Derniers Avis : Trainspotting - Page 25

Ancêtre des "Requiem for a Dream" et consorts, "Trainspotting" fut réalisé en 1995 par un jeune loup de l’époque nommé Danny Boyle. A grand coups d’images chocs, le cinéaste dresse le portrait jeunes écossais fans d’héroïne, de sexe et de football. Fort de son tempo hautement saccadé et sa BO décapante, il s’agit réellement du type de long-métrage qui va littéralement a 200 à l’heure avant de traverser une phase plus lente (mais non moins riche en séquences marquantes) pour finalement retrouver sur sa fin réussie, le rythme soutenu de ses débuts. Révélant le talent d’Ewan McGregor, on ne peut que se laisser emporter par cette odyssée brute et déjantée d’une joyeuse bande de junkies. Déchainez-vous !

Attention film culte qui nous transporte dans son univers avec une ambiance pesante a la requiem for a dream. géniale

Un film trash, humoristique et réaliste. Spoiler : Le réalisateur ne prend ni partie pour le mode de vie des drogués ni pour celui des gens "normaux", les deux côtés en prennent pour leur grade. Ici le film nous montre que la drogue peut être un refuge pour un mec pauvre qui souhaite à la base vivre en marge de la société et qui ne veut pas devenir un citoyen mouton qui suit la société de consommation, malgré l' évasion que la drogue lui apporte on voit que ce n' est pas la bonne solution sa santé est en danger et sa vie part vraiment en fumée. Puis il arrête la drogue un petit moment et là une scène nous montre qu' il tient à sa télé le changement en contradiction avec sa pensée commence à se faire mais on voit qu' il s' ennuit dans cette vie... puis il resombre et c' est finalement une belle somme d' argent qu' il n' a jamais eu qui va lui faire complètement changer d' idéologie sur la vie, avec il va prendre un réel nouveau départ mais va choisir de rentrer dans cette vie commune de consommateur qu' il avait aperçu un peu mais la différence c' est que maintenant il a les moyens de s' offrir de belles choses, ce model de vie qu' il critiquait tant et à juste titre pourtant va maintenant devenir le sien ! Quel contraste entre le début et la fin, j' adore !!! Ce qui ressemble à une happy end pour certains, pour moi n'en est pas une du tout il n' y pas de compromis il passe d' un extrême à l' autre il ne sera pas heureux c' est sûr ! Les amitiés également sont pointées du doigt la drogue et l' argent peuvent être source d' une fausse amitié au fond les sentiments ne sont pas là, le seul vrai ami lui ne dit rien c' est le cas lorsqu'il le voit partir avec l' argent, à noter aussi qu' il garde contacte avec la fille qu' il aime j' imagine qu' il la retrouvera quand elle sera majeure. Le film pose plusieurs questions au spectateur l' une sur la drogue, l' une sur la société d' aujourd'hui, l' une sur l' argent et l' une sur l' amitié. C' est en ça que j' ai adoré ce film car il est très ouvert on nous laisse faire nos propres morales. Sur le montage la voix off rend le film encore plus prenant, il y a des plans très intéressants, la BO colle bien aux scènes. Un très bon film qui fait réfléchir !

Il m'a fallu bien une vingtaine de minutes pour accrocher... mais une fois qu'on est dedans, ça se passe bien. La mise en scène est excellente, les acteurs ne sont pas mauvais, notamment Ewan McGregor. Dérangeant, violent, crade... un gros bordel souvent imité, rarement égalé.

Soyons direct: "Transpotting" est LE film de camés à avoir vu au moins une fois dans sa piètre vie (et incontestablement le film le plus réussi dans le genre) . Terriblement drôle et subversif, Danny Boyle nous signe ici un pur délire toxico. En gros, le film tourne autour des péripéties de Mark Renton (et de sa bande de potes), entre dépendance, manque et bonnes résolutions. Se dégage de cette histoire Écossaise (oui, d'Edimbourg pour être plus précis) un incroyable punch, une communicabilité timbrée, intimiste et délirante. Malgré la constante débauche de ces junkies, cette comédie dramatique ne se targue pas de faire l'apologie de la drogue (de l’héroïne), condamnant en fait gravement un vice aussi puissant que dangereux (mortel même). Mais ce n'est qu'à la fin que "Trainspotting" laisse réellement place au drame; la plupart du temps, on tourne autours de la frénésie de ce jeune drogué à la vie déjà émiettée malgré les nobles (et presque réussies) tentatives afin de "Sortir la tête hors de l'eau". Véritable "trip-movie", on se régale de suivre les mésaventures de ces potes loseurs, rebuts de la société se repliant autours de leurs seringues et de leurs hallucinations tordues afin de vivre, d'oublier leur triste vie. Et c'est avec un casting tout bonnement génialissime que "Transpotting" nous accueille. Ewan McGregor est exquis, extrêmement naturel, expressif dans ce premier rôle d'un anti héros déjà devenu culte. Ses drogués de compagnons sont eux aussi superbement interprétés (Ewen Bremner, Kevin McKidd et Robert Carlyle pour ne citer qu'eux). Un lot d'acteurs talentueux et réellement crédible qui évolue à travers un chaos fort bien réalisé, monté, cadré. Une réalisation organique, quasi viscérale, laissant souvent place à des jeux de caméras exaltants. Et que dire des dialogues, géniaux eux aussi (le film est bien évidement à voir en VOSTR, ne serrait-ce que pour entendre l'accent écossais des personnages). Malgré un petit manque de subtilité, on retiendra certaines scènes déjà classées au panthéon du genre (la plongée dans les WC, le tire à la carabine, le coup du vomi ou de l'entretient). Bref, amateurs de gros films fêlés et riche en folies de défoncés, vous êtes servis! Dommage que ce soit aussi court, même si le cheminement vers le final est bien agencé. "Transpotting", c'est un peu comme une grosse pâtisserie pleine de crème: c'est lourd, à consommer avec modération... mais que c'est bon ! 17/20

Je me suis pas mal ennuyé et j'ai pas adhéré a l'histoire...

Danny Boyle signe sa plus grande comédie satirique British,jamais connu auparavant sur une bande de jeunes toxico notamment Ewan McGregor qui joue son rôle le plus barge de tous les temps avec la scène du bébé au plafond (on se dit qu'est que c'est ce film???),c'est la qu'on se dit jusqu’où peut aller la drogue!!!!!!!!!!!
Avec ses personnages caricatural Robert Carylre énorme (qui joue un malade ambulant de la paranoia !!!)
Trainspotting est le culte des film des années 90 au royaume-uni.
Un requiem for dream en ironie pure.
Las Vegas Parano n'a qu 'a bien se tenir !!!!

Attention film culte ! Ce film est une petite pépite! Des acteurs au sommet de leur art (surtout Ewan McGregor) qui est époustouflant dans ce rôle de jeune junki un peu paumé. Le scénario est excellent, la manière de filmer est génial et que dire de l'intro...

Trainspotting pourrait se résumer à une version light de Requiem for a Dream. Le même thème de dépendance est abordé, mais la descente aux enfers semble ici évitable, portée par un scénario plus dramatique et qui alterne rechute et désintoxications. Comme dans Requiem, la bande originale est quasi parfaite; comme dans Requiem, le jeu des toxicos (Mc Gregor) est fantastique. Mais la différence se fera aussi sur le montage, Boyle alternant succession de trouvailles de cadrages et plans. Sympathique.

Une intrusion trash dans le monde des héroïnomanes. Dérangeant, le film enchaine les moment violents, délirants et parfois même choquants et n'incite jamais. Le casting est surtout tiré vers le haut par Erwan McGregor. Hélas, ce film est trop spécial, je n'ai pas accroché. Dans le genre, je préfère un film plus gentil, à la Very Bad Trip.

Du rôle des acteurs, de l'histoire, de la manière de filmer, du scénario. Parfait.

Adapté d'un best-sellers signé Irvine Welsh, "Trainspotting" reste sans doute le meilleur film jamais tourné sur la drogue et ses méfaits, qui sera très souvent copié mais jamais égalé. En effet, s'appuyant sur un casting ultra-solide, d'où Ewan McGregor semble se démarqué nettement, très crédible en junckie reconvertit, lachant la drogue pour se tourner vers un avenir "clean" et professionnel. Le film se distingue surtout pour son coté très déjanté, surfant entre le comique et le tragique, et qui ne vous laisse jamais dans l'ennui. Pourtant, Boyle n'en demeurt pas moins sérieux sur certain point, ce qui donne un aspect personel et émotionel à son oeuvre, et lui évite de tomber dans l'auto-dérision ou dans le délire inutile et débile tel que "Las Vegas Parano". Le final, heureux et plein d'espoir, est filmé avec maitrise, répétant les phrases du début du film dans un contexte différent, où le personnage principal croit véritablement en ce q'uil dit et n'emploie pas le ton de l'ironie. La B.O renforce l'atmosphére éléctrique de l'oeuvre, et les images, parfois insupportable, ne sont pas uniquement utilisé pour donner plus de sensations aux spectacteurs mais pour ajouter de la profondeur aux personnages et du réalisme au film. Culte et intellligent.

Un film pas connu malheureusement et qui devrait l'être. Trainspotting relate aussi bien la drogue que tous les biens de consommations que l'on peut acheté ! Un film très bien tourné avec une bonne morale !

A la fois drôle et dramatique. Ce film est à voir et à faire voir...

Un film déjanté avec une réalisation audacieuse sans être envahissante, ce qui ne nuit pas au fil du récit. Plusieurs questions sont abordées : amitié, drogue, sans jamais verser dans le moralisme. Les instants glauques et les moments plus amusants s'alternent dans une bonne intelligence. Bravo également aux acteurs qui sont pour beaucoup dans la réussite du film.