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    Les Bas-Fonds
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    18 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 7 mai 2017
    Vous aimez Toshiro Mifune ? Pas de bol, c'est un de ses plus mauvais rôles, et il le joue mal. Dans un autre registre il y a un scénario quasi inexistant, qui consiste en un huis clos barbant avec des personnages disparates, qui n'ont en commun que leur déchéance. Une chronique sociale ? Non plus, les personnages passent leur temps à brailler et ressasser leurs vies. Et quand je dis brailler, c'est vraiment brailler. A ce propos, la dernière demi-heure du film est un SUPPLICE. S'il y a un film à voir pour vous dégoûter de Kurosawa, c'est bien celui-là.
    MemoryCard64
    MemoryCard64

    36 abonnés 375 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 3 mai 2016
    Akira Kurosawa est un cinéaste qui a la capacité de faire des films longs mais passionnants et rythmés de bout en bout. Cependant, il lui arrive parfois de s'embrouiller et de produire quelque chose d'assez lourd. C'était le cas pour l'un de ses premiers films, et c'est également le cas pour Les Bas-Fonds, ce qui nuit fortement à l’expérience cinématographique. Je ne sais pas si cela vient de la pièce de Maxime Gorki, mais l'ensemble tourne très rapidement en rond. J'imagine que cela représente la fatalité qui pèse sur les personnages, leur incapacité à se sortir de leur situation misérable, mais c'est profondément ennuyant. Le réalisateur propose du début à la fin la même chose, c'est à dire des disputes entre des pauvres amers et égoïstes. Au début, il y a une certaine fascination à voir chaque personnage magouiller dans le but d'enlever le pain de la bouche des autres, mais quand on constate que rien n'évolue, l'ambiance déprimante du film devient communicative. L'intrigue principale, celle du personnage de Toshiro Mifune, maintient quand même un certain niveau d'intérêt, mais une fois qu'elle se termine, le film continue pendant une grosse demi-heure alors qu'il n'a strictement rien à raconter. Kurosawa utilise quand même le matériau de base pour construire efficacement son film en huis clos. Le dortoir dans lequel se déroule l'intrigue paraît complètement délabré, et toutes les lignes obliques rendent l'endroit sordide. De plus, l'utilisation de cet espace est brillante : le réalisateur emploie la profondeur de champ pour mettre en scène les dialogues. Une discussion qui se déroule au premier plan peut ainsi avoir des répercussions sur les oreilles indiscrètes situées au second plan, voire à l'arrière plan. Il arrive même que des personnages s'avancent vers le premier plan pour interrompre la discussion. Grâce à ce système, les intrigues se nouent et se dénouent avec une facilité déconcertante. Malheureusement, cela ne suffit pas pour rattraper les défauts susmentionnés, auxquels s'ajoute un trop plein de personnages secondaires difficiles à distinguer les uns des autres à cause de leur manque de personnalité et d'impact dans l'histoire. Bien qu'il soit loin d'être un ratage, Les Bas-fonds s'affirme timidement comme un Kurosawa mineur, dont la narration alourdit le propos déjà pesant.
    teofoot29
    teofoot29

    68 abonnés 648 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 3 avril 2010
    Un univers superbement retranscrit par Akira Kurosawa, les bas fonds est une avalanche d'humanisme et de sentiments, la réalisation est comme d'habitude magistrale, un chef d'oeuvre qui mériterait d'être plus connu.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 10 avril 2010
    Ce n'est pas le meilleur Kurosawa, mais ce n'est pas le moins bon non plus, les Bas Fonds par sa lenteur rallonge un peu le film qui semble trop long, mais le scénario et la mise en scène compense très largement ce défaut de rythme.
    maxime ...
    maxime ...

    195 abonnés 2 069 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 octobre 2018
    Une des créations les plus difficiles du maître Japonnais ! Les Bas-Fonds, le titre était tout trouvé, il symbolise à la perfection le film dans sa globalité. Je m’explique, l'immersion dans la détresse de cette galerie de personnage est très difficile à supporter, tout ici est motif de désolation et d'amertume ... Les relations et liens de circonstances ne sont qu’ambiguïtés, perfidies et incompréhensions, rares sont les moments ou la cohésion existe. Les Bas-Fonds à la manière des précédents long métrages d'Akira Kurosawa regorge de messages sur la condition du monde et nous plonge dans les méandres de l’esprit humain à travers son regard et sa perception philosophique et émotionnel. Un film très sombre donc, j'irais jusqu’à dire austère ! Sur biens des points cette création m'a rappelé le second film de son auteur ( Le plus Beau ), la différence étant qu'ici il n'y a que violence et humiliation, les rares sourires sont très vite éconduit à la manière de ces ultimes minutes qui m'ont coupé le sifflet ... Le film le plus terrible de sa filmographie, tout du moins jusqu'alors puisque ce long métrage-ci est mon dixième. Il y'a matière à réfléchir, médité et à prendre acte pour autant je ne pense pas réédité l'expérience avant un moment tellement j'ai été remué ! En revanche je continue avec délectation mon incursion dans le monde cinématographique de Kurosawa qui me déstabilise donc mais me touche au plus haut point de par sa conception du métier de cinéaste. Son génie technique est constamment au service de son art et de son histoire, il trace le parcours de ses personnages avec une imagination et une humanité bouleversante. J'ai hâte de découvrir ses prochaines œuvres à commencer par Le Château de L'Araignée, mon prochain arrêt programmé.
    Flavien Poncet
    Flavien Poncet

    208 abonnés 1 024 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 22 décembre 2008
    Peintre de sa société et des mutations qui l’habitent, Akira Kurosawa tente avec «Donzoko» (Japon, 1957) de dresser le portrait des marginaux, de ceux qui ne s’emboîtent pas dans la matrice capitaliste. Adapté d’un roman de Gorky par Kurosawa et Hideo Oguni, le film se situe dans les bas-fonds d’Edo. Si l’atmosphère que Kurosawa donne à ces bas-fonds n’est pas aussi terrifiante que celle dans «Tengoku to jigoku», les rires goguenards qui échappent de chacun des personnages ne se chargent pas moins d’une désillusion terrible, seule remède dans un lieu où rôde sans cesse une mort purulente. Situé en grande partie dans un foyer miteux où s’entassent femme folle, samouraï déchu, veille agonisante et quelques ivrognes invétérés, «Donzoko» prend partie pour cette caste délaissée. Jouxtant ce foyer, la maison du propriétaire, qui soutire à chacun des locataires une forte somme, n’est montrée de l’intérieur que lorsque s’insurgent les pauvres habitants. Lutte des classes sur fond de satire morbide, «Donzoko» peine à trouver la maestria esthétique qui régit les plus grandes œuvres kurosawaïenne. Certes, chacun des personnages occupe un temps, tient une place précise et digne dans la mécanique du récit mais l’emploi de nœuds dramatiques, comme l’adultère au sein d’une intrigue bien plus grave, est maladroit. Les hystéries que déclenchent les tromperies et les abus semblent peu enclins à s’approprier la gravité d’un tel sujet. Les situations paraissent parfois guignolesques. Kurosawa entend dépeindre une marge rendue absurde, délirante par une surexploitation des castes supérieures. La mort qui parcourt l’endroit principal où se déroule le récit, devient dérisoire, presque un faire-valoir pour légitimer la teneur guignolesque des personnages. Les échanges entre chacun mêlent cordialité et ardeur. «Donzoko» situe son action dans un gouffre, au creux d’un cratère que la société aurait creusait pour y domicilier ses rebus. S’y joue un théâtre satirique de la mort.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    On retrouve dans cette adaptation de la pièce de Gorki, transposée ici au coeur du Japon, l'étonnante ambiance pesante de la pièce. A voir sans hésitation.
    Max Rss
    Max Rss

    168 abonnés 1 713 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 décembre 2021
    Un des films les moins connus et estimés d'Akira Kurosawa. D'ailleurs, beaucoup de connaisseurs du travail du maître nippon s'accordent à dire que ces "Bas-fonds" est l'un des plus exigeants du cinéaste. Tout en sachant que, même dans ce qu'il a de plus accessible, Kurosawa n'est jamais simple à appréhender. Et vous savez quoi ? On ne peut que donner raison aux dits connaisseurs car, en effet, "Les bas-fonds" est un film difficile. Le matériau de base (à savoir la pièce de Gorki) est déjà délicat à traiter, mais Kurosawa complique encore plus la tâche. Il ne faut pas plus de 15 minutes pour que cette atmosphère, remplie de misère, de sournoiseries, d'éclats de voix et de moqueries commence à nous peser sur le moral. Sur ce coup-là, si ça arrive (et c'est certainement déjà arrivé) on ne pourra pas tenir rigueur au spectateur lâchant l'affaire au bout dudit quart-d'heure. Ajoutez à cela un pessimisme limite terrifiant et vous décrochez la timbale. Kurosawa, via le pèlerin distribuant ses boniments, n'accorde pas plus qu'un mince espoir à ses personnages. À chaque fois que l'on se met à croire à des jours meilleurs pour l'un d'entre eux, il y a toujours quelque chose pour venir vous couper l'herbe sous le pied. Ce qui contraste plus que nettement avec le film de Renoir qui lui, laissait Pépel s'échapper de cette misère noire pour lui permettre de rêver à des lendemains qui chantent. Quand on aime regarder des films, nous spectateurs, on apprécie toujours que ce soit les films qui s'offrent à nous. Là, la donne est complètement différente, jamais ce film ne s'offrira à vous. Pour avoir une chance de l'aimer, sans verser dans l'élitisme, il faut accepter l'adversité, accepter de se faire mal quitte à avoir parfois l'impression de se prendre un mur en pleine tête et il faut connaître également un minimum l'univers du maître nippon Pour ma part, m'étant préparé à trouver un adversaire féroce sur ma route, j'ai adhéré d'emblée. Pendant 1h30, j'ai été complètement captivé et j'étais tout à fait prêt à mettre les 5 étoiles. Mais, vient cette dernière demie-heure de film. Laquelle, il faut le dire, n'a pas grand chose à raconter et est assez pénible assez suivre. Le suicide de l'acteur alcoolique est indispensable mais, il y avait très certainement moyen de faire moins long. Si vous ne connaissez pas encore Kurosawa et que vous prend l'envie de le découvrir, il vous faudra éviter de regarder ces "Bas-fonds" en premier, sinon, vous aurez certainement l'envie de ne jamais plus y revenir.
    Sergio-Leone
    Sergio-Leone

    160 abonnés 1 096 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 30 septembre 2012
    Un peu comme l'idiot je n'ai pas réussi à me passionner pour ces personnages inspirés de la littérature russe mais dont l'adaptation japonaise ne parait pas réussie. On sent la passion qui habite chacun des personnages mais le style russe est trop imposant pour être adapté dans une culture radicalement différente. L'histoire concernant le personnage de Toshirô Mifune est également étrangement vite expédiée.
    Nelly M.
    Nelly M.

    81 abonnés 525 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 3 janvier 2009
    Gorki ilustré par Kurosawa : une transposition juste, filmée comme un théâtre, sauf qu'on a vite l'impression de se retrouver au milieu d'un groupe de refaiseurs du monde en train de radoter, à peine conscients de l'endroit où ils sont, comme les ivrognes en fin de soirée... Des fulgurances pourtant, quelques grandes vérités : dommage que les femmes qui pourraient apporter la variante espérée font de si courtes apparitions. Un seul personnage vraiment attachant, celui habillé de clair débarquant avec sa face de clown, le brave type... Le numéro final, ce délire dansé, tombe comme un couperet. Ensemble un peu trop "féodal" à mon goût...
    cylon86
    cylon86

    2 255 abonnés 4 430 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 mars 2016
    Réalisé la même année que "Le Château de l'Araignée", "Les Bas-Fonds" s'aventure vers un autre registre cher à Akira Kurosawa. On y parle de gens rejetés par la société, de marginaux, le tout avec humanisme. Adaptation d'une pièce de théâtre de Maxime Gorki déjà mise en scène par Jean Renoir en 1936, "Les Bas-Fonds" se déroule donc au Japon de l'ère d'Edo, alors que les disparités sociales sont monnaie courante. On y suit tout un groupe de miséreux et de gens déchus (un voleur, une prostituée, un ancien samouraï, un acteur sur le déclin) habitant dans une auberge miteuse tenue par l'avare Rokubei et son impitoyable femme Osugi (incarnée par Isuzu Yamada, déjà diabolique dans "Le Château de l'Araignée"). Toute cette galerie de personnages évoluent dans un coin inférieur de la ville, un endroit où les gens les plus riches viennent déverser leurs ordures sans scrupules. C'est donc un endroit sans espoir que nous décrit Kurosawa, un endroit qu'il ne nous fera jamais quitter durant deux heures, nous attachant à ses protagonistes et à leur condition. Mais l'espoir finit par ranimer ces bas-fonds quand un vieux pèlerin débarque à l'auberge. Celui-ci n'hésite pas à mentir pour redonner à ses compagnons d'infortune le droit de rêver. A son contact, tout ce petit monde s'humanise, exceptés Rokubei et sa femme. Celle-ci fait d'ailleurs du chantage au voleur Sutekichi : si il tue son mari, elle le laissera partir avec sa sœur dont il est amoureux. Mais au-delà de l'intrigue qui se dessine entre Osugi et Sutekichi (et qui sera d'ailleurs vite expédiée), "Les Bas-Fonds" s'attarde surtout sur ses personnages. Des losers magnifiques comme en trouve beaucoup dans le théâtre de Gorki ou de Beckett, des gens qui ne croient plus en rien si ce n'est au pouvoir de la boisson, du jeu et du chant. Des êtres qui n'osent plus croire en une vie meilleure jusqu'à ce que le pèlerin fasse resurgir en eux leurs rêves et leurs espoirs les plus fous. Le film est cependant loin d'être naïf, ces personnages peuvent bien rêver mais le seul moyen pour eux de quitter ces bas-fonds est l'emprisonnement ou la mort. Se hisser hors de cet endroit est quasiment impossible, même en employant la fourberie. Ce qui n'empêche pas le réalisateur de constater toute la superbe humanité qui réside en ces rebuts de la société, peut-être plus chez eux que chez les habitants du haut. Kurosawa a toujours été doué pour laisser son humanisme parler (on se souvient encore de son bouleversant "Vivre") et ici, il utilise son extraordinaire sens du cadre (chaque plan a une composition travaillée) pour que les acteurs puissent s'exprimer. Ceux-ci, bénéficiant de dialogues au ton aussi tragique que désabusé, sont au premier plan dans "Les Bas-Fonds". Évidemment, Toshirô Mifune est de la partie dans le rôle de Sutekichi, composant une fois de plus avec aisance un personnage charismatique et complexe dans cette œuvre aussi tendre que désespérée.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 11 décembre 2008
    La pièce de Gorki permet à kurosawa de donner plus de profondeur et de vérité à ses personnages, Une belle réussite.
    Lenalee23
    Lenalee23

    34 abonnés 369 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 21 mars 2010
    Loin des réalisations habituelles ce terriblement théatral film inspiré de la pièce de Maxim Gorky. Originellement l'oeuvre réussit à transmettre un message d'espoir et de pensée positive aux pauvres des bas fonds cependant ici la vision est autre et l'optimisme n'est pas réelement constitutif de l'histoire.
    Arthur Debussy
    Arthur Debussy

    128 abonnés 675 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 avril 2017
    Génial! Tout simplement génial! «Les Bas-Fonds» est certainement l'un des Kurosawa les plus sous-estimés et méconnus, pourtant c'est bien l'un de ses (nombreux) chefs-d'oeuvres! La mise en scène est magistrale, il suffit de regarder la composition du plan (faites un arrêt sur image) pour avoir un apperçu du génie de Kurosawa : sa gestion de l'espace, des corps, des mouvements est tout bonnement extraordinaire. Mais ce qui marque surtout dans «Les Bas-Fonds», c'est bien sûr l'humanité exacerbée des personnages, dans ses extrêmes les plus inimaginables tout comme dans ses subtilités les plus fines. Akira Kurosawa nous fait passer par tous les sentiments possibles, du rire aux larmes, toujours avec une pertinence et une sincérité désarmantes. Il faut louer une fois de plus le talent de Kurosawa à brosser le portrait de personnages d'une richesse et d'une justesse rares, les montrant sous un jour peu flatteur sans pour autant les humilier. Akira Kurosawa a toujours refusé le misérabilisme, et c'est en cela que réside la valeur de son oeuvre, ne pas verser dans la complaisance mais plutôt montrer l'insoutenable pour s'en guérir. Car dans son film tout n'est que misère et désolation, les hommes et les femmes s'entredéchirant dans cette promiscuité infernale, cet espace commun délabré et ceint par d'immenses murailles de pierre, signes de l'impossibilité d'en sortir (situation reprise ultérieurement de façon imagée par Béla Tarr avec son «Satantango» ou par Kurosawa lui-même avec «Dodes'Kaden»). Pourtant demeurent l'espoir, l'amour et les rêves, et pour qui les embrasse subsiste la possibilité d'un réel échappatoire. Pour les autres ce sera l'alcool ou la fête, qui une fois évanouis rendront d'autant plus dure la triste réalité. «Les Bas-Fonds» est donc une oeuvre sombre et amère, oscillant sans arrêt entre sagesse et folie pure, parfait point de rencontre entre les deux grands sentiments qui ont toujours tiraillés Akira Kurosawa : l'humanisme et le pessimisme. Bouleversant. [4/4] http://artetpoiesis.blogspot.fr/
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 25 août 2009
    Adapté de la célèbre pièce de Gorki, "Les bas fonds"est entièrement fidèle
    à l'esprit de l'auteur.
    Akira Kurosawa fait partie de mes réalisateurs favoris car il arrive
    a nous faire la différence entre la vie et la mort et sa technique
    immense de reprendre des pièces de théâtre connus et de les faire a sa petite sauce Japonaise car il y a souvent du théâtre dan ses oeuvres.
    ce qui était très nouveau a l'époque.
    Ce n'est pas son meilleur film car il y a peu d'action et pas vraiment d'histoire.
    c'est plus une façon que Kurosawa nous montre la société a travers un asile
    et comment ils se supportent les uns les autres entre : un voleur, une prostituée, un samouraï, un acteur râté, un artisan, un policier.
    L'ambiance entre les personnages est parfaite.
    Transporté dan le Japon féodal, le récit permet a kurosawa une remarquable
    peinture du petit peuple de l'ancienne Tokyo.
    mais ce genre de film cela va bien une heure et demi mais deux heures...
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