose à lui tout seul quasiment tout le long de cette histoire et Lauren Holly qui se débrouille comme elle peut, Turbulences à 30 000 pieds reste par moment avec un manque de crédibilité. Une partie y passeront un petit bon moment, mais d'autres passeront un moment fort moyen.

Nous arrivons ici avec le classique hollywoodien : le 747 Boeing en déperdition avec un criminel dans l'avion et des pilotes morts.
Ce film m'a donné quelques fou-rires devant tant de ratage et de grotesque.
Au-delà que tout le monde semble prendre des risques inconsidérés au vu de la tempête qu'ils traversent et du fait qu'il y a des meurtriers à bord,
Chaque passagers ou équipage de bord a le chic pour faire une gaffe, alourdissant mécaniquement le nombre de cadavres.
Le film en fait des tonnes jusqu'à l'insupportable devant le caractère hautement irréaliste d'une telle aventure aérienne.
On n'oubliera le summum de la subtilité que peuvent donner de si "brillants" acteurs où Ray Liotta crie à tue-tête "je vais te tuer, salope!" et autres familiarités,
La complète caricature du tueur en série, pourtant sensé être intelligent et réfléchit, qui pète les plombs en se baladant dans l'avion de manière nonchalante et faisant le psycho de service façon Jean-Luc Delarue...
Je vous laisse avec une de ces "perles" :
_"Où qu'elle a appris à piloter un 747? C'est qu'une hôtesse!"
_"Oui, mais une bonne hôtesse!"
À éviter, même pour une soirée où vous ne savez pas quoi faire.

D’abord réalisateur pour le petit écran dans les années 60 (Star Trek, La Quatrième Dimension, Papa Schultz & Les Envahisseurs), Robert Butler s’oriente ensuite vers le cinéma, en réalisant cinq longs-métrages (inédits en France et peu connus du grand public) entre les années 60 et 80 avant de reprendre le chemin de la télévision (Loïs et Clark). C’est finalement quinze ans après son dernier film qu’il se décide à réaliser Turbulences à 30 000 pieds (1997), un piètre film catastrophe, une série B au scénario vraiment trop mince pour pouvoir tenir en haleine un spectateur durant près d’une heure trente. Une trame comme on en voit le dimanche après midi sur M6, le film catastrophe lambda, avec l’hôtesse de l’air courageuse qui arrive à reprendre les commandes de l’appareil en perdition et l’habituel happy end. Face à un vilain méchant, cette femme courageuse sauvera des vies grâce à cet acte héroïque. Bref, comme toujours avec ce genre de film, trop gentillet, trop stéréotypé, avec son lots de clichés inévitables. Au final, seul Ray Liotta (Mi$e à Prix - 2007) arrive à nous tenir captivés face à une Lauren Holly (Dumb and Dumber - 1995) pénible, fatigante et épuisante.
Un film qui connu bien des déboires lors de sa sortie aux States, doté d’un budget de 55 millions de dollars, il n’en rapporta à peine 12 en fin d’exploitation. Rejeter par le public, il eu tout de même les honneurs d’être nominés deux fois aux Razzie Awards (l’équivalents de notre Bidet d’Or national !), dans les catégories suivantes : « Pire Actrice » pour Lauren Holly & "Apologie du mépris pour la vie humaine et la propriété publique", cela promet !

Un film concept (un huis clos dans un avion) qui aurait gagner à travailler davantage son scénario (on devine les rebondissements ce qui est un brin génant) et à étoffer son casting. Reste Ray Liotta, toujours bon dans les rôles de méchant.

Pour ma part ce film est intéressant; il est riche en action et en émotion, également la musique tout au long du voyage fait peur, les turbulences sont si intenses... Le prisonnier est si intelligent qu'il arrive à manipuler n'importe qui... enfin, j'ai adoré le film.

Turbulences à 30 000 pieds est plutôt invraisemblable (notamment le final) mais dans l'ensemble c'est bien mené et tout à fait prenant. Quant à Ray Liotta il est inquiétant à souhait dans la peau du tueur.