Avis : Terminator Genisys - Page 8

I'll be back. il est effectivement revenu. Si on avait le sentiment de perdre progressivement de l'essence de la saga sur les 2 précédents opus, la situation est bien retablie dans genesys. Bien que comportant quelques incohérences dans le scénario, on n'en est pas pour le moins pris dans l'action. Les puristes sauront apprécier et retrouveront la nostalgie des premiers opus avec un gouvernator apparaissant jeune et affûté comme à ces heures de gloire.

Schwarzenegger au top enfin le Grand retour!! spoiler:
Effets spéciaux très propre histoire un peu tirée par les cheveux mais qui se tien bien bref un très bon film quand même!! spoiler:

C'était prévisible mais jamais ce Terminator Genisys ne se hisse au niveau des deux opus de Cameron, sortis en 1984 et 1991, qui resteront la référence quoi qu'il arrive jusqu'à ce qu'il reprenne lui-même le flambeau. On peut toujours rêver. Bon déjà, ça fait plaisir de retrouver Schwarzenegger dans un de ses rôles fétiches quand même avec Conan. Douze ans après Terminator 3. J'ai trouvé le temps long. Il amène un humour, une auto-dérision auxquels je ne m'attendais pas. On est dans Terminator pas Expendables mais soit. En revanche, le surnommer "papy", c'est pousser le bouchon un peu trop loin. Mais ce côté fan-service est surtout présent dans la première heure où certains plans sont reproduits à l'identique à tel point que je me suis demandé si le réal n'avait pas repris les plans d'origine. Pour en revenir à Schwarzy, c'est le seul acteur des Terminator d'origine. Même si c'était impossible, j'aurais aimé revoir les Linda Hamilton, Edward Furlong et Michael Biehn. Le charisme de ce dernier, suffit de revoir Terminator 1 je n'invente rien, fait contraste à celui de moule de Jay Courtney. Du coup, je trouve qu'avoir des acteurs différents aux physiques n'ayant rien à voir tue l'immersion. Je veux dire : dans le 1 et le 2, je faisais corps avec Sarah. J'avais l'impression de courir avec elle. De me battre avec elle. Elle était fragile, c'était une serveuse de bar qui galérait à payer ses loyers. Je n'ai pas eu ce sentiment-là avec Genisys ni ce sentiment d'oppression voire de terreur. Repassez vous les scènes de la discothèque ou du commissariat dans le premier Terminator. Ou de la salle de jeu et de l'hôpital dans le 2. On perd également la réflexion sur les relations homme-machine présente dans le 2 pour un récit rendu inutilement compliqué par les multiples voyages de Sarah et Kyle à travers les époques. Pour le reste, on a ce qu'on vient chercher quand on assiste à un blockbuster à 180 millions de dollars. Des explosions pyrotechniques impressionnantes, des cascades, des bastons. C'est une série B honnêtement mis en boîte par un bon faiseur, issu de la télé, sans génie. Est-ce qu'on attendrait pas un peu plus que ça de Terminator ? Moi si.

Arnold Schwarzenegger est le seul qui retient notre attention dans ce blockbuster sans âme aux effets spéciaux douteux (la version rajeunie de Schwarzy est ignoble). On prend plaisir à retrouver l’acteur de 67 ans dans la peau du Terminator, un T-800 toujours aussi solide et caustique, et il partage une alchimie très sympathique avec Emilia Clarke. Malheureusement, ça s’arrête là. Arnie assure mais l’actrice britannique, sans être mauvaise, n’arrive même pas à l’orteil de Linda Hamilton dont la Sarah Connor est bien trop mythique pour être égalée. Quid de Jai Courtney dans la peau de Kyle Reese ? Il est aussi mou que...

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Malgré les bandes annonces et les interviews qui révélaient pas mal l'histoire (notamment le méchant !!!), j'ai apprécié ce nouvel opus, qu'il faut bien suivre car les époques et les personnages se télescopent...

Un savant mélange des 2 premiers opus avec de l'action, de l'humour, des cascades spectaculaires. Tous les ingrédients pour passer un bon moments et ne pas trop réfléchir. Les acteurs sont bons, la mise en scène et la réalisation efficaces. Un manque de surprise toutefois, la franchise devant à mon sens s'arrêter là. A voir sans tarder néanmoins pour les fans

Clairement pas de quoi casser trois pattes à un canard... Toujours cet américanisme hollywoodien étouffant. Passez votre chemin !

D'un côté, deux opus tout droit sortis de l'imagination de James Cameron qui révolutionnèrent le monde de la SF. De l'autre, deux suites relativement correctes qui tentèrent de renouer avec le succès d'antan. Au centre, un fossé vieux de vingt ans dont l'utilité reste de souder les événements de la première heure aux nouveaux, plus abordables pour la plupart. Genisys, cinquième du nom, intervient alors pour remettre les choses au clair, dépoussiérant une franchise en perte de vitesse malgré ses sources en béton. Et, force est de constater que clins d'oeil et autres références pullulent par-ci par-là, hommage aux inspirations Cameroniennes. La mythologie est respectée, preuve en est avec sa fidélité parfois trop présente, ce qui garantit au métrage une certaine solidité. Pas mal d'innovation également présente dans le script remettent les choses en place, en prenant quelques libertés artistiques bienvenues, le tout comblé par des dialogues au ton positif. Bien que brouillon par moment, jouant la carte de la complexité (on se demande encore comment les scénaristes ont su s'en sortir), le trio Clarke / Courtney / Schwarzy fonctionne bien et permet de passer un très bon moment. C'est là qu'entre en jeu l'élément perturbateur : John Connor. A nouveau interprété par un acteur différent, ce qui devient une habitude, la trame le concernant est ambitieuse, certes, mais ne relève pas de la bonne idée. On aurait souhaité davantage de complicité entre John et sa mère (de même qu'entre Sarah et Kyle) plutôt qu'un affrontement déjà spoilé par les bandes-annonces elles-mêmes. Et, à l'exception de quelques plans ridicules (à l'image du bus scolaire), d'un clip post-générique trop capitaliste, d'un humour (un peu) trop présent et d'une bande-sonore de fin qui nous achève, le spectacle est au rendez-vous. Peu de bavure, ce qui reste exceptionnel pour une production hollywoodienne d'un tel calibre, les bases sont posées pour une nouvelle trilogie... En espérant être un peu moins déçu pour le prochain.

C'était avec d'immenses préjugés, ainsi qu'une opinion très mitigée des deux précédents épisodes (sans pour autant être vraiment mauvaise) que je me lançais dans cet opus sensé, me semble-t-il, être le début d'une nouvelle trilogie.

Pourtant, dès les premières minutes avec l'immersion réussie dans le monde post-apocalyptique puis le retour en 1984, j'ai retrouvé cet univers qui a su tant me fasciner via les deux premiers épisodes. Schwarzy, skynet, Kyle Reese ou encore Sarah Connor, tout est bien là et finalement je n'ai pas vu le temps passer et Alan Taylor a su me plonger dans son film en m'y intéressant. L'intrigue en elle-même ne prend pas vraiment compte des deux derniers opus et dans l'ensemble se suit sans forcément avoir besoin d'avoir en tête ceux de Cameron. On se rapproche plus du second opus où ils vont tenter de préserver l'humanité avant le fameux jugement dernier et Alan Taylor se simplifie la vie en jouant avec les voyages temporels, lui permettant de justifier de nombreuses choses.

Alors, tout n'est pas non plus exempt de tout reproche, à commencer par une certaine exagération propre à de nombreux blockbusters récents et l'idée de toujours vouloir en faire plus et ce à tous les niveaux mais qu'importe finalement, et malgré tous les défauts qu'on pourrait (?) lui trouver, je retiens surtout l'essentiel et ce qui m'a plu. C'est d'abord via les personnages que Genisys est une réussite, un Schwarzy e**n grande forme, jouant pas mal sur l'humour sans trop en faire et finalement plutôt attachant, tout comme une Sarah Connor toujours aussi guerrière et interprétée brillamment par la belle et lumineuse **Emilia Clarke et dont l'alchimie avec Jai Courtney est impeccable. Alors, côté méchant c'est un peu plus décevant, que ce soit cette reprise du second opus avec le T-1000 ou une autre plutôt surprenante (sauf si on a vu les bandes-annonces).

Sinon, le taf est fait efficacement derrière la caméra, c'est bien rythmé et plutôt bien réalisé, la tension est là lorsqu'il le faut, bien qu'on ne soit pas à la hauteur de l'immense réussite des deux opus de James Cameron de ce côté-là. Les effets spéciaux sont logiquement de qualités tandis qu'Alan Taylor passe bien d'un personnage à un autre et arrive à donner de l'importance à tous. Certaines scènes sont vraiment bien foutues et dans l'ensemble, cet opus ne manque pas d'idées (bien qu'elles ne soient pas toutes (bien) exploitées), à l'image de la vision d'un Schwarzy à travers le temps. Et sinon c'est bien fun, pas compliqué/complexe pour un sou malgré une bande-annonce qui tendait vers le contraire et sait aller à l'essentiel.

Bref, aussi surprenant que cela puisse paraître, j'ai vu en Genisys un nouveau souffle pour cette saga et, emmené par un irrésistible Schwarzy et une craquante Emilia Clarke, on retrouve tout un univers fascinant et plutôt bien exploité, malgré un ensemble pas exempt de tout reproche (et ça m'a bien donné envie de me replonger dans les premiers opus de la saga).

Ce film a très bien été réfléchi et adapté de manière agile avec un Arnold qui nous fait un peu oublier le naufrage de Terminator 3...
Cependant je le trouve tout de même en dessous des 2 premiers de la saga.
Un bon film en tout cas, trop dans le spectaculaire malgré tout

Ce film est une véritable daube. Le scénario est totalement incompréhensible et il n'y a quasiment pas de liens avec les autres opus de la série. Le réalisateur n'a pas réussi à le doter d'une âme, et on s'ennuie ferme pendant le visionnage. Et pourtant la présence au casting de notre bon vieux Schwarzy n'y change rien, celle de Jason Clarke - que j'apprécie beaucoup personnellement - non plus. Assurément le pire Terminator de la saga.

A force de vouloir toujours aller plus loin (franchise commerciale oblige je suppose), cet énième opus propose un scénario quelque peu alambiqué, voir carrément tiré par les cheveux, qui perd le spectateur en cours de route et qui surtout n'apporte pas toutes réponses espérées par les fans de la franchise. Cela dit, l'action "Terminator" demeure au rendez-vous, mais c'est quand même un peu trop peu... Dommage, on espérait mieux.

La saga Terminator est bel et bien la preuve que certaines franchises n'ont pas besoin d'être dépoussiérées. Après avoir tenté une trilogie en 2009 avec le pourtant bienvenu Terminator Renaissance, c'est au tour de l'inévitable reboot-qui-n'en-est-pas-vraiment-un de se ramasser la tronche. Lui aussi prévu pour être le premier volet d'une nouvelle trilogie, Terminator Genisys ne restera qu'un produit bancal, original sur le papier mais finalement raté à l'écran. Le postulat de départ est pourtant osé : comme les précédents films, Kyle Reese est envoyé dans le passé pour sauver Sarah Connor des griffes du Terminator envoyé lui aussi du futur pour la dégommer. Sauf qu'en arrivant en 1984, notre héros découvre qu'il a atterrit dans une dimension parallèle où Sarah Connor est alliée avec le Terminator et qu'ils attendaient depuis longtemps l'arrivée de Kyle Reese. Une nouvelle menace avance blablabla vous connaissez la suite. Sacrément bien spoilé durant sa phase de promotion, tout le scénario n'a d'une part plus d'effet de surprise et d'autre part ne propose rien de vraiment enrichissant à la saga. Certes, le début du film reprenant des séquences au plan près du film de 1984 est surprenant et même parfois très réussi en dépit de certains CGI foirés, mais la suite est d'une lenteur affairante, le réalisateur Alan Taylor n'arrivant décidément pas à rythmer un long-métrage correctement, preuve en est avec le déjà mou du genou Thor : Le Monde des Ténèbres. Ajoutez à cela un casting horripilant, entre une Emilia Clarke pas très convaincante, un Jai Courtney toujours aussi bœuf et un Schwarzenegger bien trop vieux pour encaisser le rôle, des séquences d'action aux airs de déjà vu et un climax qui n'en finit pas, ce cinquième opus s'oublie aussitôt s'être vu.

Attendu auprès des fans comme auprès du reste du public, la franchise Terminator fait enfin son grand retour avec ce nouvel opus intitulé Genisys, qui déjà bien avant sa sortie, laissait présager d'importants changements, l'émergence d'une nouvelle ère dans la grande saga de science-fiction, âgée de maintenant plus de trente ans. En effet, outre la sortie de ce cinquième film, la Paramount avait déjà annoncé qu'il s'agissait du premier opus d'une nouvelle trilogie, cette dernière prenant fin aux alentours de 2018. La saga se reprend sérieusement en main et vient même se coller à ses autres concurrentes directes, telles les X-Men ou encore l'univers cinématographique Marvel (Iron-Man, Thor et autres Avengers...). Un remaniement qui peut laisser songeur quant au fait que la saga initiée par James Cameron perd un peu de son identité si certifiée, d'autant que c'est Alan Taylor qui reprend les rennes à la réalisation, ce dernier ne s'étant que peu illustré avec la seconde adaptation du super-héros Thor.

De premier abord, ce nouvel opus n'élargit pas vraiment l'univers de la saga et se contente plutôt de modifier certains événements survenus au cours des quatre précédents films. Kyle Reese est envoyé dans le passé par John Connor pour protéger Sarah Connor et ainsi préserver l'avenir de l'humanité. Des événements inattendus provoquent une fracture temporelle et Kyle se retrouve dans une nouvelle version du passé, au cours de laquelle Sarah est sous la protection d'un T-800.

Le synopsis semble d'ores et déjà se rapprocher du diptyque de Cameron. En effet, dans ces circonstances, le spectateur revit de manière inédite certaines séquences cultes du premier film dans leur quasi-exactitude. Un retour aux sources qui s'avère efficace et osé, permettant surtout une importante ré-immersion dans l'univers de la saga, la suite s'annonçant bien plus complexe. Il faut se rendre à l'évidence que la linéarité et une logique de transition qui régnaient dans les précédents films ne semblent pas être ici l'objectif. Bien au contraire, Terminator : Genisys livre une narration éclatée, répartie sur plusieurs époques, rappelant sans nul doute Retour vers le futur ou encore le dernier X-Men. Un genre en vogue ces temps-ci, laissant une liberté créative considérable, mais qui manque cruellement d'originalité pour qui connaît un minimum les valeurs fondamentales de la saga. Braver les limites de l'inconnu en modifiant le temps n'est guère signe de génie, mais reflète davantage de la facilité. D'autre part, ce nouvel opus mise grandement sur un second degré dans l'ensemble rafraîchissant, qui n'est pas sans rappeler Le Soulèvement des machines mais qui attendrit le tout, en oubliant que Terminator est avant tout une SF mature et dépressive... Le voyage dans le temps faisant l'essence même de toute la saga, attention ici à la surdose.

D'un autre regard, Alan Taylor a bien retenu l'aspect iconique du principal protagoniste et utilise à merveille ce cher Schwarzy, plus vieux et rouillé en T-800, conservant ainsi ses mimiques symboliques et ses séquences de haute voltige. En effet, le réalisateur fait preuve d'une impeccable fluidité entre scènes d'actions spectaculaires et rebondissements scénaristiques, supprimant ainsi tout signe d'ennui ou de lassitude chez le spectateur. Le spectacle est sans conteste au rendez-vous ! Reste quelques fautes de goût difficilement acceptables ("Papy", non merci !), parfois accentué par un jeu d'acteur dans l'ensemble assez convenu, orné de clichés pesants, en plus d'une composition musicale fort douteuse. Car si Taylor a su conserver l'image du T-800, il a véritablement peiné à utiliser correctement l'ensemble du casting, laissant cabotiner principalement Jai Courtney et Jason Clarke. Quant à Emilia Clarke, cette dernière s'en sort convenablement et, même si elle n'a pas l'étoffe de Sarah Connor, livre une prestation honnête par rapport à ce que laissait présager la bande-annonce.

Terminator : Genisys est donc le fruit d'un nouveau pas qu'a franchi la saga. Davantage orienté vers le divertissement, parfois même formaté, ce nouvel opus s'éloigne en partie de ses prédécesseurs, sans en avoir rejeté pour autant certaines valeurs irréductibles. Alan Taylor fait preuve d'attentions louables et remplit le contrat. Il livre un spectacle astucieusement dosé et prouve avec ferveur sa passion pour le travail de James Cameron, à tel point qu'il n'hésite pas à lui rendre hommage sur la première partie du film, même si la seconde manque légèrement d'ardeur au profit du "familièrement voulu". Entre retour aux sources et renouveau, Terminator : Genisys patine, se perd un peu, mais reste robuste.

Au bout d’un moment on ne peut pas tout accepter…Hollywood ne peut pas tout se permettre.

On a eu 2 suites de saga avec Jurassic World et Terminator Genysis cet été. Jurassic World ne proposait pas le script du siècle, ni même les effets spéciaux, mais il s’inscrivait et se fondait dans l’héritage de jurassic park. Et, à défaut de proposer quelque chose de révolutionnaire, le film offre aux fans un divertissement acceptable, un fond musical très touchant et un hommage mélancolique à des moments de notre enfance. Au-delà de ça, le film accepte ses défauts et surtout respecte ses propres règles !

Nous eûmes Terminator, puis T2 qui furent de grands films, puis Terminator 3 qui n'offrait pas beaucoup plus, et pourtant l'action était au rendez-vous et la conclusion était tout simplement surprenante ! Le 4 proposait l'introduction au monde post-apocalyptique, et la dessus, ils ont visé juste, ils ont su rester fidèle à l'histoire tout en proposant des innovation. Christian Bale en Connor c'était le bon choix. Je voyais Terminator 5 allez dans la continuité de cet univers. On n'avait pas un chef d'oeuvre, mais une histoire cohérente !

Et là arriva Terminator Genisys...alors premièrement je suis très très surpris...ou désespéré...de voir que beaucoup de gens ont aimé ce film...que ce soit aux Etats-Unis ou le retour de Schwarzy a fait sensation, soit, ou en France ou beaucoup ont adoré...moi en tant que grand fan de la saga, je n'ai jamais été autant meurtri. J'ai vu l'amour que je portais à une franchise depuis mon enfance se faire écraser sous mes yeux.

On va essayer d'abord de parler du peu de bon qu'on trouve dans le film... spoiler: La scène de départ : ce monde apocalyptique, les camps, les fusils lasers, tout cela semblait coller fidèlement aux discours et images qu'on avait dans les précédents films
. Ensuite, Clarke qui joue Connor...Bale me manque mais Clarke s'en sort très bien.

Et c'est tout.

Déjà les principaux défaut : aucun jeu d'acteur pertinent à relever, aucune bande originale appréciable (au contraire de Jurassic World ! ) aucun effet spéciaux qui ne peuvent envier le T2 de 1991...1991-2015, vous réalisez ?

Et puis ce qui m'a fait le plus mal : aucun respect de la franchise, aucun respect des fans et aucun respect de l'histoire, aucune cohérence.

De un : spoiler: Très simplement la rencontre de Reese et Connor qui...annule tout simplement celle qui s'est faite dans Terminator Salvation.


De deux : spoiler: Disparition de Catherine Brooster, femme de John Connor, incarnée par Claire Dance puis Bryce Dallas Howard, et qui était enceinte dans Terminator 4, et dans le 3 on parlait des enfants de Connor. Ce personnage avait le mérite d'apporter du nouveau dans la saga, et là, on l'a mise aux oubliettes.


De trois : le moment le plus dur pour moi : spoiler: Quand Reese et Sarah vont dans le futur alternatif (long soupir...) pour aller en 2018. Ok, j'ai raté un épisode ou Kyle Reese dit clairement dans Terminator 1 qu'on ne peut pas revenir dans le futur ?
La crédibilité du film et de la franchise est morte lors de cette scène.

De quatre : spoiler: Nous allons donc dans le passé ou en fait un autre robot fut envoyé plus tôt dans le passé pour sauver un futur alternatif d'un futur passé pour changer le présent en allant dans le future afin que le précédent passé soit changé pour...Oh mon dieu mais c'est quoi ce film ? Alors ok, il y a des interrogations qui se soulèvent au long de l'intrigue...mais ce serait vraiment gentil comme tout de nous y apporter des réponses m'voyez ?
spoiler: Pourquoi un Terminator est arrivé dans les années 70 ? Pourquoi il y a un besoin de futur alternatif ? Pourquoi John Connor revient en 2018 ? Pourquoi Skynet est finalement devenu une application pour smartphone ? Comment Sarah savais que Reese allait arriver en 1984 ?
Oui...rien que ça.

Pour finir, et pas des moindre : spoiler: Le générique de fin nous offre une scène cachée dans laquelle l'hologramme de Skynet s'avère en fait être encore vivant...Donc, tout cet immonde bazar n'a servi à rien.


Donc chapeau à Hollywood qui réussi son pari de faire de l'argent sur le dos de spectateurs crédules à travers le monde. A mon sens, même quand on a plein d'argent, même quand on a pas grand chose à faire, on peut au moins faire le nécessaire pour proposer quelque chose de cohérent et de respectueux. Mais hormis JJ Abrams, j'ai l'impression que personne ne sait rendre hommage aux fans de franchise à Hollywood.

Je sais que le 6 sortira en 2017...on a donc 2 ans de répis, mais je n'irai pas voir ça au cinéma. Terminator ne mérite plus rien qui ne provienne de mon porte monnaie.

Hommage aux gens en charge de la bande annonce qui ont jugé sympathique de tout spoiler d'ailleurs.