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    La Maison au fond du parc
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    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 23 juillet 2011
    Alors là mes braves préparez vous à un véritable choque cinématographique. Si j’ai souvent chroniqué des œuvres fortes et subversives et que j’en ai vu bien d’autre, difficile de ne pas être ébranlé devant ce film iconoclaste, transgressif et sans aucune limite. Je parle bien sur de la maison au font du parc de Ruggero Deodato. Attention ca va faire très mal. Sortit en 1980 dans la foulée de son autre chef d’œuvre qu’es Cannibal Holocaust, la maison au font du parc, suit deux jeunes violeurs qui s’invitent chez des petits bourgeois pour transformer la fête en une soirée cauchemardesque sans savoir ce qu’il les attend. Un pitch de base prometteur, qui, entre les mains d’un génie du cinéma d’épouvante devient une petite bombe qui vous déboussolera bien au delà de vos limites. C’est que le père Deodato n’est pas du genre à baisser son froc devant des producteurs scandalisés par le résultat final. Rentre dans le lard, le réalisateur ne nous épargne rien. Et si vous pensiez assister à un déluge d’hémoglobine, vous vous trompez lourdement. Car en remplacement du sang à outrance, le réalisateur préfère la violence psychologique et le sexe. Eh oui comme je le disais les méchants du film ne sont pas des tueurs en séries mais des violeurs. De vrai obséder sexuel qui vont sans donner à cœur joie avec toutes les actrices du film, qui par ailleurs sont forte mignonne. Mais, si le film en déroutera plus d’un, c’est parce que le réalisateur joue en permanence sur la fascination/répulsion ressentit par le spectateur. Le viol et l’amour se mélangeant sans complexe, la tendresse et l’horreur ne faisant plus qu’un, le sexe jouissif et la terreur psychologique se complétant à merveille. Difficile effectivement de ne pas avoir de la compassion autant pour les victimes que pour les bourreaux, qui, en fin de compte ne sont que des Hommes. Ce qui permet une étude de caractère complexe et qui questionne en permanence, non seulement notre rapport à l’image aussi violente soit elle, mais aussi notre propre perception de se que l’on voit, de notre ressentit, de notre perversion et de nos pulsions les plus primales. Une œuvre ambigüe, donc, qui deviendra carrément insoutenable dans son dernier acte. Renforcer en cela par une réalisation maitrisé de bout en bout, sans esbroufe visuel à la Argento et instaurant une ambiance malsaine et réaliste. Et si certains spectateurs pourront rigoler sur certain aspect chips et vieillot, comme les acteurs jouant comme des bites ou alors un doublage français affreux, il ne faut pas oublier que la plus par des films d’horreur italien de cette époque ont les même défaut, mais combien peuvent se vanter d’avoir une telle liberté de ton, un jusqu’au boutisme aussi poussé et une propension à interroger le spectateur sur ses propres démon sans lui donner de leçon de moral, mieux encore en le divertissent. A n’en pas douté la maison au font du parc et une œuvre inclassable, fascinante a plus d’un titre et restera encore longtemps comme l’un des meilleurs films de années 80. Il est donc impératif de le voir, surtout à l’aune ou les coincés du cul dirige le cinéma de genre. Car il a beau être dérangeant, fort est de reconnaitre que le (re)découvrir de nos jours est un gros bol d’air frais.
    Yannickcinéphile
    Yannickcinéphile

    2 083 abonnés 4 212 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 avril 2013
    Un film très efficace de Deodato, même si ce n’est pas son meilleur. Réalisateur réputé pour ses créations sulfureuses, La maison au fond du parc prête tout de même moins à controverse que Cannibal Holocaust.
    J’entame ma critique par l’interprétation. Celle-ci est assez inégale, même si dans l’ensemble j’ai été convaincu. Les tortionnaires sont très solides (faut dire que Hess commence à avoir de l’expérience !). Ils jouent leur rôles à fond, et même s’ils ne paraissent pas aussi antipathiques que certains de leurs confrères, ils ont un coté vicieux et pervers (surtout le personnage de Hess en fait) qui pour m’a part m’a rappelé Malcolm Mac Dowell dans Orange mécanique. Du coté des victimes, je retiendrai surtout Annie Belle. Non seulement d’une élégance et d’un charme rare, illuminant l’image, elle est clairement celle qui joue le plus juste. Je pense que ce n’est pas pour rien d’ailleurs si Deodato l’a clairement privilégié sur le reste du casting. L’actrice qui joue Cindy rend aussi avec sérieux les émotions de son personnage, et m’a semblé la victime la plus crédible. Le reste du casting n’est pas déplorable, mais est un peu apathique face aux événements, et manque de subtilité. Je remarque néanmoins que les personnages sont travaillés, ayant une apparence propre, un caractère singularisé.
    Le scénario est plaisant, et ce termine avec intelligence. Néanmoins j’ai des reproches à faire. Il y a d’abord quelques poncifs. On ne peut pas dire que le groupe se défend franchement face à deux types (surtout qu’il y avait un pistolet dans le tiroir !). Si parfois cela se justifie par une certaine attirance victime-bourreau (syndrome de Stockholm sans doute), il y a quand même des passages pesants. Le rythme pour sa part est agréable, mais il faudra adhérer aux répétitions, avec pas mal de scènes d’amours ou de viols. La maison au fond du parc joue d’ailleurs beaucoup plus la carte érotique que gore. C’est néanmoins bien foutu. Deodato fait en effet preuve d’une réelle maitrise, et les séquences sont filmées de manières variées. Certaines sont d’une douce sensualité (celle de la douche par exemple), d’autres très violentes (avec le personnage de Cindy), et les angles de caméra, le travail sur les gros plans est remarquables. Deodato fait du très bon boulot, et le choix de zoomer souvent sur les regards est excellent (surtout lorsque c’est sur les beaux yeux d’Annie Belle !). La photographie est assez basique, les décors évidemment limitées, mais cela ne choque pas en fait. A noter le remarquable travail d’Ortolani sur la musique. Comme dans Cannibal Holocaust les scènes bien violentes sont rythmées par une musique douce, presque une berceuse. C’est un choix parfait.
    Au final, La maison au fond du parc est un très bon film, en dépit d’un scénario original mais utilisant de grosses ficelles parfois pour avancer. C’est là le vrai défaut du métrage, le reste allant de convenable à excellent. Il n’est pas si dur que cela au fond, et je l’ai trouvé bien plus subtil et intelligent que les récents I spit on your grave ou I never die alone. Comme quoi on peut utiliser les vieilles ficelles du rape and revenge, en créant quelque chose de différent.
    chrischambers86
    chrischambers86

    11 950 abonnés 12 157 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 4 août 2020
    Ruggero Deodato ("Cannibal Holocaust") dans l'un de ses films les plus surestimès! La pâle intrigue sert à nous remontrer ce qu'avait fait Wes Craven huit ans plus tôt dans "The Last House on the Left". On nous expose à nouveau un David Hess tel qu'en lui-même, c'est à dire tel que le cinèma veut le montrer dans son rôle de sadique violeur pervers! On nous montre aussi Annie Belle un peu plus à son avantage dans son rôle de femme de tête qui n'a pas froid aux yeux et pour ceux qui ne seraient pas convaincus, il y a aussi une très aguichante Lorraine De Selle qui s'offre à l'un des deux criminels! Le passage de la douche nous vaut quelques secondes d'èrotisme à bon marchè! Pour le reste on n'y croit pas un seul instant! Aucun suspense, aucune peur sur les visages des victimes sauf Brigitte Petronio qui sauve les meubles dans une dernière partie placèe sous le signe de la torture! Oui le film de Deodato a subi lourdement les affres du temps! Oui l'ensemble est mal exploitè! Oui le jeu des acteurs est mèdiocre! Oui le « Sweetly » de Diana Corsini fait dans le ratè! Oui le twist final est stupide! Allez 1* pour les actrices du film (y compris la femme de Hess dans l'intro) qui apparaissent totalement nue à l'ècran...
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 27 septembre 2008
    Alors là, dans le genre navet bien nul, on est servis!
    Cette pseudo histoire de vengeance a de quoi decevoir le spectateur le plus indulgent du monde.C'est mal filmé, mal joué (les acteurs sont vraiment tous des amateurs finis), la musique est atroce( surtout le morceau disco qui revient tel un leitmotiv a plusieurs reprises), il n'y a aucun suspense, ce n'est pas choquant pour un sou tant on y croit pas.
    Et la fin.....mon dieu!
    Deja, pour arriver jusqu'au bout de ce nanar, il faut etre tres courageux tant c'est long.
    Bref, un ratage total et parfaitement inutile.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 21 mars 2008
    C’est sûr que ça change. Ruggero Deodato est sorti de sa forêt amazonienne pour nous faire faire un petit circuit touristique. Ici le pont machin, là les ex tours du World Trade Center, New York by Night… Ca traîne en longueur, et puis chemin faisant, quelque part, il y a une maison au fond du parc. Jusque là, ça colle avec le titre… À droite, une piscine, et derrière, un grand potager où il fait bon cultiver le navet. D’ailleurs, le film en est imprégné. Cette maison est parfaite pour un dîner de con. L’utilité des scènes débiles ne sert qu’à combler les longueurs d’un film que l’épilogue ne justifie en rien. Deodato persiste et signe !
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 23 octobre 2010
    C'est moche et c'est le moins que l'on puiss dire sur ''La maison au fond du parc'', avec son histoire de viol dès le début, ses personnages mi-tarés mi-provocateurs.

    Et le pire c'est qu'il y a une intrigue ! Haha quelle blague justement cette intrigue, ridicule au possible quand on voit tout ce qui s'est passé durant tout le film.

    C'est mauvais, mal joué, malsain, après les admirateurs de films sals aimeront peut-être mais moi je passe mon tour.
    AMCHI
    AMCHI

    5 032 abonnés 5 934 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 23 juillet 2010
    Tourné dans la foulée de Cannibal holocasut Deodato dirige à nouveau un film à l'histoire malsaine et perverse. Moins marquant mais tout de même dérangeant La Maison au fond du parc mêle violence et érotisme ou un psychopathe magistralement interprété par David Hess va chambouler une soirée. C'est prenant, le suspense est bien entretenu mais ça reste de la série B.
    jamesluctor
    jamesluctor

    113 abonnés 1 704 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 17 janvier 2011
    La dernière maison sur la gauche a encore fait des petits ! Si on sent les inspirations Cravenniennes de Deodatto, on notera aussi un certain style italien dans la mise en scène, avec l'usage d'un rasoir aiguisé et la présence de femmes magnifiques à l'écran. Grosse déception, la mécanique du film n'est pas aussi bien rodée que chez Craven, notamment avec une certaine disproportion entre la violence infligée (ahurissante), et la violence rendue (très soutenable au regard de ce qui a précédé). Les bons restent bons et les méchants sont neutralisés quand on commence vraiment à tirer sur la corde. Parce qu'on l'attends pendant tout le film, la réponse musclée. On sera donc déçu par ce dénouement, parce qu'au niveau des messages sociaux, c'est un peu la dèche. La mise en scène est vraiment dans un style italien, ce qui signifie beaucoup d'élégance, mais parfois quelques faux raccords gênants. Film peu utile au final, mais un peu de violence brut par ci par là, avec de belles femmes à l'appui, ça ne se refuse pas non plus comme ça...
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    6 167 abonnés 7 228 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 15 avril 2021
    Deux truands spécialisés dans la revente de voitures volées (garagistes le jour & criminels la nuit) se rendent à une soirée dans un pavillon situé au fond d’un parc. On comprend rapidement que ces derniers ont été invités dans le seul et unique but de divertir les hôtes de la classe moyenne, mais la situation va rapidement dégénérer. Ce qui ne devait être qu’une banale soirée entre amis va se transformer en un véritable cauchemar, entre tortures, viols et meurtres.

    Juste après avoir réalisé son dérangeant et néanmoins culte Cannibal Holocaust (1980), Ruggero Deodato changeait de registre, quittant l’horreur graphique pour l’horreur psychologique avec La Maison au fond du parc (1980). On aurait aimé y croire à son rape and revenge, l’ennui c’est qu’il sonne faux en permanence et ressemble plus à un film érotique qu’à un thriller horrifique, entre sa musique langoureuse et ses plans de nudité purement gratuits. Ce qui pose le plus problème ici c’est la direction artistique, à aucun moment les acteurs ne parviennent à rendre crédible leurs scènes, c’est à n’y rien comprendre (d’un plan à l’autre, les personnages changent complètement comme lorsque l’héroïne s’enfuie de la maison et dans le plan d’après, elle drague l’un des ravisseurs. Il en sera de même avec les scènes de viol où les femmes ne semblent pas opposer beaucoup de résistance). Pourtant cela démarrait plutôt bien avec ces protagonistes prétentieux, hautains et provocateurs, mais rien à faire, le casting s’avère relativement mauvais, en dehors de la prestation marquante de David Hess dans le rôle du sadique violeur armée de sa lame de rasoir (un rôle qu’il connait par coeur pour l’avoir interprété précédemment dans le cultissime La Dernière Maison sur la gauche - 1972).

    L’ensemble s’avère extrêmement répétitif face à des protagonistes qui ne semblent pas rechigner à se faire violer (plutôt étrange et malaisant comme situation). Malgré cela, il faut bien reconnaître que l’ambiance particulièrement gênante est assez réussie, en nous dépeignant cette bourgeoise malsaine et masochiste. Si le film peut paraître irréaliste, certaines idées de mise en scène sortent du lot (toute la séquence avec Brigitte Petronio) et on appréciera la musique de Riz Ortolani qui contraste complètement avec le film, au grès de la douce mélodie de "Sweetly".

    Un huis clos sinistre et anxiogène, mal interprété dans son ensemble, un mix improbable entre le rape and revenge irréaliste, le film de charme et le thriller charnel mollasson.

    ► http://bit.ly/CinephileNostalGeek ★ http://twitter.com/B_Renger ◄
    Arnaud D
    Arnaud D

    40 abonnés 764 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 23 août 2023
    Une pâle copie de la dernière maison sur la gauche ( de craven ) , sans le talent , et la mise scène . Ce film est d'un ennuie abyssal
    Shawn777
    Shawn777

    457 abonnés 3 322 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 4 décembre 2023
    Juste après "Cannibal Holocaust", Ruggero Deodato se lance dans la réalisation de cet ersatz italien de "La Dernière maison sur la gauche" qui est bien mauvais ! Enfin, nous ne sommes pas tout à fait dans la même configuration que le film de Craven car si ce dernier divisait son intrigue en deux temps : la première où les bourreaux torturent leur victime et la seconde où les bourreaux deviennent victimes (comme dans la plupart des rape and revenge), ici, le film ne se concentre presque uniquement que sur le côté bourreau. Et ce n'est pas vraiment ça qui me dérange, nous aurions pu avoir une sorte de torture porn avant-gardiste sans le gore, c'est-à-dire là où la violence et la torture psychologique règnent en maître comme le fera quelques années plus tard Michael Haneke avec "Funny Games" et son remake américain. Mais n'est pas Haneke qui veut et ici, c'est juste de la violence gratuite pour de la violence gratuite qui n'est vaguement justifiée qu'à la toute fin histoire de donner une excuse à tout ça. Mais ça ne fonctionne pas bien évidemment et on se retrouve devant un film qui est non seulement mou mais qui met en place une forme d'esthétisation du viol, ce que je trouve très dérangeant. Le film montre en effet plusieurs viol avec des victimes qui finiraient presque par y prendre du plaisir, ce qui est particulièrement dérangeant (on est même quelques fois à la limite du porno un peu crade des années 70 avec la musique qui va bien). Et pas dérangeant à la "Cannibal Holocaust" qui permettait de faire passer un message plutôt malin, non, ici, c'est juste très maladroit pour ne pas dire pervers. De plus, l'histoire en elle-même n'est que très peu crédible, je veux dire, on parle quand même de deux mecs dont l'un est un abruti naïf qui arrivent à garder en captivité cinq ou six pélos rien qu'avec un rasoir et une bouteille cassée (et encore une fois, ce n'est pas la fin qui sauve cet élément). Si le film mettait au moins en place une atmosphère anxiogène, l'histoire aurait pu être captivante mais il n'en est rien, on se contente de regarder passivement les actes de ces deux violeurs avec énormément d'ennui. Du côté des acteurs, ils tiennent en revanche la route, notamment Annie Belle et David Hess (que l'on retrouvait déjà dans "La Dernière maison sur la gauche" dans le même rôle, tiens, tiens...). "La Maison au fond du parc" est donc un film qui ne parvient jamais à maitriser sa violence ni ce qu'il veut raconter, ce qui nous donne un film dérangeant (dans le mauvais sens du terme) en plus d'être ennuyeux.
    Vinz1
    Vinz1

    122 abonnés 2 289 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 12 novembre 2022
    Ce film, ersatz de « La dernière maison sur la gauche » a dû, en son temps, marquer ses contemporains. Il est toutefois regrettable qu’il n’en soit plus de même aujourd’hui. Ceci est grandement la faute à un David Hess, déjà présent dans le film de Wes Craven précité, et abonné aux rôles de névrosés, qui de par son charisme étouffe le reste d’un casting que l’on jugera trop timoré. Ajoutons à cela : une musique un peu « cheap » qui casse tout les effets dramatiques de certaines scènes censées être troublantes, des saynètes interminables et mal gérées notamment celles des tortures, le jeu affligeant de certains acteurs rendant peu crédibles quelques passages dont les scènes dites de « bagarre aux poings » et un doublage français déplorable, pour faire de ce film une véritable déception. Certes, la fin est surprenante et elle sauve d’ailleurs un peu le projet d’un Deodato semblant ne pas s’être remis du succès de « Cannibal Holocaust », mais c’est insuffisant !
    Guillaume p
    Guillaume p

    22 abonnés 283 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 2 novembre 2015
    Un home invasion de qualité, qui selon moi, n'a pas pris une ride. On retrouve l'acteur de 'la dernière maison sur la gauche, qui s'est spécialisé dans les rôles de violeur. Un excellent film, pour amateur!
    Freaks101
    Freaks101

    126 abonnés 619 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 23 mai 2011
    Un couple de petit bourgeois qui apparemment n’a jamais vu « La dernière maison sur la gauche » invite David Hess et un de ses potes à leur soirée, mauvaise idée. Après une demi-heure de remplissage (on prend une douche, on danse le disco, on joue au poker…) David déchaîne enfin ses pulsions sadiques, sous la caméra complaisante de Deodato. Du pur cinéma d’exploitation, la fin est surprenante. Il paraît que les Américains prépare un remake, je suis curieux de voir ça.
    Kalie
    Kalie

    52 abonnés 967 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 22 août 2012
    C'est loin d'être le meilleur film du réalisateur (plutôt spécialisé dans les films de cannibales). On retrouve l'inquiétant David Hess dans un rôle quasi-identique à celui de "La dernière maison sur la gauche". Là aussi, on est en présence d'une histoire d'agression/vengeance. L'histoire se traîne en longueur et les acteurs sont trop inexpressifs. Plus que l'horreur, c'est le mauvais goût qui domine. On a parfois l'impression de regarder un film érotique de seconde zone (photographie laide, scènes racoleuses et sans charme). Seule la révélation finale étonnante sauve ce film du désastre.
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