Je regardais de loin et puis finalement j'ai accroché. La seule erreur de casting c'est le nouvel acteur à minette...Robert Pattinson ! Les seconds rôles sont bien meilleurs, même Ruby Jerins devrait lui donner des cours. Une fin plus qu'inattendue.
Les 15 dernières minutes sont le seul intérêt de ce film. Le reste est soporifique et sans saveur. Les jeux sont neutres, le scénario creux... Dommage que la fin soit si belle.
Utiliser un canevas digne d'un thriller pour basculer vers le drame romantique est une idée comme une autre. Exploitée ici de façon plutôt correcte au début, le film se perd très vite dans de longues scènes décousues, où le spectateur cherche vainement un intérêt à poursuivre plus avant. On ne peut pas dire que les acteurs soient mauvais, c'est plutôt l'articulation de l'histoire qui laisse à désirer. On ne trouve guère de raison de se passionner pour les personnages, et le faux rythme imprimé au film n'aide pas à rentrer dedans.
Le synopsis représente 90% .. Les 10% restants représentent en quelque part un petit "twist" inattendu. Le casting 3 étoiles est épatant, mais l'histoire ne se parque que par sa fin. Cela reste une belle histoire d'amour sur conflits de famille, de drames qui détruisent et marquent les vies. Preuve que l'amour permet de renaitre et d'avancer.
Il est vrai que percevoir la symbiose du caméran, réalisateur et scénariste laisse un sentiment favorable à la visualisation de ce film.
Cependant, pour une seule scène qui n'a duré qu'une minute et quelques, je n'ai pu me plonger sereinement dans le film, par crainte que la finalité rejoigne mes appréhension.
En effet, la fin est en totale raccord sous-entendu bien sûr avec ma perception.
En outre je pense que le film peut laisser la place à un message raciste, je ne peux que vous conseiller de bien regarder la scène du train qui ramène les trois personnages de leurs séjours dans la maison de vacances..... Et vous conviendrez certainement avec moi que vu le final, le message devient presque visuel.
Mais je ne peux en tant que cinéphile juger qu'un film appelle au discours raciste sans avoir au préalable pu échanger mon avis avec le scénariste et le réalisateur.
Je concède que c'est une note faible, mais seul la mise en scène m'a séduite, la fluidité des mots entrelacés de scènes photographiques.
Un film qui démarre un peu mollement avec des stéréotypes déjà vu et puis qui s'épanouit dans la 2e me partie. L'histoire d'amour entre les deux jeunes gens devient crédible, et l'implication des deux pères autoritaires met du piquant au scénario, . Le film alterne entre le drame psychologique teinté de suspens et la comédie sentimentale.Le personnage de la petite soeur , génie en herbe, artiste précoce est très réussi et très attachant. Pattinson est très bon et sa partenaire Emilie de Ravin aussi. Un très joli dénouement inattendu, surprenant et triste. Un très beau twist final .
Ce film aurait pu être une heureuse surprise... Pattinson arrive presque à nous faire oublier la daube "Twilight" même si certains tics sont récurrents. Tous les autres acteurs sont excellents notamment les pères (Chris Cooper et Pierce Brosnan). Le parallèle entre les deux familles est mis en valeur par un très bon scénario. Pendant 01h30 on passe un bon moment avec cette comédie dramatique qui fonctionne très bien en évitant le mélo... Juqu'au final ! Les 10 denrières minutes sont un gâchis. Pourquoi finir ce film sur cette note, à cette date symbolique ?!?! Aucune cohérence, aucune coréalation avec l'histoire ni avec les personnages, du grand n'importe quoi. Sans compter un montage de plans genre diaporama pour faire pleurer dans les chaumières. C'est pire qu'un mélo c'est la grosse artillerie du tire-larmes. Dommage...
Ally (Emilie De Ravin) a vu mourir sous ses yeux sa mère, assassinée en 1991 sur un quai de métro. Devenue dix ans plus tard une ravissante étudiante, elle est couvée par son père (Chris Cooper), officier de la police new yorkaise. Tyler (Robert Pattinson) a lui aussi été traumatisé par un drame familial : le suicide de son frère aîné Michael qui a fait voler en éclat sa famille. Sa mère (Lena Olin) s'est remariée ; son père (Pierce Brosnan), brillant avocat à Wall Street, affiche pour lui et pour sa sœur cadette, une artiste géniale et précoce, une hostilité que Tyler n'accepte pas.
Il y a deux façons de considérer "Remember Me". La première, qui domine pendant presque la totalité du film, est d'y voir une aimable bluette un peu pataude destinée aux admiratrices adolescentes en pâmoison devant Robert Pattinson, le héros de "Twilight", à qui on a adjoint, pour faire bonne mesure, la jolie actrice australienne révélée par "Lost", Emilie De Ravin. Cette bluette raconte à la fois l'histoire d'amour, prévisible, qui se tisse entre les deux héros et la réconciliation, qui l'est presqu'autant, de chacun d'eux avec leur père respectif.
Mais il y en a une autre qui se révèle à l'extrême fin de l'histoire. Elle est surprenante pour ce genre de films qu'on imaginait beaucoup plus conventionnel et dont on attendait un "happy end" convenu. Annoncée par quelques indices ténus éparpillés de-ci et de-là, elle donne tout son sens au titre du film. J'en ai déjà trop dit en évoquant l'existence de ce twist final. Je n'en révèlerai pas le contenu glaçant.