Derniers Avis : xXx : Reactivated - Page 3

Déjà devenu un vieux de la vieille obligé de recycler ses vieilles franchises pour exister, Vin Diesel oublie un instant la saga Riddick et son gagne-pain actuel Fast and Furious pour reprendre le rôle de Xander Cage dans un nouveau volet de la saga xXx où il reprend son rôle de cascadeur de l'extrême qui s'en va sauver le monde avec le sourire. Le premier volet était tout au plus sympathique, le deuxième avec Ice Cube était hilarant et complètement jouissif, ce troisième volet prouve que ce n'est pas forcément dans les vieux pots que l'on fait les meilleures soupes. Non content de reprendre le rôle principal et produire la bouse, Vin Diesel le mégalo nous ressert ses meilleures punchlines, ses meilleures cascades doublées et ses muscles sous stéroïdes sans toutefois parvenir à effacer les rides prégnantes sur ce beau visage de maintenant 50 ballets. Que le scénario soit débile, on n'en attendait pas moins. Que les séquences d'action soient over the top, c'était déjà la marque de fabrique. Mais désormais confiée à ce tâcheron de DJ Caruso, la réalisation est d'une ringardise effarante, le bonhomme étant incapable de filmer correctement la moindre scène ni de cadrer les cascades de Donnie Yen et Tony Jaa, en roue libre totale, obligé de mouliner comme des Power Rangers pour exister à l'écran. Vin Diesel occupe tout l'espace, devenu non plus une star sur le retour mais bel et bien un gros kéké boursouflé, sosie désormais officiel de Steven Seagal, qui nous ressort sa recette habituelle : « la famille c'est important », « être méchant c'est pas bien » et « arrête ce que tu fais, façon c'est moi le meilleur ». Mal torché, prétentieux et sans aucun fun au final, ce troisième opus ressemble plus à une mauvaise farce qu'à un blockbuster.

Bon après avoir revu toutes la trilogie en Blu-ray 1080p me reste à dire trop de triple X a fait du mal à la trilogie le film est tellement ennuyeux les cascades sont invraisemblable du n'importe quoi le scénario est basique il aurait dû rester sur le premier triple X mais il n'est pas pour autant le meilleur ça reste dans le genre ultra mauvais c'est du bon nanar rien à dire de plus sauf que dans le 3 il faut attendre presque une heure pour une scène d'action tout basique on s'ennuie vraiment

Le retour mitigé de Xander Cage au seins de la franchise. De grosses scènes d'actions, de grosse cascades vertigineuses mais un scenario absent et des dialogues creux. Divertissent par moment. Moyen.

Rien à en tiré : des actions irréalistes, des bastons à la triple x, des répliques tout droit sorties des années 90. Ce qui est sûr c’est que je ne le regarderai pas une deuxième fois

On pourrait trouver ça profondément idiot car xXx Reactivated ne raconte absolument rien. C'est du cinéma d'action pur. Croisement entre James Bond, Mission Impossibles et Expendables. Le but est simple. A chaque fois, il y a un bidule high-tech à récupérer aux mains de terroristes. Ledit bidule étant une arme pour détruire le monde ou une partie du monde en gros. On appelle un super agent pas très secret fan de sports extrêmes pour le récupérer. Et le carnage peut commencer. Si on assiste au retour de Vin Diesel qui n'avait pas voulu être de la partie dans The Next Level, le massif Vin s'est depuis résigné à enchaîner les suites. Celles de Fast and Furious et de Riddick en tête. Absolument jamais mis en difficulté, ça reste toutefois un plaisir de le retrouver dans la peau de Xander Cage, charmeur de ces dames, beau parleur et assurant un max au niveau des scènes d'action. Même la star asiatique Donnie Yen dont les prouesses martiales sont impressionnantes (j'espère que les non-connaisseurs de films d'arts martiaux ont été séduits) est forcé de s'incliner au même titre que les bimbos habituelles Ruby Rose et Nina Dobrev. xXx Reactivated n'a pas d'autre but que de divertir, d'en mettre plein les mirettes (et niveau explosions, courses-poursuites, bastons grâce à Yen et même Tony Jaa, on est servi), de montrer plein de décors paradisiaques avec des jeunes femmes superbes et des méchants très méchants (à ce titre, Toni Collette est impeccable dans son tailleur/talon aiguilles en ordure gouvernementale). Pourquoi s'en priver quand on est fan de ce cinéma-là ? Il en faut pour tous les goûts et se vider la tête de temps en temps n'est pas mauvais pour la santé.

Totalement improbable mais totalement jouissif, Vin Diesel le vrai Xander Cage nous en donne pour notre argent a coups de poursuites, de fusillades, de combat et de répliques cultes ! La scène d'ouverture est absolument myhtique, irréaliste mais on s'en fout, XXX est là pour divertir et rendre ringard tous les agents secrets !!! En clair, un pur divertissement sans scénario ni cohérence mais tellement coooool (et vive Neymar).
Auteur du livre "Guide de Survie du Cinéphile Amateur" (sortie janvier 2019)

Douze ans après le dernier volet, D.J. Caruso relance la marque "xXx" avec un film qui marque le retour de Vin Diesel dans la peau de Xander Cage, lui qui n'avait pas participé au second volet. Si le titre du film est "Return of Xander Cage", ce troisième "xXx" est différent des autres dans lesquels l'Agent était le seul héros du film. Ici, on se retrouve face à plusieurs agents qui font équipe pour mener à bien une mission à savoir sauver le monde, comme toujours. Pour moi, c'est la meilleure idée du film surtout que la petite bande fonctionne très bien avec tous les personnages qui se complètent à merveille. En fait, c'est un concept qui n'est pas nouveau, mais qui est dans l'air du temps et c'est pour cela que ça marche. Dans ce film, il y a de l'humour comme dans les précédents seulement, c'est moins appuyé ce qui fait que l'histoire est légère sans être trop décalée ou absurde. On retrouve toujours les scènes d'action complètement invraisemblables, c'est devenu la marque de fabrique du film, mais c'est aussi pour cela que c'est si divertissant. Ces dernières sont assez variées entre sauts dans les airs et sans parachute, des courses-poursuites en moto sur l'eau ou des fusillades plus classiques, mais efficaces, il y en a pour tous les gouts. Pour moi, c'est le film le plus fun des trois et aussi le meilleur tout simplement. L'histoire est toujours aussi bateau et pas très importante, mais l'ensemble est très distrayant. Après deux films plutôt pas mal, ce troisième "xXx" est un bon divertissement, un film plaisant à suivre qui est bien rythmé et léger en plus d'être porté par un casting quand même très sympathique.

J’aurai au moins compris une chose à la vision de cette séquelle tardive du film de Rob Cohen (la “fausse-suite/vrai spin-off� avec Ice Cube ne méritant décidément pas qu’on s’y attarde), c’est que le ton et le style de ce genre d’actionner bourrin ne vieillissent visiblement pas beaucoup mieux que les comédies ou les films d’épouvante. L’autre possibilité, c’est que ce soit moi qui ne vieillisse pas bien et qui commence à regarder les films pour djeunz comme s’ils sentaient très fort du slip. C’est que j’ai tout de même largement dans les 175% de l’âge que j’avais au temps pas si lointain de l’épisode fondateur : y entendre ‘Feuer frei’ plaqué une scène tonitruante depuis longtemps sortie de ma mémoire constituant alors un motivant comme un autre...alors qu’Ici, je serais bien en peine de déterminer si foncer en skate sur une route de montagne sur du taratata-plim-ploum electroclash est générationnellement cool ou universellement beauf. Mes accès de somnolence irrépressibles dans la seconde moitié du film m’ont poussé à me demander pourquoi j’acceptais aussi facilement de la part de James Bond et Ethan Hunt ce que je refusais à Xander Cage (en gros, le droit de se livrer à des acrobaties qui mettent à mal à la fois la suspension d’incrédulité et les lois de la gravité) ? Et au fond, la solution est simple, puisqu’il ne faut pas avoir fait de longues études pour décrypter que, tout bêtement, xXx Reactivated = Fast&Furious sans les tutures, un truc lourdingue et plouc, alors que la version d’origine l’était plus que certainement déjà en 2002 mais ça ne me frappait alors pas avec la même acuité. Alors que les deux autres franchises d’un âge respectable s’efforcent, soit d’échafauder un background contextuel un minimum crédible, soit d’afficher une distance ironique vis-à-vis des prouesses de leurs héros vieillissants et sont confiées à des réalisateurs qui affichent une idée du cinéma de divertissement un tant soit peu exigeante, xXx affiche toutes les tares de la jeunesse décérébrée, celle dont vous bénissez sans cesse le jour où vous avez compris que vous n’en faisiez plus partie. Bond et Hunt possédaient un minimum de classe et un certain humour ? Xander Cage, lui, est le prototype du gros beauf qui fait mine de vous filer un coup de boule pour vous saluer, a le surnom de son service trois-pièce tatoué sur le biceps et qui, si vous avez le malheur qu’il vous prenne en amitié, vous fait profiter de sa sélection inépuisable de blagues de cul. Pendant près de deux heures, le résultat oscille ainsi entre l’hystérie criarde d’un chaîne de sports extrêmes et la vulgarité du pire des clips de rap des années 2000...sans oublier que le film tapine sans même chercher à donner le change : caster une star chinoise (Donnie Yen), une star thaï (Tony Jaa), une star indienne (Deepika Padukone) et même Neymar, dont on ne comprend toujours pas ce qu’il foutait là, ce n’est clairement pas pour la beauté de la multiculturalité. Quitte à consommer de l’Actionner crétin et auto-satisfait pour vingtenaires adeptes du culturisme et des régimes protéinés, je préfère tout de même quand l’effondrement est total, au point de semer le doute même chez les plus irréductibles amateurs du genre, façon ‘Torque, la route s’enflamme’....!

Le retour de Xander Cage, figure emblématique du premier xxx était très attendu, bien que dans le xxx2 il ne fut pas de la partie car déclaré mort dès le début.
La première moitié du film est intéressante faisant pensée au premier xxx globalement bon, cependant la deuxième moitié part dans tous les sens et est beaucoup trop exagérée ce qui gâche un film bien parti mais qui fini un peu en flop.

Terriblement impossible histoire mais de l'action à la tonne, bagarres et fusillades. Ça donne une balade malade que j'ai vu sur deux jours. C'est un peu trop.

Après un premier opus très divertissant et un deuxième catastrophique, "XXX: Reactivated" coupe la poire en deux pour offrir un produit cinématographique franchement mitigé. Le démarrage est pas mal du tout, s'appuyant sur l'état d'esprit du "XXX" initial spoiler: (intro marrante avec Neymar et le long monologue de Gibbons; grosse scène d'arts martiaux pour présenter la Boite de Pandore; les péripéties d'équilibriste (ski et skate) de Xander pour permettre aux gens du village de voir le foot à la télé!!)
, à savoir humour, action surréaliste et répliques régressives à prendre au 3ème degré, mais la suite tombe le piège de la redite du schéma de "XXX" et se révèle atrocement lente spoiler: (la présentation bâclée de l'équipe, les gadgets pas extraordinaires (ils auraient pu faire mieux que le gant puissant), le passage interminable aux Philippines).
Il faut attendre la mi-parcours pour que l'ensemble décolle, offrant un déluge de séquences dynamiques spoiler: (dans l'avion, à Detroit, à l'entrepôt)
et originales spoiler: (la moto-ski dans la vague impressionnante, le sniper-palmier, le saut kamikaze)
au sein d'un scénario hélas simpliste spoiler: (des chinois, des russes, facilité à localiser la Boite)
qui mélange le bon spoiler: (la survie de Gibbons, la trahison de Jane, la geek Rebecca)
et le mauvais spoiler: (le baiser ridicule, le retour de l'insupportable Ice Cube, Rebecca abandonnée par Jane sans qu'on comprenne pourquoi, des personnages secondaires exploités de manière inégale)
. Pour le reste, D.J. Caruso s'en sort honorablement sur les scènes d'action, le casting s'amuse à tout-va et Toni Collette fait forte impression. Il faut en revanche que Vin Diesel arrête les stéroïdes, ça lui donne une voix vraiment très grave!!! En bilan, "XXX: Reactivated" joue la carte de la nostalgie du premier volet avec une réussite aléatoire, oubliant en route le scénario et les protagonistes au profit de l'humour et du bourrin décérébré.

Ce film il faut le prendre avec légèreté et ne pas se poser de questions, de l action à gogo tout simplement et c est tout ! J ai mieux aimé le premier volet !

C'est tellement gros, gros comme une montagne, que le film fatigue. Les scènes sont tellement grosses que ce n'est vraiment pas possible, merci les effets spéciaux. Après le fait de recréer une équipe c'est du déjà vue, et en plus avec une indienne pour le public indien et un chinois pour le public chinois. Un scénario bancal et prévisible. Les effets spéciaux rendent le scènes trop faciles.

Pour ce troisiéme film sous la banniére xxx, on retrouve Vin Diesel en tête d'affiche. L'histoire n'est pas sensationnel, on doit attendre mieux de ces productions. On retrouve de l'action, des scénes de combats mais on décroche rapidement du fait de la pauvreté du scénario. A noter la présence inutile de Neymar dans la production. Au final, pas grand chose à en tirer... .

Dès les premières minutes de ce long ( et pourtant trop court ) métrage je fus émerveillé par le spectacle. En effet, il n'a pas fallu longtemps à mon cœur de cinéphile pour constater que j'étais devant ce qu'on appelle trop communément un "chef d'oeuvre".
Certains verront dans ce subtil spectacle une sorte de surenchère d'action virevoltante vide de sens. Mais comme vous vous trompez !! Laissez moi vous éclairer et vous expliquer pourquoi le grand Vin Diesel est un génie du cinéma.

Il n'aime pas se mettre en avant, et le film est une preuve constante de l'humilité et de la finesse de l'acteur.
Quand on voit ce dernier surfer dans une foret en ski, frapper des soldats à coups de roues arrière de moto ou faire du skate sur le long d'un bus dans un virage, on ne peut qu'admirer le naturel des cascades et l'amour de l'acteur pour les scènes sans effet spéciaux. Monsieur Diesel aime les rôles de second plan, la retenue et le second degré.

Vin Diesel est au dessus des concepts de "cohérences scénaristiques".
Et on ne peut qu'applaudir ce raisonnement lorsque l'on admire notre héro surfant sur les vagues ( pléonasme je sais ) ... en moto.... ou ce dernier joue à la grenade assis à l'apéro au milieu d'innocents, ou le fait que la "sniper" arrive à tenir son fusil bras tendus suspendu à son arbre...pratique. Et ce n'est pas le recrutement du footballeur Neymar en espion interrompu par le crash d'un satellite qui me contredira.

Vin Diesel à conscience de son image mais n'en abuse jamais.
Il est toujours aussi mince et musclé que dans fast and furious 1, n'a pas pris une ride et nous le prouve vêtu de marcel dans la plupart des plans ( quand on a des muscles, on montre les bras pour la profondeur du personnage, pas pour justifier une évidente virilité et supériorité masculine ).
XXX en est d'ailleurs la preuve dans tout les plans : véritable ode à cet acteur charismatique en toute tenue, comme le montre cette scène ou notre star planétaire est revêtu d'une veste discrète en peau de mouton : sublimant son charisme hors norme.

Vin Diesel est resté dans les années 90.
Certaines critiques y voient de la ringardise, ou un style dépassé. Mais l'acteur, persuadé que l'on n'a jamais fait mieux préfère "capitaliser" sur le concept de héro ultime, rebelle et cool.
Le personnage, comme l'acteur, charme toutes les femmes, n'a pas besoin de compléments d'objet direct dans ses phrases et est considéré ( à juste titre ) par tout les gouvernements comme le tatoué le plus rebelle, dangereux et agent intelligent de la planète. Le film ne s’embête pas avec les explications, car si Vin est cool, il en est forcement plus fort face à des vilains sérieux ( syndrome post John Mac Cain ).

Hors normes, c'est bien ce qui qualifie Vin Diesel. Acteur producteur se mettant en scène dans des productions hors du temps. Pas nanar, ni déjà vus, mais originales et fantasques. L'acteur est au dessus des autres, au dessus de l'industrie du cinéma. Et c'est seulement dans ces personnages parfaits et invincibles que l'acteur nous parle, nous communique son aura christique.
Ce n'est pas que l'acteur ne sait pas écrire de film. Mais il préfère continuer ses sagas Riddick, fast and furious et xxx pour l'amour de ses personnages. Pourquoi en inventer d'autres ?
La perfection a besoin de surenchère, pas de diversité.

Merci à l'acteur de jouer si bien une palette d'émotions grandissante de scènes en scènes.
Merci de produire de tel film aux personnages si profonds, aux scènes d'actions si intenses et originales.
Merci d'incarner si bien l'homme , le héro le mâle alpha de notre siècle.

Dur après ce film de ne pas être pris d'une grande envie de mettre fin à ces jours.
Les amateurs, par un insoutenable complexe d’infériorité.
Les détracteurs par dégoûts de ce grand film incompris.
Mais pardonnes leurs o grand Vinny... Les voix du seigneur sont décidément, impénétrables.