Derniers Avis : La Vie au ranch - Page 3

Comment peut on résister plus de 5 mn à ce film. Et surtout comment peut on produire ce genre de daube??? Nul et encore c'est de trop

D'accord pour le naturalisme, d'accord pour l'effet de réel (cadre, actrices), d'accord pour l'honnêteté... Mais saliperligoulette je m'en tamponne les ischio-jambiers de leur life de Parisiennes friquées, de leurs peines de coeur, de leur désenchantement, de leur film de copines et de leurs bouderies ! La version ciné de Jeune & Jolie. 36 %

ennuyant, bruyant, vulgaire, scénario de même...comment on peut sortir un truc comme ça? 20 min et déjà mare...cliché des étudiant qui boive fume chie et foute le bordel dans leurs apart...bref une perte de temps a regarder

Ma copine m'a montré ce film pour rigoler.... Je pense que plus jamais je ne l'écouterai...
Je suis encore en coma cérébral devant la nullité de la chose. Grosse incompréhension, est-ce un film ou une blague?
Ma copine? Elle ri encore de mon air dépité!
(Elle aussi pense que c'est une daube...)

à fuir !! scenario bidon ,histoire d'une bande d'amie sans grande histoire,on s'ennui de début à la fin

catastrophique j'ai jamais vu une daube pareille on dirait plus un documentaire je l'ai maté en streaming et j avancais tout le temps en tt il a duré une demi h pour moi suffisant! je comprend pas comment un film pareil sort au cinéma c'est scandaleux tout le monde peut jouer ca tu prends une camera tu filmes tes potes en soiree et c parti bref ridicule !!! pui les actrices sont vulgaires et pas très gracieuses pour ne pas dire vilaines

Un film mal fichu, tourné avec les pieds, doté de dialogues soporifiques qui ne ravira qu'une bande de bobos attardés. Et en plus le film se paie le culot d'avoir comme guests stars des anciens loosers de télé-crochets.

boudu je ne savais pas qu'on pouvait encore faire de tels films de nos jours, très réaliste, mais sans intérêt et surtout sans histoire.

Le talent n'est pas au rendez-vous...............................................

Le Ranch est l'appartement de deux étudiantes parisiennes bien dans leur époque, fréquemment squatté par les ami(e)s.
Une chronique d'un passage à l'âge adulte emprunt d'un désenchantement sans originalité. Toutes ces filles passent leur temps à bavasser sans rien apporter de neuf si ce n'est un moment de la vie des jeunes adultes d'aujourd'hui. Mais à part ça, il n'y a rien. L'intérêt est assez limité d'autant que le casting n'est pas très stimulant, bien au contraire. Les jérémiades sont assez agaçantes, les réflexions souvent consternantes, et les petites disputes bien futiles.
Un projet intéressant pour un résultat sans relief.

La Vie au Ranch (Sophie Letourneur)
Hyper-réalisme et hyper-complaisance / Un film à trois francs Siksou.

La vie au Ranch, c’est une bande de filles d’une vingtaine d’années, qui squatte un appart’, «Le Ranch ».
Entre paquets de clopes, bouteilles de vin, conversations vides, commérage, séchage de cours, histoires de cœur, et histoires de cul, Sophie Letourneur nous montre la vie de ce groupe de copines et son cheminement vers la dissolution.
Rappelez vous d’une fois où vous avez été invité par un(e) ami(e) à une soirée chez un(e) de ses potes… vous ne connaissez personne, ils crient, ils rient, parlent tous en même temps, vous ne comprenez rien, leurs conversations sont vides. Ca y est vous y êtes ? Bienvenue au Ranch !
La réalisatrice montre la vie de ce groupe au travers de la banalité nous laissant voir tout …surtout ce dont on se fout. Tout ce qu’on tendrait à éllipser elle nous le plante sous les yeux! Spectacle assez insupportable dans sa globalité.

Sophie Letourneur semble tout à fait satisfaite de la banalité de ce que son film raconte «Ce sont des filles sur un canapé qui fument et qui boivent de l’alcool » dira-t-elle dans une interview, et c’est précisément ça qui agace : le film n’a pas d’action claire, et c’est revendiqué. L’histoire n’avance pas, elle ne nous est pas racontée, (si histoire il y a) elle est montrée, et ça… faut aimer.
Le problème de ce film aux faux accents Nouvelle Vague c’est qu’il se complait dans son style sans chercher à en faire plus ; certes c’est réaliste, certes on y croit, mais est-ce une finalité ? On aimerait voir ce que ça pourrait donner avec un scénario comportant des enjeux plus conséquents. Son manque de dynamisme et de substance scénaristique achève de le rendre indigeste, certains aimeront, beaucoup s’ennuieront, d'autres encore tenteront de mettre fin à leurs jours pendant la projection (cas minoritaire mais probable).

Ce film sera peut-être plus appréciable dans quelques années voir quelques décennies, le temps pour le public de prendre du recul par rapport aux personnages qui seront alors comme fossilisés par le temps.

Premier long-métrage pour Sophie Letourneur qui réalise ici une oeuvre des plus surprenante, le film va à coups sûr en dérouter plus d'un ! On y suit le parcourt d'un groupe de jeunes femmes (la vingtaine environ), entre soirées arrosées (de vrais beuveries) et soirées entre copines où jusque tard dans la nuit, clopes et alcools ne cesseront de rythmer leur frénésie. Dès le début du film, on se retrouve happé (et confronté) par un raz-de-marée sonore, tous les dialogues sont ici englués les uns sur les autres, chacun se coupant la parole, parfois audible et surtout inaudible. Un certain laps de temps est nécessaire pour habituer nos oreilles, à côté de cela, le naturel des actrices y est saisissant, on rit de leur blagues et de leurs discussions graveleuses ou sans intérêt. On finit même par s'attacher à certaines d'entre elles. Sophie Letourneur surprend, déstabilise et signe une oeuvre marquante.

joli film/documentaire sur le passage à l'âge adulte un peu bruyant.

assez bruyant wé parce qu'assister à une scène où tous les personnages parlent en même temps c'est pas de tout repos mon frère.
l'aventure est assez intéressant à suivre, drôle par moments (you speak french ? ok I speak in franglais), attendrissant par d'autres (hha la joie d'attendre un coup de fil qui n'arrivera jamais)

les personnages (99% féminin) sont assez représentatifs de la jeunesse actuelle (l'opposé de "Lol" quoi) avec les soirées, la gueule de bois, la sale gueule/haleine du matin, les cours séchés, les amourettes, les engueulades plus ou moins amicales, ...
et le passage à l'âge adulte ici représenté par la fin d'un amitié, le renforcement d'une autre et d'un déménagement.

Dommage ! Vraiment dommage ! Je pensais aller passer un bon moment en voyant un film léger, sympathique, sur une bande de jeunes d'aujourd'hui (dans la lignée de Nos jours heureux) et je suis partie au bout de 30 min, moi qui ne fait jamais ça ! On est plongé dans le quotidien d'une bande de jeunes, ça se veut réaliste ( la réalisatrice a choisi une bande d'amis dans la vraie vie) mais le langage et le mode de vie sont représentatifs d'une certaine classe de la population, la jeunesse plus ou moins riche, favorisée en tout cas, parisienne pseudo-cool, qui parle avec force tics du langage et qui est, il faut le dire, agaçante. Si j'avais voulu voir mes camarades les plus caricaturaux de grande école évoluer dans leur environnement, je n'aurais pas eu besoin d'aller m'assoir sur un siège de cinéma. Le film est trop plat, manque de scénario, les personnages sont agaçants, donc, et surtout, dans la première demi-heure en tout cas, il ne se passe rien, et une demi-heure, c'est long.

Petite comédie qui fait timidement sourire et rarement rire, La Vie au Ranch ne fait décidément pas dans la dentelle : 90 minutes durant on assiste au spectacle d'une bande de copines qui passent leur temps entre la picole, les chiottes et la glandouille. Le film de Sophie Letourneur, cherchant honorablement à garder le ton juste, ne parvient presque jamais à séduire, desservi par une mise en scène plate et donc anecdotique. Les actrices s'en tirent bien, l'humour repose sur des situations graveleuses et l'ensemble est tout bêtement quelconque. Pas complètement nul mais terriblement vulgaire, La Vie au Ranch cherche donc à démythifier l'adolescence : le hic c'est que le pire ( Lisa Azuelos ) et le meilleur ( Riad Sattouf ) sont déjà passés par là, ayant auparavant dressé le portrait d'une jeunesse taquine et boutonneuse... Bref rien de nouveau sous le Soleil, seulement une farce assez grossière qui n'apporte rien de très reluisant pour le cinéma français. Préférez Les Beaux Gosses, l'une des comédies teenages les plus poilantes de l'année 2009...