Avis : Cet été-là - Page 4

Je suis tombé sur ce film complètement par hasard, mais au final ce fut une agréable surprise. Ce film offre une bonne vision de l'adolescence. Beaucoup de passages sont drôles et émouvants. De grands acteurs étaient au rendez vous comme Steve Carell en beau père pas sympathique et Sam Rockwell en directeur de centre aquatique plus que cool. Ce film m'a beaucoup plu d'une part grâce aux scènes drôles et émouvantes à la fois (notamment celles au parc aquatique) et d'autre part avec l'histoire touchante de l'adolescent mal dans sa peau, mal avec sa famille recomposé et son beau père mais qui va réussir à passer d'excellente vacances en s'évadant dans un parc aquatique. L'acteur principal est très bon. Si vous ne savez pas quoi aller voir, courez voir "Cet été là" alias "The way way back"!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Pour un premier film, c'est vraiment du beau boulot!!!

Des personnages haut en couleurs menés par un excellent casting. Malheureusement, le scénario sans grand intérêt n'aidera pas le film à décoller.

Cet été-là où comment sombrer dans une banalité de haut niveau, le film emprunte des ficelles vu et revu depuis les années 80 que ce soit dans les téléfilms ou même les comédies dramatiques .
Ça raconte l'histoire d'un gamin qui vit dans une famille recomposée et qui va passer les vacances d'été avec son beau père et sa belle soeur .
Il n'a pas d'ami, il est blasé, il s'ennuie et son beau père très autoritaire n'arrange pas les choses . Puis un jour il va tomber sur un parc aquatique et va être embauché dedans et fera la rencontre de Owen qui lui redonnera plus ou moins gout a la vie .

On nous vends le film comme une comédie dramatique mais il faut savoir que ce n'est ni drôle ni "dramatique" ou touchant, c'est comme vide, on suit l'histoire assez sympathique certes mais sans ressentir la moindre émotion .
L'humour ne tourne qu'autour du personnage "d'Owen" qui s'amuse toute les 3 secondes ( et c'est vraiment 3 secondes ) a faire une blague d'ahuri bien lourde, sur la durée ça en devient un personnage a la limite du supportable digne d'un gros gamin, lourd lourd et LOURD je vois pas d'autre mot ce mec m'a tellement saoulé c'est indescriptible .
Steve Carrell lui est dans le rôle du père autoritaire c'est pas ce qu'il y a de mieux mais il reste plus que correct, son personnage ne jouera donc pas avec de l'humour et c'est bien dommage .

On se concentre sur le personnage du gosse, il va se trouver des points commun avec sa voisine la bimbo et a coté il va subir ses parents qui ne font que se défoncer, boire comme des alcooliques, ou voir leurs amis dépravés .
Le soucis c'est qu'on ne s'attache pas la moindre seconde aux personnages . On sait tout ce qui va se passer a l'avance et le film ne dégage aucune originalité .

Bref vous voulez du soleil, des piscines, des parents irresponsables qui couchent a tout va et se défoncent comme des ados, un gamin tellement blasé qui rend le spectateur aussi dépressif que lui et un un mec aussi drôle que les sketchs de Danny Boon ? Regardez ce film sinon passez votre chemin .

The Way Way Back est un "coming of age" movie somme toute assez classique mais qui procure un plaisir indéniable car tout fonctionne à tous les niveaux. Une profonde sincérité se dégage du scénario, pas révolutionnaire pour un sou, mais où tout est bien traité: les situations, les dialogues sonnent très justes, et tous les axes sont développés avec finesse à l'image de la relation entre Duncan et son beau-père. L'ensemble du casting a rendu une très bonne copie, notamment l'excellent Sam Rockwell, déconcertant de facilité, et Steve Carrel qui livre une prestation à contre-emploi très intéressante, prouvant encore une fois qu'il a vraiment un potentiel dramatique fort. Faxon et Rash, intelligents dans leurs démarches, ont donc réussi leur pari malgré un sujet casse-gueule et relativement éculé.

Un charmant drame sur le passage à l'âge adulte d'un jeune garçon de 12 ans Duncan (Liam James) qui ne semble pas pouvoir s'intégrer à qui quoi ce soit et surtout au nouveau petit ami de sa mère (Steve Carell). Pendant ses vacances Duncan noue une relation avec le propriétaire d'un parc aquatique (Sam Rockwell) qui lui donne quelques bonnes leçons de vie. Cet été-là n'a vraiment rien d'original ou de ce que nous n'avons pas déjà vu d'innombrables fois dans d'autres films de ce genre mais il possède une excellente distribution et des personnages merveilleusement charmants qui en font un film à voir absolument. Les scénaristes et réalisateurs Nat Faxon et Jim Rash font un travail merveilleux en créant un charme décontracté qui traverse le film. Il n'essaie jamais d'être quelque chose de percutant ou quelque chose qui fait réfléchir le spectateur. Au lieu de cela il montre simplement une petite histoire dans la vie d'un petit adolescent. Je pense vraiment que l'approche décontractée du sujet a contribué au charme notamment lors de certaines scènes tendres où Duncan apprend qu'il est plus que ce que le petit ami de sa mère dit de lui. James est exceptionnellement bon dans le rôle principal car il ne fait jamais de doute qu'il n'est pas ce personnage tranquille décontracté et parfois triste. J'ai trouvé l'acteur très convaincant dans ce rôle et il a certainement aidé à porter cette histoire. Le personnage le plus remarquable est Rockwell qui mérite vraiment d'être considéré pour l'Oscar du meilleur second rôle. Il vole facilement le film dans le rôle de l'employé du parc aquatique il est décontracté et amusant ce qui aide Duncan à sortir de sa petite coquille...

La singularité de ce film est touchante. Cet été-là est un bon film. Le jeune Liam James est un très bon acteur, pas encore formaté par le système hollywoodien. Ce film est une leçon de courage. Le jeune Duncan essuie les coups bas de son beau-père, mâle dominant. Il regarde sa mère s'engouffrer dans l'océan de son amour transit. Duncan se libère aux côtés du merveilleux Sam Rockwell, peter pan des temps modernes. En dehors des gros films hollywoodiens, ce film a un atout : il fait réfléchir. A voir, a revoir et à faire voir !

Passer ses vacances en famille dans une maison toute proche de la mer, en voilà un programme sympathique. Pas pour Duncan adolescent introverti qui souhaitait les passer avec son père. Fils de parents divorcés, il est obligé de subir son beau-père (un étonnant Steve Carell, loin du personnage comique qu'il est habituellement) et, dans une moindre mesure, sa mère (Toni Collette toujours juste) relativement apathique. Cet été-là sent bon le conte offrant un vent de fraîcheur au spectateur. La vie de Duncan ne sera plus la même après... Cet été-là. Il va se révéler à lui-même et comprendre qu'il n'est pas le looser que certains veulent lui laisser entendre. Le propos du film est traiter avec une légèreté telle qu'il fait sourire sur le destin de ce garçon finalement en accord total avec son époque. Ses préoccupations sont simples, un besoin de reconnaissance, une amitié sincère et une amourette de vacances.

Alors que je n’attendais rien de bien spécifique de Cet été là, de Nat Faxon et Jim Rash, tous deux seconds rôles dans leur propre film, la surprise est pourtant au rendez-vous. Certes, le film, estampillé Little Miss Sunshine Like, possédait quelques atouts dans sa manche, mais je ne m’attendais pas pour autant à tomber sous le charme d’un petit bout de drame familial léger et sonnant juste. Certes, rien n’est foncièrement captivant, mais la chaleur estivale que baigne l’œuvre du tandem, son ton jamais larmoyant et sa très belle perception d’une jeunesse désabusée par les fresques de leurs parents respectifs en font un film indispensable dans sa catégorie.

Agréable à suivre, sans réel temps mort ni même d’excès de zèle de la part de metteurs en scène plutôt discrets, le récit pose les bases de ce qui pourrait s’apparenter à une simple romance, sur plusieurs fronts, certes. Pour autant, l’on ne cède jamais ici à la facilité, préférant souvent la noirceur que l’éclat d’un baiser, la tristesse et la colère au pardon dégoulinant et au préceptes sacro-saints de la famille américaine. Le refuge d’un jeune adolescent dont le beau-père le traite comme un moins que rien, un peu comme sa mère, dans les allées d’un parc aquatique est salvateur. C’est là que Duncan rencontrera de nouveaux amis mais surtout de nouvelles perspectives. Introverti, parfois pénible tant mutique, tant nonchalant, le jeune homme va retrouver goût à la vie, parallèlement aux emmerdes qui s’accumulent coté famille.

Le succès critique de The Way, Way Back tient aussi à son casting. Steve Carrell, à contre-emploi, est très efficace au beau-père mesquin et volage. Toni Collette est elle aussi impeccable en mère brisée prête à tout pardonner pour vivre comme ses semblables, en apparence. Sam Rockwell, quant à lui, même s’il en fait des caisses, offre un personnage réellement rafraîchissant, immature éternel, amateur du bon vivre et fidèle compagnon d’un jeune garçon qu’il prend sous son aile. Liam James, l’interprète du jeune Duncan est lui aussi remarquable, capable de jouer aussi bien la joie que le désarroi, le bonheur qu’un profond malheur. En somme, si tout sonne globalement très juste, c’est en partie parce que le casting est impeccable. Cela mérite d’être souligné tant la distribution des rôles, en général et dans ce type de catégorie de films, est souvent très aléatoire.

Au final, si le propos est plutôt saumâtre, le film de Nat Faxon et Jim Rash aurait plutôt tendance à redonner le sourire en une soirée maussade de semaine. Comme mentionné plus haut, voilà une bonne surprise, un agréable moment de simple cinéma sans prétention, que l’on hésite à s’offrir mais qui au final s’avère plutôt bénéfique pour le moral. Notons qu’accessoirement, le cadre dans lequel le tournage à été entrepris est plutôt sympathique, renvoyant les cinéphiles rompus au vieux classiques aux dents de la mer coté paysage et ambiance de plage. Sympathique comme une femme souriante au réveil. 15/20

Dans le même esprit très "folk" que JUNO et LITTLE MISS SUNSHINE. C'est un petit film assez sympa à regarder, surtout pour les prestations de la fabuleuse Toni Colette et le très surprenant Steve Carell qui incarne ici un personnage relativement detestable , en tous cas à 1000 lieues de ses rôles de gentil benêt habituels ... Une histoire familiale avec ses hauts et ses bas, ses contrariétés et ses bons moments . Le décors et les musiques sont super, l'ambiance parfois un peu pesante mais ça reste un bon film de divertissement, avec quelques noirceurs ...

Quel film ! On en ressort les larmes aux yeux...
Ce film, racontant l'histoire d'une jeune homme sans beaucoup d'ambitions qui va, en surmontant des épreuves et en affrontant le regard des autres, tenter de changer son destin. Certes, le discours reste moralisateur, mais l'écriture est tellement subtiles et les personnages sont tellement bien définis et pertinents, qu'il est difficile de ne pas s'y attacher.
On retrouve de très bons acteurs, une musique fort agréable et une réalisation toujours en finesse.
Ce film est une véritable leçon de vie, que chacun devrait voir au moins une fois ! Ouvrant la voie sur les idées telles que le choix propre de son destin, le refus de l'abandon et l'entraide, ce long-métrage nous emporte au gré de ses péripéties. Excellent, subtil, et même jouissif, il est à conseiller à toutes les personnes qui veulent voir leur vie défiler devant leurs yeux.

L'histoire est intéressante et prenante, j'ai vraiment adoré ce scénario avec des répliques bien trouvées et sympathique, une morale qui fait mouche et un sujet qui peut toucher chacun d'entre nous à différents points de vue. J'ai beaucoup aimé la personnalité des personnages, on s'attache facilement à eux, on les déteste,...La réalisation est belle ainsi que la photographie. Le casting est bien trouvé, le jeune Liam James est parfait en Duncan renfermé, mystérieux mais avec une pointe d’espièglerie, il ne porte pas ce film seul mais à un rôle central qu'il tient à merveille. Sam Rockwell est excellent dans un personnage qui lui colle bien, sa a été un plaisir tout le film. Toni Colette joue très bien cette femme d'apparence heureuse qui s'effondre toutefois petit à petit et j'ai aimé retrouvé Steve Carell en particulier pour le détester !!

Dans la lignée de "Crazy Stupid Love" ou "Little Miss Sunshine", ces films que l'on appelle "feel good movie", "The Way Way Back" procure beaucoup de plaisir à son visionnage.
Une histoire simple, bien écrite où l'on suit un ado mal dans sa peau le temps d'un été dans ses relations avec sa famille recomposée, et aussi les rencontres qu'il fera au cours de ces vacances qu'il n'oubliera jamais.
En plus de cela le film possède un excellent casting, notamment Sam Rockwell et le jeune Liam James, très touchant.

Mention spéciale au jeune Liam James dans ce rôle d'ado coincé entre sa famille (mal) recomposée et sa propre vie.

Jolie comédie dramatique, un scénario commun mais bien ficelé, authentique et sincère. Un Steve Carrel bon dans son personnage odieux. Le jeune Liam James touchant et honnête. Sam Rockwell dans un second rôle classique et bien fait, le reste du casting est sans grand intérêt. Un film donc, à voir à l'occasion, qui n'apporte rien d'innovant ou de révolutionnaire mais une après-midi joyeuse !

Touchant, sincere, pas vulgaire, un brin ringard ... Ca change de voir ce genre indépendant contre le fast américain ... A voir ! Merci g passé un bon moment ! Casting genial !