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    Solaris
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    Jipis
    Jipis

    34 abonnés 360 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 juillet 2012
    Allons-y gaiement.

    Lent, Interminable, ennuyeux, épuisant, crispant. Voila le papier peint de cette œuvre hors du commun nécessitant une longue préparation avant l'absorption d'images s'étirant bien au delà d'un seuil de tolérance.

    « Solaris » est un changement de cap. Un traitement révolutionnaire ne dépendant d'aucune contrainte de rentabilité. L'opus tiré du passionnant roman de Stanislaw Lem étend son royaume à l'aide de scènes ne semblant jamais avoir de fin.

    Cette nouvelle et surprenante mise à l'épreuve permet à des sens asservis par des productions standards d'être confrontés à des ingrédients complètement neufs.

    Solaris quantifie à son rythme le douloureux dilemme entre un homme pénalisé par un sensitif trop chargé et une planète à la recherche d'une identité pensante qu'elle puise et reproduit sans forcément la comprendre.

    L'amour principal garniture du Prométhée sert de pierre angulaire entre une entité reconstituée à la recherche d'émotions inconnues et un savant perturbé subordonné émotionnellement à une apparition mise en ligne par une planète enfant angoissée par un externe inconnu déclenchant en interne des comportements désordonnées.

    Une surface uniquement constituée d'eau quête désespérément une personnalité dans d'incessantes remises en questions pendant qu'un scientifique récupéré par une virtualité sombre dans la nostalgie, le désespoir et un renouveau impossible.

    Le contenu dépourvu de scènes chocs laisse la primeur à des visages d'exprimer toute la détresse d'un parcours raté que l'on ne peut recommencer.

    Solaris planète désespérée montre les mêmes symptômes que l'être humain, un besoin impératif de savoir ce que l'on est avant de savoir ce qui est dans des apparats tristes et mélancoliques.

    Un chef-d'oeuvre irritant mais novateur.
    kibruk
    kibruk

    116 abonnés 2 421 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 juin 2012
    Le "Solaris" de 1972 de Tarkovski est une adaptation semble-t-il plus fidèle du livre de Stanislas Lem que ne l’est le remake de Soderbergh. L’aspect science-fiction y est beaucoup plus développé : Solaris – planète mais aussi conscience extraterrestre avec laquelle les humains cherchent à communiquer – est ici au premier plan, alors que dans le film de Soderbergh elle ne sert que de prétexte à l’exploration de sentiments humains tels que l’amour, le deuil et la culpabilité. Même si visuellement le film accuse son âge mais surtout la pauvreté des moyens mis en œuvre (rien à voir avec la splendeur toujours d’actualité de "2001 l’odyssée de l’espace" pourtant un peu plus vieux), il s’en dégage une atmosphère trouble très intéressante. Cette version de "Solaris" est beaucoup plus mystérieuse et pesante que celle de Soderbergh, jusque dans un final bien moins optimiste. Il ne faut pas non plus oublier que c’est du Tarkovski, donc que c’est très très lent, et que certaines scènes sont proches du cinéma expérimental (comme celle des voitures sur le périphérique), ce qui en réduit quelque peu l’attractivité.
    Arthur Debussy
    Arthur Debussy

    134 abonnés 678 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 23 avril 2017
    Se contenter de comparer «Solaris» à «2001 : L'Odyssée de l'Espace» serait bien réducteur, d'autant plus que le premier excède largement le second quant à sa subtilité, sa poésie ou sa profondeur. Le problème (si c'en est vraiment un), c'est que contrairement à Kubrick, Tarkovski ne s'est pas attaché à la perfection des effets spéciaux, il sera donc déroutant pour le spectateur actuel de se plonger dans «Solaris», surtout s'il s'attend à un long métrage spectaculaire qui lui en mette plein la vue. «Solaris» est avant tout un film introspectif, qui comme toute l'oeuvre de Tarkovski nous invite à la réflexion tout autant qu'à l'abandon des sens. Il serait en effet malvenu de ne considérer Tarkovski que sous le prisme de l'intellectualisation de l'art, c'est même avant tout un cinéaste de la sensation et de l'émotion. Comme d'habitude, Tarkovski se sert de la science-fiction et d'un scénario émouvant (quelle belle histoire d'amour!) pour évoquer l'homme, la vie, le rêve, le divin, la mort, bref les grandes thématiques artistiques et philosophiques qui de tous temps ont bercées l'humanité et l'imaginaire collectif. Oui, rien que ça. Même s'il ne paye parfois pas de mine avec ses allures de série B fauchée, «Solaris» regorge de passages magnifiques, de plans sublimes, de dialogues intelligents et d'images inoubliables. Tarkovski a porté le 7e art au plus haut, et «Solaris» est comme chacun de ses longs métrages un chef-d'oeuvre absolu d'une richesse intarissable et d'une beauté envoutante. Quand Kubrick nous propose une oeuvre certes recherchée, mais finie, avant tout esthétique, à l'étroit dans ses contradictions et sa relative vacuité, Tarkovski nous propose un poème cinématographique d'une profondeur abyssale et d'une humanité bouleversante. Le film de Tarkovski est donc d'autant plus remarquable, surtout quand on connaît les difficultés extrêmes de travail dans lequel il était vis à vis de l'URSS, profondément hostile à son art. Incontournable. [4/4] http://artetpoiesis.blogspot.fr/
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 2 mai 2012
    C'est TARKOVSY ! c'est un rythme très lent avec toujours de belles images... c'est pas toujours facile à comprendre (d'ou mon 4 étoiles et pas 5), et il y a toujours une spiritualité dans ses films.
    C'est quand meme un classique a voir...
    Akamaru
    Akamaru

    2 874 abonnés 4 339 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 12 mars 2012
    Oeuvre pour cinéphile averti,le "Solaris"(1972)de Andreï Tarkovski,est un peu le pendant soviétique du "2001,l'odyssée de l'espace" de Kubrick.C'est un film de SF philosophique,qui mise tout sur son atmosphère envoûtante,poétique et métaphorique pour accéder à une réflexion sur la place de l'Homme,entre les méandres de son imagination et la pesante réalité.Dodnatan Daninonis qui incarne psychologue d'âge mûr,envoyé sur une station spatiale en orbite autour de la planète Solaris,parvient à transmettre toute la douleur de la perte,et la mélancolie d'un passé revécu.les plans sont très longs,harmonieux,cohérents,de telle sorte que l'ambiance,froide et silencieuse,est unique.Il y a de quoi être saisi par le mystère autour d'une planète recouverte d'un océan,qui semble être un immense cerveau vivant,et pourvoyeur d'hallucinations bien réelles.Très peu d'effets,et il n'y en a pas besoin.Tarkovski était un visionnaire,à la réflexion probablement trop mature.Il se faisait une haute idée pour moyen de transmission,de réflexion et non de divertissement.Ce qui est aussi remarquable que plombant,car le film ne concède rien à la facilité,est très long(160 minutes)et au contenu quasiment impossible à perçer.Une note très subjective.
    bidulle3
    bidulle3

    52 abonnés 335 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 20 février 2012
    Cité comme étant la réponse russe à 2001, l'odyssée de l'espace, comme étant la vision russe du film de Stanley Kubrick, il est inutile d'essayé de faire quelque peu le rapprochement entre ces deux oeuvres. Solaris, est la propre vision de son cinéaste, film sur l'Humanité, sur ces question, sur son utilité, ses buts, sa raison d'être ...
    Andreï Tarkovski réalise plus qu'un film, c'est une réflexion profonde et touchante sur l'Homme, mis en scène de très belle manière, soutenu part des images, couleurs, plan, absolument somptueux. Si part moment le film connaît quelque moment moins dense, les points culminant en revanche sont sublime, rendu inoubliable avec la musique de Jean Sébastien Bach offrant aux souvenirs et aux dessins un moment d'éternité.
    Véritable fable, Andreï Tarkovski nous plonge dans un huis-clos à la fois froid et fascinant, aux limite de l'angoisse de temps en temps. Mais le plus surprenant dans Solaris, c'est peut-être bien l'histoire d'amour entre Dodnatan Danionis et Natalia Bondartchouk, un amour aux confins du réel allant jusqu'au abord de l'acceptation des différence.
    Solaris, fascinant de bout en bout, repoussant les limite de la science fiction, nous obsédant par son océan marquant de son empreinte le film du genre.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 14 août 2013
    Nous parlons bien ici du film Andrej Tarkowski et non du remake raté de Soderberg.
    Une pure merveille. Certes l'entrée est un peu difficile mais pour peu que vous vous laissiez aller à la magie picturale du début et que vous sachiez être patient vous partirez en voyage vers une très lointaine planète.
    Solaris est un film envoûtant qui vous emportera vers une vraie rencontre du 3eme type.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 6 janvier 2012
    on ne peut pas mettre zéro ? zut :-/ bon ben ... comment dire ... s'il y a bien une chose que je n'aime pas, c'est de ne pas regarder un film jusqu'au bout (même un truc comme "l'amour avec des gants"), mais là force est de reconnaitre qu'au bout de 20 minutes .... ben .... ça a fait pfiou, la tv s'est éteinte et je suis parti faire quelque chose de plus valorisant, la vaisselle, un peu de rangement ...
    Du coup écrire une critique sur ce film me semble difficile ... enfin, une critique positive.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 31 décembre 2011
    Pour son troisième film, Andrei Tarkovski passe à la science-fiction avec ce "Solaris", adapté du roman éponyme de Stanislas Lem. Il est remarquable de voir comment Tarkovski s'approprie l'histoire originale afin de retranscrire sa propre vision.
    Kris Kelvin, un psychologue, est envoyé sur une station d'observation orbitant autour de la planète Solaris, afin d'étudier le comportement mental des scientifiques présents.
    Amour, tel est le mot qui guide le film dans son ensemble. Cependant, Solaris démarre de manière assez "dur d'accès". La première partie est en effet extrêmement lente et pour ne raconter pas grand chose, si ce n'est la dépression mentale auquel est soumis Kelvin sur Terre. S'ensuit son arrivée sur la station et sa rencontre avec son ex-femme, morte quelque années auparavant, miroir de l'océan occupant Solaris par rapport aux sentiments de Kelvin.
    A partir de là, le film prend tout son sens et plonge le spectateur dans une grande réflexion à propos de la vie, la mort, l'amour...
    Tarkovski oblige, les dialogues sont d'une grande intelligence et les rapports qu'éprouve Kelvin auprès de la "résurrection" de sa femme sont est très bien développée. Le film, tel les vagues de l'océan occupant la planète, découle lentement au rythme d'une symphonie puis devient matière à brutalité.
    Avec comme grand thème: la condition humaine face aux regrets, à la mort.
    Malgré une première partie moyenne, la seconde rattrape l'ensemble, Tarkovski offrant à la fois au cinéma et aux spectateurs une des plus belles histoires d'amour et de réflexion.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 16 novembre 2011
    Tarkovski est un géant, le roman de Lemm un chef d'oeuvre de la SF, le film se devait d'être à la hauteur. C'est heureusement le cas ! Même ceux qui le prendront pour un ovni, et il n'auront pas entièrement tord, tant le scénar est volontairement déroutant, apprécieront l'esthétique du film tout comme son climat. Se reposant sur les libertés rattachées au contexte (S.F), mais aussi sur les idées soujacentes du roman d'oirigine, Tarkovski affirme, une nouvelle fois, sa vision panthéiste du monde et celle de nos rapports avec l'autre en guise de graal de la connaissance. J'ai adoré.
    cylon86
    cylon86

    2 315 abonnés 4 430 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 septembre 2011
    Que dire de ce film de science-fiction reconnu et acclamé si ce n'est que son visionnage est une expérience unique et troublante ? Le rythme est lent mais la mise en scène impeccable et l'ensemble fascine que ce soit les décors froids ou la quête du personnage principal au cœur de cette étrange station spatiale. Hypnotisant et envoûtant, "Solaris" bénéficie en plus d'un superbe jeu d'acteurs et donne au spectateur l'occasion de réfléchir. Le genre de film qui reste gravé longtemps après sa vision.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 28 juillet 2011
    Joli film, mais le livre serait plus judicieux. A réserver aux paresseux de la lecture. Terrible de constater que l’imprégnation d’une pensée commune (politique), déteint de façon subliminale sur le cinéma Russe. Ce cinéma, au travers de son réalisateur, associe alors l’Homme (en général) à sa pensée commune (Aïe), dans un message à l’intention du monde entier, naturellement, par le biais de la plus jolie et universelle enveloppe : soit l’Amour. Il y a là quelque chose de suspect ou trouble. On ne parvient jamais à dissocier l’esprit Russe, d’une pensée mise en commun. Eux non plus manifestement n’arrivent pas à s’en détacher et parlent au nom de tous, et mettent leur problème, en commun. SOLARIS. Décidément, aucune de ces versions ne parvient à me séduire. Je préfère éviter de parler de la version de 83 qui m'a légèrement trop agressé visuellement. Cette version là (72) est à l’opposé, mystico-reposante, léchée visuellement, mais dotée d'une solide ambiance froide (Russkof?) et les 2H45 n'arrange rien à cette éternelle question : qu'est-ce que la vie?, le bonheur?...blablabla..Certes, cela flatte l'imagination. Quoique. Il manque cruellement d'imagination ce film, puisque tout est montré, visualisé, décortiqué, analysé, démontré. On en vient presque à regretter des scènes de nu, réelles, revigorantes, humaines, de l'émotion. Au lieu de cela, le personnage traîne sa carcasse peu avenante en transpirant longuement, se plaignant, remontant en permanence en sa petite enfance, ses parents, etc.. Oh, bien sûr, il y a une philosophie (devrais-je dire une morale) en guise de conclusion à la fin ce film beau (et interminable), mais cela n'efface pas les très longues séances de canapé chez le psy concernant l'être humain (en général), sa quête de l'amour, à quelque distance de la terre. L'AMOUR, vu par les RUSSES, à des milliards de kms de la terre. Ils vont le chercher un peu loin et passent le plus clair de leur temps à le zigouiller. Vu l'ambiance glacée du film, cela manque sérieusement de vodka, qui irait pourtant assez bien avec le glacé, et les dérideraient un peu. Ces chérubins russes frisent tout simplement la déprime et l'amour en est réduit à des fantômes, des hologrammes très collants puisqu'on les jette par la fenêtre et reviennent par la porte. En résumé : si tu es un fantôme (créé par un souvenir de scientifique russe qui s’ennuie mortellement) et que tu regrettes amèrement cette condition (on te comprend), regarde ce film pour trouver le moyen absolu de disparaître et te suicider. On va ainsi t’énumérer mollement tous les moyens pour disparaître. Le plus sûr (pour nous) étant ‘Rewind’ et ‘Stop’. Radical. Pas rancunier : 5 étoiles pour le travail impressionant, mais ce n'est pas un encouragement à vous suicider à votre tour.
    stillpop
    stillpop

    77 abonnés 1 444 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 17 juillet 2011
    Comme tout cinéphile amateur qui se respecte mal, j'ai commencé par la version Cameron, la critique est sur ce site, et j'avais été très déçu. Mais, une charmante rencontre slave m'enjoignant à découvrir le côté russe de l'Europe, j'ai franchi les portes de la salle du MK2 Parnasse pour affronter LE Solaris, le seul et l'unique, celui de Tarkovski !
    Il faut tout de suite préciser que trois personnes sont parties en cours de route, on parle bien de cinéma d'auteur cette fois ci.
    C'est en fait le sujet qui est difficile à transposer au cinéma, avec ou sans effets spéciaux. La version russe passe en force sur le réalisme (la scène où les hallucinations du pilote sont re-transcrites avec des nuages est magistrale, et passerait très mal aujourd'hui !) quand le budget ne suit pas.
    Et nombres de passages sont justement indigestes à cause de ces bavardages incessants qui évitent l'action.
    Mais il est évident que ce n'est pas le sujet du film, et contrairement à la version Cameron assez superficielle et rapide, on a ici droit aux questionnements pendant une heure sur la perception humaine de la conscience de sa condition, face à un ennemi qui se sert de ses faiblesses les plus nobles, dont l'amour.
    Il vaut donc la peine de s'accrocher pour profiter des conclusions de la dernière heure, sans parler de la présence superbe et du jeu idoine de l'actrice russe "virtuelle".
    Un film de science fiction à mille lieux d'un "Planète interdite" pour l'action ou le réalisme, mais très intéressant pour le débat philosophique se déroulant dans une atmosphère de déliquescence qui a du en son temps étrangement contraster avec la croyance en un meilleur avenir, aussi bien esquissé par le rêve américain que
    par l'utopie soviétique.
    Desman
    Desman

    4 abonnés 301 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 14 mai 2011
    Le chef d'oeuvre d'Andreï Tarkovski. Et pour une fois le film est meilleur que le livre dont il est tiré...
    Trelkovsky
    Trelkovsky

    59 abonnés 264 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 novembre 2011
    De tous les films de Tarkovski, "Solaris" en est peut être le moins sensitif, le moins majestueux, le plus glacial : le cinéaste dépeint les tourments de l'âme et l'incapacité d'oublier avec une austérité peut être jamais atteinte dans son œuvre. Une fois de plus, l'intelligible s'oppose au sensible, la raison aux impressions : mais le point de vue de Tarkovski se fait ici particulièrement pessimiste en ce que la confrontation à la réalité est particulièrement rude, condamnant l'Homme (le scientifique submergé par le spectre de sa défunte épouse) a subir indéfiniment ses douloureux souvenirs. La beauté intrigante de la mise en scène impressionne par ce qu'elle renferme en densité psychique, faisant cohabiter de façon troublante le réel désincarné et un univers rempli de fantasmes, glissant vers un peu vers un onirisme toujours plus froid et désespéré ...
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