Derniers Avis : GoldenEye - Page 7

Un très bon 17ème volet de la mythique saga James Bond avec un Pierce Brosnan très performant !
L'histoire est assez satisfaisante et l’univers d’espionnage reste plaisant.
Pierce Brosnan est très charismatique et très convaincant dans la peau du grand 007 et Sean Bean est satisfaisant, l'idée que le méchant soit un ancien ami de notre espion préféré est plutôt bien trouvée.
La séduisante Izabella Scorupco est agréable et Famke Janssen est assez impressionnante.
Tous les autres acteurs sont toujours aussi corrects et les images sont encore convenables.
Les effets spéciaux sont une nouvelle fois très acceptables et les décors restent très bien !
Il y a quelques paysages sympathiques et les lieux rencontrés sont toujours aussi appréciables.
Les costumes sont encore bien conçus et les objets et équipements sont une nouvelle fois très efficaces !
Les véhicules restent cool et les gadgets sont toujours aussi bien faits !
L'ambiance est encore plaisante et la chanson « GoldenEye » interprétée par la talentueuse Tina Turner est géniale !
Les scènes d'action et les cascades sont une nouvelle fois très bien réalisées comme pour la très convaincante séquence pré-générique et la très bonne course poursuite entre l’Aston Martin et la Ferrari ainsi que pour la partie spectaculaire avec le tank dans les rues de Saint-Pétersbourg et le final.
Les rebondissements restent plutôt bien maîtrisés et la mission nous emporte toujours aussi vite.
Le premier opus de Pierce Brosnan dans le rôle du plus classe des agents secrets est donc très réussi et devenu un emblématique de cette fantastique franchise avec une belle James Bond girl et un ennemi intéressant, accompagné d’une dose d’action assez explosive et d’une formidable bande originale !

goldeneye est sans doute l un des meilleurs james bond avec pierce brosnan,du a ses scenes d actions magnifique et son casting en or!! le scenario est bon un peu deja vue!! mais le film respecte au mieux la franchise,les gadgets sont tres bien fait!! et pierce brosnan et au top dans les scenes d action!! mention speciale pour le role de famke jansen qui est tres original!! pour moi le deuxieme meilleur james bond de brosnan apres demain ne meurt jamais!!

Roger Moore se faisait vieux, trop vieux, il était donc temps de le remplacer par un acteur plus jeune, Pierce Brosnan. C'est dingue, Goldeneye est le quatrième film James Bond que j'ai vu (après Demain ne meurt jamais, Le monde ne suffit pas et Skyfall) et quand je regarde dans l'ordre chronologique de la saga il aura fallu attendre le 17 ème film pour que je prenne mon pied devant un James Bond. Goldeneye est pourtant classique dans sa recette, mais pourtant le tout fonctionne super bien ! Pierce Brosnan, qui remplace Roger Moore est parfait pour le rôle : il est classe, avec un côté très fin et distingué qui donne une tonalité plus intelligente au personnage. Devant lui, Sean Bean, Izabella Scorupco et Famke Jannsen ne font pas pâle figure, bien au contraire, car ce James Bond dispose d'une galerie de personnages tous plus intéressants les uns que les autres : Trevelyan, méchant ultra charismatique est pour une fois à la hauteur de James Bond, Natalia est une Bond girl très sympa et enfin Onatopp est juste un excellent personnage. Encore une fois, il aura fallu attendre 17 films James Bond pour que la saga ait un antagoniste féminin marquant et intéressant ! Les scènes d'action sont jouissives et spectaculaires (bien que quelques fois trop surréalistes), les répliques sont énormes ("je suis invincible " ou "pour l'Angleterre James ?") et tout, absolument tout est marquant, que ce soit encore une fois les personnages, les gadgets de James Bond (le stylo explosif entre autres) et le générique.
Un film James Bond jouissif, comme on en a trop peu fait.

Martin Campbell reprend le flambeau après John Glen et commence par une scène spectaculaire sur le barrage de Contra en Suisse, l'un des plus hauts d'Europe (220 m). Pierce Brosnan remplace Timothy Dalton qui a démissionné de son rôle, et, surprise, M, l'inamovible chef du MI6 est cette fois-ci, interprété par une femme, Judi Dench, qui fait montre d'une autorité sans faille. La suite est captivante scotchant les spectateurs sur leur siège. Les scènes se succèdent dans différents lieux de la planète et il s'agit de bien suivre le début pour comprendre l'enchainement du scénario. Les seconds rôles sont toujours bien choisis, soit pour leur physique tel Gottfried John (le général russe Ourumov), soit pour leur énième apparition dans leur éternel personnage inamovible de cette longue saga cinématographique. C'est le cas avec Monsieur Q, le Géo Trouvetout du MI6 (encore joué par Desmond Llewelyn pour la quinzième fois) ou bien Miss Moneypenny, la charmante secrétaire du service incarnée cette fois par une nouvelle actrice. Mentionnons également les deux actrices principales, la charmante Izabella Scorupco dans le rôle de l'alliée de Bond et l'étonnante Famke Janssen qui incarne la sadique Xenia Onatopp. Les scènes d'action, poursuites audacieuses, explosions saisissantes ou cascades surprenantes ne manquent pas pour notre plus grand plaisir. Bien entendu, le réalisateur alterne avec des séquences de charme, histoire de calmer le jeu et sans lesquelles James Bond ne serait plus James Bond. Cependant, il existe quelques bémols quand James Bond combat avec son éternel pistolet Walter PPK face à des ennemis armés de pistolets mitrailleurs, cela frise l'invraisemblable mais n'est-ce pas la fonction même du cinéma que de nous faire rêver ! La scène finale vaut son pesant d'adrénaline.

Après une pause de 6 ans, le célèbre agent secret de sa Majesté est de retour sous les traits de Pierce Brosnan, parfait mixte entre le charisme et la bestialité de Sean Connery et la "british class" de Roger Moore. Le rythme de « Goldeneye » est joliment soutenu et nous gratifie d'illustres moments dont d'époustouflantes séquences de pré-générique et une course poursuite avec un char dans les rues de St-Petersburg. N'oublions pas non plus toutes les scènes où apparaissent Famke Janssen dans le rôle de la plus perverse et allumée des James Bond Girls, des dialogues n’ont dénués d’une certaine vérité ( "les gouvernements changent, les mensonges restent" ) et une splendide chanson écrite par Bono et The Edge, interprétée par Tina Turner. Malgré quelques erreurs de raccords, des effets numériques et des maquettes un peu trop visibles, cette 17ème mission, basée sur un scénario original et dirigée par Martin Campbell, est d’une excellente cuvée.

Pas forcément convaincu par Pierce Brosnan, cet opus propose suffisamment son lot d’action, de gadgets et de méchants pour rendre l’ensemble très divertissent et rythmé avec en prime une incroyable course poursuite en char d'assaut.

Première apparition de Pierce Brosnan dans le rôle du célèbre espion britannique, "GoldenEye" est un bon film James Bond. On y retrouve tout ce qui a fait le succès de la saga auparavant. Tout d'abord, on a de bonnes scènes d'action, celles-ci sont accompagnées de nombreux gadgets qui aideront 007 dans les moments les plus tendus. On a également une bonne James Bond girl (Izabella Scorupco). Le grand méchant est plutôt réussi mais je préfère son bras droit, Xenia Onatopp (Famke Janssen), qui retient l'attention grâce à sa méthode pour tuer qui est pour le moins original. Ensuite, Pierce Brosnan est un bon 007. Les effets spéciaux sont pas mal, la musique de Tina Turner également. Bref, "GoldenEye" est un film d'action comme il en est sorti plein dans les années 90 sauf qu'il est avec James Bond. Ce n'est pas le meilleur de toute la saga mais il est loin d'être mauvais et reste un bon divertissement.

Goldeneye est un James Bond amusant, non pas dans une tonalité sérieuse mais dans la tonalité semi-parodique, que l’on voyait notamment dans les Bond avec Roger Moore. Autant dire que les amateurs d’action sérieuse seront surement déçu, mais au-delà de cela, ce n’est clairement pas le meilleur épisode de la saga.
Les acteurs sont convaincants. Pierce Brosnan est un James Bond de très bonne tenue, qui retrouve d’ailleurs le style Moore, mais en brun, et il n’y a rien d’étonnant à ce que ce Bond là ait la même tonalité que les Bond avec Moore. Elégant, raffiné, Brosnan assure plus qu’honnêtement. Autour de lui comme d’habitude de charmantes dames, ici campé par Isabella Scorupco, tout à fait charmante quoiqu’un peu fade parfois, ce que compense une Famke Janssen déchainée dans un rôle surprenant. Pour le reste le film dispose d’un méchant pas génial. Sean Bean est bon acteur certes, mais il incarne un méchant trop pâle par rapport à ceux que peut affronter James Bond dans d’autres films, et c’est dommage. Si Gottfried John et Janssen compense un peu, reste que ce défaut de grand méchant est gênant.
Le scénario est un peu foutraque. Goldeneye dispose d’une narration assez moyenne, qui accuse parfois quelques baisses de rythme, non pas tellement par défaut d’action mais plutôt par le caractère inutile de certains passages. A l’inverse le film fait des ellipses regrettables, notamment celle concernant le colonel Ourumov dans l’épilogue. Pour le reste j’ai apprécié le second degré de certains moments, l’humour dispersé ci et là, et quelques scènes que l’on ne peut voir que dans un James Bond, à l’instar de celle du char. Franchement tout n’est pas à jeter, mais c’est trop léger dirions-nous, pas assez maitrisé.
Visuellement Goldeneye profite de son budget confortable, et d’un réalisateur inégal mais généralement bon artisan. Campbell ne livre pas ici sa meilleure œuvre, mais son film reste bien fichu, son efficacité dans l’action est perceptible même si certains moments restent brouillons. Il se débrouille, mais c’est vrai que je l’attendais tout de même plus efficace, plus percutant. Reste que les décors sont réussis, notamment tout la séquence finale mais l’escapade à Saint Pétersbourg ne manque pas d’allure, et la photographie est très correcte. De même les effets pyrotechniques sont convaincants, les cascades réussies aussi. Pour la bande son je suis plus mitigée. Si on a de bonnes choses, et c’est appréciable de retrouver aussi le thème original, le travail d’Eric Serra n’est pas toujours très à propos (pendant la scène du poker par exemple). Je crois que ces petits loupés dans la bande son participe du faux rythme de la première partie, la plus concernée par ce souci.
Enfin, Goldeneye n’est pas le meilleur James Bond, ce n’est pas non plus le pire, et en tous les cas c’est un film d’action léger, distrayant. Vu la réputation de cet épisode je m’attendais à quelques choses de plus ambitieux et de plus maitrisé, mais bon, ce n’est quand même pas mal. 3.

James Bond à la mode Pierce Brosnan demeure charismatique, mais manque tout de même de ce charme qui faisait la marque de ses prédécesseurs... Pourtant, ce "Golden Eye" débute sur les chapeaux de roue, avec quelques séquences un peu invraisemblables certes, mais très efficaces. D'ailleurs, c'est toujours le même problème, à force de subir un héros hermétique aux balles - et autres types d'invraisemblances -, ce genre de film d'action finit toujours par lasser... En fait, il ne cesse de baisser en intensité et en crédibilité, à cause d'un scénario d'une grande banalité, jusqu'à ennuyer, et même devenir grand-guignolesque au cours d'une scène/chute finale pas très inspirée. Heureusement, Famke Janssen met un peu de folie dans tout ça, en diablesse géorgienne qui ne peut laisser insensible ! A voir pour la première demi-heure...

C'est loin d'être le meilleur James Bond mais ça se laisse regarder par les très bonnes scènes d'action et les dialogues bien écrits. Hélas le scénario n'est pas très original, certains acteurs ne sont pas très bons, et certaines scènes sont assez ridicules (la scène de début avec l'avion par exemple)

GoldenEye renouvelle vraiment le genre des JB. Une belle référence à l'Aston Martin DB5. Un emploi spectaculaire du T55 russe dans les rues de Saint Pétersbourg. Une petite présentation de l'hélicoptère "Tigre". Judi Dench en "M" qui assoit tout de suite son rôle. Des JB Girls bien typées, surtout Xenia Oanatop. Un hacker vraiment fun et "invinsible". Bref, beaucoup de renouveau, de personnages travaillés et une bonne intrigue, sans ressenti de temps mort pour ma part. Un de mes JB préférés qui introduit P. Brosnan en JB toujours plus élégant :)

Pour moi le meilleur des James Bond avec un scénario génial, un grand Pierce Brosman et des supers décors, cadrage et effets spéciaux. La bande originale est également très bonne

Suite à de nombreux problèmes lors de la production (conflits légaux, mort du scénariste puis la démission de Timothy Dalton...), "GoldenEye", 17ème opus de la saga "James Bond", a vu le jour 6 ans après l'épisode précédant "Permis de Tuer". Dans cette nouvelle mission, l'agent 007 doit retrouver le Goldeneye, un satellite russe volé par des mercenaires...

Marqué par l'effondrement du bloc de l'est, symbolisé par le générique qui fait le lien entre un avant et un après chute de l'URSS, où l'on voit des statuts de Lenine tombées, tout comme des marteaux et faucilles, "GoldenEye" est aussi le premier opus de la saga où Pierce Brosman enfile le costume de l'agent britannique. Déjà pressenti pour ce rôle quelques années auparavant, il est parfaitement à son aise dans le costume de Bond, plutôt charismatique avec un flegme typiquement anglaise.

Soucieux de rentrer avec un brio dans cette nouvelle décennie, Martin Campbell nous livre là un cocktail assez efficace et explosif. Il n'hésite pas à s'éloigner de tout réalisme et à en faire beaucoup, quitte à rentrer dans la surenchère, à l'image de l'introduction. Mais dans l'ensemble, ça marche plutôt bien, on prend un plaisir à suivre l'agent Bond à travers cette aventure, l'ensemble est bien rythmé et ne manque pas de tensions dans les moments forts.

La réussite de "GoldenEye" vient aussi de l'opposition, qui va donner du fil à retorde à l'agent du MI-6 ainsi qu'à des rôles féminins assez fort, notamment M (très bonne première de Judi Dench), Xenia ainsi que la survivante du centre de contrôle. Des personnages féminins qui font passer Bond comme un agent macho dépassé. Alors, tout n'est pas non plus parfait, c'est dommage que les touches d'humours ne soient pas toujours convaincantes et on peut aussi noter la partition très inégale d'Eric Serra qui a en plus le malheur d'être parfois trop appuyé.

Nous emmenant entre la Russie, l’Angleterre ou encore Cuba, Martin Campbell permet à James Bond de rentrer dans cette nouvelle décennie de belle manière à travers une mission toujours agréable à suivre même si elle n'est pas non plus exempt de tout reproche. Quant à Pierce Brosman, il est impeccable et débute très bien une série qui le verra enfiler quatre fois le costume de l'agent 007.

Après six ans de disette et un procès, Bond revient en 1995. L'attente étant longue, Timothy Dalton avait quitté le rôle et on attendait les débuts de Brosnan dans la peau de 007, qui aurait du avoir le rôle à l'époque ou Dalton l'a eu, mais n'avait pas pu se défaire de ses engagements. La production a souhaité visiblement assurer le coup en utilisant la bonne vieille Russie comme terrain de jeu et en feignant un rappel à la Guerre Froide tellement fructueuse pour la saga. Il y aussi MoneyPenny, Q et un faux Felix Leiter. La vraie prise de rique réside dans le choix de Judi Dench dans le rôle de M. Et il s'avère judi-cieux à plis d'un titre. D'abord car l'époque a changé et mettre une femme en patronne de Bond permet de contrebalancer les personnages de pouvoir masculins. Ensuite, parce que l'actrice est impeccable dans ce rôle. Enfin pour des raisons plus inhérentes à la création du personnage. En effet M veut dire "mother", car c'était comme cela que Fleming appelait sa mère et aussi car la reine Elizabeth signait d'un "M" les lettres qu'elle envoyé à son possible espion, John Dee qui signé lui d'un OO7.
L'action est au rendez vous certes, elle s'enchaîne sans trop d'effort mais tout cela parait être une compilation de la routine bondienne. On nous annonce aussi des missiles qui ne sont jamais utilisés.En effet certains passages paraissent avoir été filmés au rabais et la séquence d'intro est beaucoup trop exagérée.
La musique d'Eric Serra semble aller contre le film la plupart du temps.
Reste des personnages fascinant comme Xenia Onatopp ou le personnage interprété par le très bon Sean Bean. Sans oublier la puissance de la chanson du générique interprétée par Tina Turner.
Un film qui contient son lot d'aventures exotiques et d'humour, qui reste potable sans s'éloigner des entiers battus

En 1995, GoldenEye marque le retour de l'espion britannique dans les salles obscures, six ans après le dernier film. Non seulement il a permis d'apporter du sang neuf à la saga mais il a aussi réconcilié le public avec un genre en perte de vitesse (Permis de Tuer n'avait remporté que 156 200 000, GoldenEye rapportera plus du double). Au niveau du casting on a un nouveau James Bond (Pierce Brosnan représente pour moi LE 007 par excellence) ainsi qu'une nouvelle M (une femme avec un cynisme mordant). Le méchant est certainement un des meilleur de la saga, tout comme les James Bond Girls qui pour une fois ne sont pas des potiches cantonnées au rôle de femme objet. D'un côté il a Natalya, programmeuse survivante de l'attaque du GoldenEye, qui, sans être Miss Monde, dégage beaucoup de charme et dont les connaissances en informatique seront utiles pour 007. De l'autre nous avons Xenia Onatopp interprétée par une Famke Janssen jouissive (!), une tueuse à gage cinglée et masochiste. Le film est mené d'une main de maître, on est pris dès le début avec cette scène d'infiltration d'une base en URSS absolument culte qui est suivie du meilleur générique des James Bond, chanté par Tina Turner. Les scènes d'actions sont dynamiques et parfaitement orchestrées. Bien que certaines soient un peu capillotractées spoiler: (la course poursuite en tank dans les rues de Saint-Pétersbourg)
elles ont parfaitement leur place dans l'oeuvre et ne sont jamais ridicules. Cela vient peut-être du ton décontracté du film dû à l'humour britannique omniprésent et appréciable. GoldenEye réunit tous les ingrédients pour être un des meilleurs James Bond. Ses personnages charismatiques et ses scènes d'action survitaminées en font un film d'espionnage mémorable.