Mon compte
    Sex Addict
    Note moyenne
    1,7
    223 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Sex Addict ?

    65 critiques spectateurs

    5
    6 critiques
    4
    9 critiques
    3
    6 critiques
    2
    12 critiques
    1
    12 critiques
    0
    20 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    583 abonnés 2 755 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 4 janvier 2024
    Nouvelle production scandaleuse signée par le réalisateur de la trilogie Basket Case, Bad Biology orchestre la rencontre entre une femme dotée de sept clitoris et un homme dont le phallus a été artificiellement allongé et grossi par la prise de diverses substances stupéfiantes. Le résultat est fidèle au répertoire de Frank Henenlotter : une inquiétante étrangeté qui place sur le devant de la scène le corps perçu comme une somme d’excroissances et d’anomalies que la caméra scrute sans complaisance aucune. Les registres se confondent habilement, de l’horreur à la pornographie en passant par le comique, si bien que nous ne savons comment réagir une heure et demie durant. Ce trouble constitue la réussite première d’un film qui interroge la relation entre masculin et féminin, et qui en représente les clichés associés : le plaisir féminin s’exhibe dans son caractère insatiable et bestial, loin de la maîtrise morale si souvent montrée, loin de la réification dictée par l’homme ; au contraire, la jouissance masculine repose sur le dialogue de sourds entre l’être humain et son organe sexuel pourvu de conscience (!), ce qui, derrière la pochade irrévérencieuse, dénonce la fétichisation du pénis, de sa taille et de son volume, au détriment du reste du corps.
    Bad Biology n’est pas sans rappeler tout un pan du cinéma de Catherine Breillat, celui même qui représente l’impossible dialogue entre les sexes, sous la forme d’une union monstrueuse qui n’adviendra que dans la destruction réciproque des parti(e)s. Une curiosité bancale et imparfaite à découvrir de toute urgence !
    Spider cineman
    Spider cineman

    114 abonnés 1 811 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 3 octobre 2023
    Ne pas se fier au synopsis... ni drôle ni franchement torride... juste stupide surtout dans une réalisation pifometrique. Parfaitement a oublier voire évitable, vous éviterez surtout de perdre du temps
    Artriste
    Artriste

    83 abonnés 1 824 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 21 juillet 2023
    Réalisé par Frank Henenlotter, Sex Addict est un long-métrage inqualifiable mêlant horreur, comédie et fantastique, portant parfaitement son titre. L'histoire nous fait suivre Jennifer, une photographe professionnelle possédant sept clitoris, dotée d'un appétit sexuel insatiable, ne parvenant pas à atteindre le septième ciel avec ses nombreuses conquêtes qu'elle tue à la fin de leurs rapports. Seulement, un jour, elle fait la rencontre de Batz, un homme ayant lui aussi quelques soucis avec sa sexualité puisqu'il dispose d'un membre hyperactif et démesuré. La rencontre de ces deux êtres va alors avoir des conséquences monstrueuses. Ce scénario nous plonge pendant une heure et vingt minutes, qu'on ne voit pas passer, dans une intrigue totalement absurde, surprenante et imprévisible de bout en bout. On assiste à un véritable objet filmique non identifié accouchant de scènes toutes plus barrées les unes que les autres. Absolument tout tourne autour de l'organe reproducteur, le film se voulant trash, impudique et sulfureux. Le ton est très drôle grâce aux situations saugrenues, à l'aspect également horrifique, dans lesquels la nudité est particulièrement présente. Les deux rôles principaux sont interprétés par des comédiens convaincants et méritants, à la plastique agréable entre Charlee Denielson et Anthony Sneed. Le reste de la distribution est elle plus anecdotique. Les relations entre les personnages sont très limitées puisqu'elle ne tourne qu'autour du sexe, en atteste des dialogues sans filtres, vulgaires et ultra sexualisés, provocants pas mal de rires. Sur la forme, la réalisation de Frank Henenlotter est peu qualitative. En effet, sa mise en scène n'est pas très bonne et le cadrage souvent douteux. Le visuel est peu attirant en dépit des corps de rêves des protagonistes. Les effets spéciaux sont eux aussi volontairement ridicules que marrants. Ces images sont accompagnées par une b.o. aux compositions agréables mais loin d'êtres mémorables. Cette histoire aussi improbable que loufoque s'achève sur une fin satisfaisante, venant mettre un terme à Sex Addict, qui, sous son aspect peu reluisant cache un film à petit budget sympathique à prendre au millième degré.
    Nicothrash
    Nicothrash

    293 abonnés 2 931 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 7 juin 2023
    Ce navet serait sorti dans les années 80 on aurait pu l'excuser en partie, et encore, mais là on est en 2008 et c'est proprement honteux de pondre un truc pareil. C'est ni plus ni moins qu'un vulgaire film érotique avec quelques scènes complètement barrées, notamment sur la fin mais je n'en dirai pas plus ... À part ça c'est mal joué, mal foutu, les dialogues sont ridicules et pire que tout ce n'est même pas drôle (sauf lorsque les nerfs lâchent). Bref, gênant.
    VOSTTL
    VOSTTL

    66 abonnés 1 782 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 19 mai 2023
    Franchement, je suis resté baba devant un tel film.
    Une chose est sûre, ce n’est pas un porno. Donc inutile de s’emballer.
    Un film érotique bas de gamme ? Assurément.
    Un film d’horreur ? Certainement pas.
    Un gros nanar ? Assurément !
    Un OFNI ? On peut le voir ainsi.
    Suis-je choqué ? Certainement pas !
    Il n’y a rien qui me choque dans l’Art. Je reste ouvert à toute proposition, cependant, j’ai le droit de ne pas aimer, de trouver ça indigent ou navrant voire complètement nul.
    « Sex addict », est-ce un film nul ?
    Aussi étrange que ça, je ne pense pas.

    Pour commencer, je suis épaté par l’investissement des comédiens qui ont donné de leur temps pour tenter de me faire croire à ce scénario soi-disant horrifique. Quand je les voyais jouer, je me demandais s’ils croyaient à ce qu’ils faisaient. Je me moquais complètement du scénario. Je ne regardais que leur jeu et pensais à ce qu’ils pensaient.
    Le réalisateur Henenlotter les dirigeait-ils avec rigueur ou amusement ?
    Avec sincérité, certainement.

    Il faut une certaine audace pour financer un tel film.
    Tout le long du processus de création, écriture, tournage, montage, il faut être animé d’une foi pour croire que « Sex addict » trouvera coûte que coûte sa place dans l’industrie du cinéma et dans le coeur d’un public.
    Frank Henenlotter ne doute de rien et ne craint pas le ridicule. Tout comme ses comédiens.
    Tant mieux pour eux, ils se moquent du regard des gens, ils font ce qu’ils aiment, c’est l’essentiel.
    Il y en a beaucoup qui aimeraient voir leur création sur grand écran.

    J’ose espérer que le réalisateur assume tout, dont le ridicule.
    Pense-t-il vraiment que son film figure au genre « horreur » ?
    Si oui ?
    Je suis déçu pour lui.

    L’horreur est dans le fait que Jennifer a sept clitoris, s’amuse des hommes car son appétit sexuel est incontrôlable ; telle une mante religieuse ou araignée, elle tue ses amants d’un soir puis accouche dans les deux heures qui suivent d’un fétus mal fini.
    Franchement, j’ai accepté toute cette partie, il y avait du potentiel, la violence de Jennifer et son accouchement relevaient bien du genre horreur.
    Jennifer qui s’adresse aux spectateurs était aussi une bonne idée pour nous parler de son anomalie.
    Derrière son discours non dénué d’un certain humour noir décalé, le réalisateur balançait quelques messages sur la religion et aussi étrange que cela puisse paraître sur la condition sexuelle de la femme, de son droit à disposer de son corps comme bon lui semble.
    J’ose dire qu’un discours féministe s’y dissimule au grand dam des chiennes de garde !

    J’aimais bien les photos que Jennifer prenait de ses amants, la séance photos sur ses masques-vagins portés par des mannequins aux seins nus.
    Evidemment, rien ne me faisait peur, mais la violence qui s’en dégageait parvenait à m’interroger.

    L’horreur est dans le fait que Batz (Anthony Sneed) a un énorme kiki qui le possède.
    A partir du moment où son gros bazar s’évade pour visiter des femmes seules, toujours dénudées, le soi-disant genre horreur bascule dans le ridicule. Et le ridicule passe le relais au navrant quand les femmes sont facilement vaincues. Leurs cris, entendez leur jeu, prêtent à sourire pour ne pas dire à rire.
    On se croirait dans un porno où tout est prétexte à la pénétration.
    C’est sans doute assumé, mais ça ne fonctionne pas du tout sur moi.
    Autant, j’acceptais le postulat de départ avec Jennifer, autant avec Batz, je sombrais précipitamment dans l’ennui.
    Tout s’effondrait !
    Maintenant, ça ne partait pas de bien haut !

    Dommage, car il y avait quelque chose à faire avec Jennifer et Batz. Deux êtres qui auraient pu fusionner. Deux êtres qui auraient pu se comprendre compte tenu de leur sexe insolite.
    Jennifer tuait ses amants et enfantait dans les deux heures.
    Tout comme Jennifer, Batz aurait pu massacrer ses amantes d’un soir avec son énorme sexe de façon incontrôlée.
    L’horreur aurait dû être multipliée par deux.
    L’union entre un sexe énorme et un sexe à sept clitoris aurait pu constituer une fin heureuse dans cette quête horrifique.
    La rencontre Jennifer - Batz a été totalement ratée.
    Bref, le scénario est un rendez-vous manqué...
    Steve Le Pogam
    Steve Le Pogam

    1 abonné 45 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 3 janvier 2022
    C'est rafraichissant de voir une telle liberté filmographique car c'est plutôt très rare !
    Et je pense que seuls les amateurs d'OFNIs sont prêts pour ce genre d'œuvre.
    Cronenberg
    Cronenberg

    213 abonnés 1 898 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 9 avril 2021
    C était quand même bien marrant même si c était très malaisant et très dérangeant souvent. Très très excentrique ce délire. Je le déconseille aux moins de 13 ans. 3/5
    Bryan V.
    Bryan V.

    66 abonnés 922 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 21 juillet 2018
    🎬🎥 SEX ADDICT _ [2009] 🎥🎬

    _Avis Bref ;
    Deux jeunes ados à la biologie hors du commun, une jeune femme a l'appétit sexuel dévorant et très reproducteur et un jeune homme au pénis ingérable. La première partie de film présente la demoiselle, le second le jeune avant que les deux se rejoignent. C'est peut-être original et drôle, de plus les personnages ont parfois tendance à briser le quatrième mur ce qui plaît souvent au public, c'est tout de même assez spécial et le film n'en ressort pas forcément bon pour autant. Mine de rien j'ai même cru qu'à un moment le film allé basculer dans le porno -16. Le film fini par même être plus dégueulasse dans son genre et fini par également partir complètement en couille pour le coup, c'est bien plus qu'un jeu de mots. Croyez moi !
    Enfin bref, Même s'il a le don d'être complètement WTF, c'est complètement fou et d'un ridicule ! Même si ce que cherche ce genre de production, mais cette fois celui-ci est à jeter.

    _Synopsis ;
    L'histoire en parallèle de 2 personnes atypiques, une femme disposant de 7 clitoris et un homme au sexe entreprenant, jusqu'au jour de leur rencontre.

    _Bande-annonce ;
    https://youtu.be/OID_czCOn4Q

    _Appréciation ; ⚫ (3,5/10)
    yeuce
    yeuce

    28 abonnés 862 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 23 février 2016
    Alors là on atteins le sommet de la connerie cinématographique, mise à part quelques jolies filles dénudées, c'est le summum de la nullité, même pas marrant malgré le thème ni gore .
    Une bonne grosse daube.
    Yannickcinéphile
    Yannickcinéphile

    2 091 abonnés 4 218 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 22 février 2015
    Après une longue période d’absence, Henenlotter est donc revenu pour nous servir Bad Biology ou Sex Addict. Un métrage somme toute moyen, qui peine à véritablement enthousiasmer malgré un début prometteur.
    Au casting si Charlee Danielson a un physique singulier, et assez bien vu finalement dans le rôle puisqu’elle n’a rien d’une bimbos et c’est un contre-emploi plutôt bien vu, n’est pas une actrice géniale, et d’ailleurs elle n’a pas poursuivi après ce film. Elle peine donc à convaincre, et son jeu, pas assez excentrique, haut en couleur, dans un film de ce genre est relativement pénalisant. Il faut avouer que c’est aussi le cas de son acolyte masculin, que j’ai trouvé plus efficace, mais pas suffisamment délirant pour un tel rôle. Je crois qu’il aurait mieux valu choisir des interprètes plus virulents, quitte à les faire surjouer un peu, mais ce serait mieux passé. Les seconds rôles sont globalement tous très faibles.
    Le scénario peine à franchement convaincre. L’idée de départ est amusante et aurait pu offrir une comédie très caustique, et totalement délirante, mais Henenlotter peine à lui donner du rythme. Il y a des hauts puis des bas, des moments qui tirent en longueur, des gags qui finissent par s’étioler tant ils sont étirés, et certains gags peinent à totalement fonctionner. J’ai le sentiment qu’Henenlotter, pensant son concept suffisamment fou s’est laissé aller sur l’originalité et la construction de ses gags. Si la dimension sérieuse égratigne des sujets polémiques, néanmoins il faut bien reconnaitre que tout ne marche pas là non plus de façon très pertinente. Après c’est vrai que c’est assez rafraichissant de voir un réalisateur qui ne se pose pas de réelles limites même si son film reste plus potache que trash, mais Henenlotter fait parfois un peu n’importe quoi, et sur ce Sex Addict c’est cette impression qui trop souvent emporte le morceau.
    Niveau réalisation Henenlotter se débrouille, offrant un film correct dans sa mise en scène. Il arrive à être suffisamment grivois sans trop en montrer non plus, et son travail reste d’une facture acceptable, même si tout n’est pas parfait. Il y a quelques idées très farfelues qui ne fonctionnent pas toujours bien, notamment car Henenlotter n’avait pas vraiment le budget effets spéciaux qui lui permettait ses audaces. En effet, le film ne disposait probablement pas d’une enveloppe très lourde. Cela se révèle dans des décors assez minimalistes, compensé par une photographie d’assez bonne tenue, et dans des effets visuels qui ne font absolument pas illusion. Je regrette aussi une bande son trop timorée. C’est souvent un problème des films d’Henenlotter, qui oublie cet aspect essentiel.
    Enfin, Sex Addict n’est clairement pas le meilleur film d’Henenlotter. J’ai un peu eu le même ressenti que sur le premier Basket Case et que sur Elmer le remue-méninge. C’est-à-dire un film avec des idées borderline certes, mais qui ne sont pas sous-tendu par une intrigue suffisamment solide, par des personnages assez creusés, ce qui donne l’impression d’une succession de scénettes, parfois redondantes, et à la narration approximative. Comme visuellement ce n’est pas top non plus, surtout qu’à l’inverse des autres films d’Henenlotter celui-ci est plus récent et pouvait promettre un peu mieux quand même, je lui accorde 2. J’aurai pu pousser jusqu’à 2.5 si un effort avait été fait sur la bande son.
    cylon86
    cylon86

    2 261 abonnés 4 430 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 9 février 2015
    C'est l'histoire d'une femme avec sept clitoris et d'un homme dont le pénis a son indépendance et volonté propre. Oui, vous ne rêvez pas, parfois des films se font sur des idées tellement improbables qu'elles en sont presque géniales. Sans jamais se prendre au sérieux, Frank Henenlotter nous livre avec "Bad Biology" un film inclassable qui n'hésite pas à s'emparer d'un sujet tabou pour le débrider avec ce qu'il faut d'insolence, de provocation et d'humour. A condition de ne pas être sensible au trash et au sexe, le film se révèle relativement réjouissant dans son genre, réalisé avec trois bouts de ficelle et des acteurs inconnus. C'est au final le film idéal pour une bonne soirée entre amis autour d'une bière et d'une pizza, à regarder en version française si on veut encore plus savourer ses dialogues aussi improbables qu'hilarants.
    Yetcha
    Yetcha

    747 abonnés 4 292 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 1 octobre 2014
    Pour le moins original, ne pas mettre entre tous les yeux, c'est plutôt sexuel, mais le synopsis et les personnages sont tellement barrés que ça se regarde avec plaisir. Rigolo et vraiment décalé.
    Djo D
    Djo D

    58 abonnés 693 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 9 septembre 2014
    Un premier quart d'heure qui me laissais entrevoir des barres pendant 1h25 mais non, je me suis planté c'est pas drôle, c'est pas décalé, c'est pas intelligent, c'est pas neuneu non plus, c'est un espèce d'ovni niais et chiant au spitch complètement délirant qui n'est pas à la hauteur de cette promesse scénaristique. En fait, c'est simplement stupide !
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 11 septembre 2014
    La première partie est super efficace et instaure une narration étonnante et intéressante. Mais le concept s'essouffle dès l'entrée en scène de Batz. Hennenlotter nous mène ensuite vers une finale grotesque, beaucoup trop décalée pour marcher. Surtout qu'on a la désagréable impression que le cinéaste se prend au sérieux. Décevant.
    Julien D
    Julien D

    1 108 abonnés 3 461 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 17 septembre 2013
    Après plus de quinze ans d’absence, Frank Henenlotter, le prince du cinéma trash américain (le roi étant bien sûr John Waters), fait un come-back inattendu avec une nouvelle série Z ouvertement vulgaire autour du thème des complexes liés aux tabous sexuels. Evidemment, le caractère irréaliste des deux personnages principaux et l’humour outrancier des situations surréalistes font de sa comédie un délire psychédélique dont la qualité artistique assume sa kitcherie risible. Seuls les amateurs de tels films au ton résolument graveleux et peu regardant sur facture technique (celle-ci ne semble pas avoir évolué depuis Elmer, le remue-méninge vingt ans plus tôt) pourront apprécier Bad Biology comme une réflexion décalée et sans complexe sur l’hypocrisie inhérente à la place du sexe dans l’Amérique puritaine. Les autres spectateurs ont tout intérêt à s’abstenir de s’infliger cette gaudriole à l’imagerie comme à l’écriture que l’on pourrait qualifier d’écœurantes.
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top