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    La Piel que Habito
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    3,9
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    834 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 7 septembre 2012
    La mise en scène grandiose et le magnifique jeu des acteurs se suffisent à eux seuls pour raconter cette histoire fascinante et dérangeante.
    Dr.Reid
    Dr.Reid

    17 abonnés 405 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 12 mai 2012
    Dérangeant au possible, malsain, intriguant. On est mal à l'aise du début à la fin. On aime ou pas.
    dominique L.
    dominique L.

    13 abonnés 182 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 23 septembre 2011
    Très bon film policier avec du suspence et une fin assez surprenante. Comme d'habitude dans les films d'Almodovar les personnages sont complexes et très interressants. J'ai beaucoup aimé aussi la nouvelle égérie d'Almodovar.
    Girafe21
    Girafe21

    11 abonnés 43 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 2 février 2014
    Machiavélique à souhait! Retrouver la personne disparue en une autre, différente du tout au tout. Pedro Almodovar captivant rend à Antonio Banderas ce qu'il attendait : se venger. C'est juste magnifiquement bien réalisé.
    paul le cactus
    paul le cactus

    1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 7 novembre 2013
    Ce film est d'une intensité tragique quasi ineffable. Par sa réalisation calme, le film nous envoûte littéralement dans cette histoire où tout le monde souffre. Le spectateur éprouve une extraordinaire compassion à l'égard des personnages et ressort de la projection heureux.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 21 septembre 2011
    excellent film plein de suspens et de surprises à voir
    netrunner1
    netrunner1

    2 abonnés 150 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 2 juillet 2012
    Je suis désolé mais moi je n'ai pas accroché. La plupart des personnages sont barrés, tout comme l'idée du film, ce qui rend le film peu crédible... Ce qui sauve le film c'est justement la plastique de l'actrice...
    Antn D
    Antn D

    8 abonnés 67 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 16 septembre 2011
    Partant d'une vraie fausse idée originale (si tant est que l'union cartésienne de l'âme et du corps dans un film en général, et la mutation de l'identité dans un film d'Almodovar en particulier puissent être qualifiées d' "idées"), La Piel Que Habito se sabote au bout de quelques minutes, et finit par couler corps et biens au moment du premier "événement perturbateur" (le grandiose Zeca le Tigre qui arrive comme un cheveux sur une lamelle de microscope). Almodovar ne nous épargne rien: banalités sordides des dialogues, incohérences scénaristiques, absence totale de suspens et de mystère, fin télécommandée, symbolisme lourdingue, acteurs barbotant dans un grand bain au formol. On finit par s'ennuyer davantage que devant un très mauvais épisode de Nip/Tuck. Le comble du narcissisme masturbatoire est atteint dans les séquences où Robert se plante devant un écran-tableau pour contempler la peau de Vera: étudiants en cinéma, cette tarte à la crème est pour vous! Cependant, un fait incongru et assez fascinant m'a réveillé de ma torpeur à mi-parcours : la division du film en "chapitres". Ici, il convient de reconnaître à Almodovar une troublante virtuosité... dans l'art de charcuter les scénarios: comme dans La Mala Educacion, les flashbacks se succèdent avec des grâces pachydermiques, permettant à Antonio Banderas de montrer toute l'étendue de sa palette expressive: l'air ténébreux, avec et sans lunettes. Pedro, on attend toujours ton grand film sur la question des genres et des identités sexuelles, mais vue ton impuissance manifeste et tragique en la matière, tu pourrais peut-être lâcher l'affaire. Décidément, la greffe ne prend pas: c'est La pelicula que no quiero habitar.
    jujutiti14
    jujutiti14

    9 abonnés 196 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 24 août 2013
    Bien mais sans plus. Histoire originale, avec un retour arrière sympa qui nous permet de bien comprendre... C'est plutôt bien joué, mais c'est un peu lent, il faut bien l'avouer !
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 17 décembre 2011
    Film très intéressant au sens propre du terme. Très bonne interprétation de tous les acteurs. Intrigue qui ne laisse pas indifférent le spectateur et qui tient même en haleine. Je ne mets toutefois "que" 3 étoiles et non pas 4 (ou pourquoi pas 5 ?) car la fin, à mon sens, laisse un petit goût d'inachevé.
    Patrick Braganti
    Patrick Braganti

    83 abonnés 375 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 23 août 2011
    Si la résolution de l’histoire est prévisible, sa mise en place et son développement retiennent davantage l’attention dans la complexité narrative qu’ils ne manquent pas de révéler. Parsemé d’indices d’abord incompréhensibles, le film apporte peu à peu les clefs d’une histoire à proprement hallucinante, apte à la vigilance ininterrompue et haletante d’un spectateur à la fois horrifié et fasciné. Loin des mélodrames flamboyants qui firent sa réputation, le cinéaste espagnol se tourne vers le thriller glacial et sophistiqué à la construction alambiquée. L’emploi de la couleur, le choix des comédiennes – Elena Anaya comme nouvelle égérie – le soin accordé aux décors et à la lumière signent de toute évidence l’opus : Almodóvar est bien aux manettes. Certaines scènes tissent des liens ténus avec l’œuvre passée : si en 1989 le mot d’ordre pour Antonio Banderas (peu convaincant ici dans un jeu monochrome) était Attache-moi, l’exhortation est à présent au détachement. Les espionnages par écran interposé rappellent le dispositif d’Étreintes brisées et la mère qui s’occupe seule de son fils Vicente n’est pas sans rappeler Manuela, la mère inconsolable d’Esteban dans Tout sur ma mère.
    La patte du cinéaste de Volver, reconnaissable entre toutes, est donc omniprésente et il réussit parfaitement à contaminer le roman de Jonquet de ses thématiques habituelles. Néanmoins, à force de maîtrise et de virtuosité, dont la démonstration finit tout de même par lasser, Almodóvar produit un cinéma désincarné, oubliant justement d’adapter sa mise en scène habile, mais lisse, à la perversité démoniaque de la tragédie. De plus, durant la première heure, la musique toujours pompière d’Alberto Iglesias ne faiblit pas un seul instant. Enfin, le film achoppe, me semble t-il, sur un contresens qu’il ne résout jamais ni tente de poser : en quoi le remplacement d’un pénis par un vagin, sans intervention cérébrale, peut-il bien modifier l’orientation sexuelle ? Plutôt que réfléchir plus en avant à sa question fétiche du genre, Almodóvar opte pour le clinquant et l’effet. C’est très réussi et captivant, mais il n’est pas certain que les thuriféraires d’antan de la production du cinéaste y retrouvent leurs marques.
    elbandito
    elbandito

    316 abonnés 945 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 novembre 2011
    L'immense talent de Pedro Almodovar n'est plus à prouver, bien qu’il n’ait jamais reçu de prix à Cannes... Loin de la Movida, ce nouveau monument du cinéma espagnol, à mi-chemin entre thriller et film fantastique, est très dérangeant à plus d’un niveau. Les relations parents - enfants sont encore une fois mises à rude épreuve, les sentiments exacerbés entre la belle Vera (Elena Anaya), créature du professeur Ledgard (Antonio Banderas), et sa mère si méfiante (Marisa Paredes). Ces trois acteurs livrent ici une interprétation absolument parfaite.
    Aulanius
    Aulanius

    175 abonnés 1 683 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 décembre 2011
    Moi, qui d'ordinaire, n'aime pas Pedro Almodovar, je dois bien avouer que sur ce coup là, j'ai été surpris. Tout d'abord le scénario est un peu tiré par les cheveux et je trouve ça original et on accroche directement même si, au départ, on se pose quelques questions. Le duo Anaya-Banderas est exceptionnel et je pèse mes mots. La première est sublime et joue très bien, qualités assez difficiles à regrouper, de nombreux autres se sont cassés la figure. Le second est à la fois très clin sur lui mais dérange dans son fort intérieur et cela en fait un personnage carrément hors du commun. J'ai également beaucoup apprécié cette ambiance pesante et ce style si particulier. Ne parlons même pas de la bande originales qui est en accord parfait avec l'ensemble des scènes. Puis, on doit aussi tiré un coup de chapeau à ceux qui se sont occupés des décors car on n'est vraiment immergé dans cette maison avec cette chambre et cette salle d'opération ... tout cela est si particulier. Je n'ai pas trop de défaut majeur, juste quelques petits détails. La durée est parfaite, ni trop longue, ni trop courte. Pour être honnête, je n'aurai jamais pensé être autant emballé et au final, c'est une très belle découverte personnelle. 14/20.
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 009 abonnés 4 091 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 8 septembre 2012
    A la vision de "La piel que habito" on mesure tout le chemin parcouru par l'enfant terrible de la Movieda. Le savoureux mélange de couleurs vives au service d'une joyeuse transgression de tous les tabous engendrés par la longue frustration d'une société enfermé pendant plus de quarante dans la gangue du franquisme a laissé la place depuis quinze ans à un cinéma plus sombre et pessimiste. "La piel que habito" exercice de style glacial sur le transformisme confirme cette tendance. Almodovar adapte "Mygale" de Thierry Jonquet auteur français de romans noirs trop tôt disparu. Il marche ainsi sur les traces des grands cinéastes du genre fantastiques que furent James Whale ("Frankenstein",1931) et Georges Franju ("Les yeux sans visages", 1959). Encore une fois l'homme essaie de s'affranchir des lois de la nature en accomplissant le fantasme éternel de redonner vie à l'être chéri, disparu. Robert Ledgard, docteur Frankenstein des temps modernes utilise les toutes dernières technologies pour créer le parfait sosie de sa femme disparue tragiquement. Là où la tentative de Frankenstein pouvait prêter à sourire au regard des moyens employés, complètement fantaisistes et uniquement prétexte à bâtir un décor à la démesure de l'entreprise, les travaux de Ledgard beaucoup plus réalistes en apparence font froid dans le dos. Il s'agit ici non pas de recréer la vie à partir d'un cadavre mais de voler une vie pour se l'approprier, démarche déjà entreprise par le docteur Généssier (Pierre Brasseur) dans "Les yeux sans visage". Mais Almodovar ajoute à cette quête de l'impossible une vengeance qui fait brutalement passer Ledgard de l'habituel savant trop en avance sur son temps à un être machiavélique à l'esprit dérangé. Les décennies passant, la soif de découverte s'estompe devant la névrose envahissante du savant, rendant clairement le propos du réalisateur plus noir. On y perd fatalement la naïveté et le sens du merveilleux qui habitaient les films de la grande période fantastique de la Universal. C'est sans doute un peu dommage. Almodovar faisant preuve d'une grande maîtrise dans le déroulement du scénario qu'il a lui-même écrit, nous emmenant habilement sur quelques fausses pistes, on prend malgré tout un certain plaisir devant cet objet froid comme la mort où Antonio Banderas apporte une distance qui hérisse le poil. L'appréciation du film dépendra donc de la capacité du spectateur à supporter cette ambiance où la matière humaine n'a pas beaucoup sa place malgré le titre y faisant référence
    Alain D.
    Alain D.

    494 abonnés 3 206 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 juillet 2019
    "La Piel que Habito" (La peau que j'habite) : Un Thriller noir de grande intensité, adapté et parfaitement mis en scène par Pedro Almodóvar. Comme tous les films du réalisateur espagnol, le casting et la BO sont superbes et la direction d'acteurs magistrale. Le scénario machiavélique nous conte une intrigue bien menée avec un montage habile. Le cinéaste madrilène nous offre des scènes violentes sur des images d'une précision "chirurgicale".
    L'affiche, nous offre la belle présence de Marisa Paredes. Si Antonio Banderas se révèle fantastique dans un rôle difficile, Elena Anaya porte le film avec une excellente prestation d'actrice dans le rôle principal de la belle Vera.
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