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    No et moi
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    3,4
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    203 critiques spectateurs

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    Julien D
    Julien D

    1 102 abonnés 3 461 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 25 février 2012
    Zabou Breitman poursuit sa filmographie pleine de bon sentimentalisme en abordant le domaine du drame social. Dommage que le thème premier de ce film soit la tragédie affective des SDF car il est abordé avec une naïveté enfantine frôlant la mièvrerie alors que le drame familial de la jeune héroïne est plus convaincante mais est traité de loin. Malgré quelques jeux d'acteurs intéressants, ce film à la construction très académique sera vite oublié.
    L'AlsacienParisien
    L'AlsacienParisien

    591 abonnés 1 402 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 19 novembre 2010
    Touchant, juste et vivifiant, "No et moi", adapté d'un best-seller, dévoile une belle histoire aux personnages profonds et brillamment interprété. Zabou Breitman, après "Je l'aimais", magnifique film, réussit encore une fois à nous émouvoir par cette adaptation pleine d'humanité, de générosité et d'ouverture d'esprit. Lou, 13 ans mais précoce, décide de traiter son sujet d'exposé sur les SDF en se concentrant sur les propos de No, jeune fille à la rue, à la personnalité complexe et insaisissable. Les deux filles vont s'attacher l'une à l'autre sans s'en rendre vraiment compte jusqu'à ce que Lou décide de l’accueillir vivre chez elle avec ses parents... L'histoire est superbe et les personnages très vrais: Julie-Marie Parmentier, jouant la jeune SDF, est une grande révélation, j'étais saisi par son jeu à la fois agressif et jovial, solitaire et fragile. Je pressens une nomination aux Césars... Tout le casting est de taille; Nina Rodriguez interprétant la jeune Lou, Antonin Chalon jouant le bon copain branleur, et Zabou Breitman dans le rôle de la mère tout droit sortie d'une dépression post-mortem; très juste. Petit bémol cela dit pour Bernard Campan, pas vraiment sur le coup. La complicité entre les deux personnages fait toute l'authenticité du film, l'une canalise les débordements de l'autre en découvrant une nouvelle façon de voir la vie. Malgré une voix-off dérangeante, la mise en scène est à la fois intense avec des profondeurs dramatiques, plus légère avec des musiques in english et juste sincère pour les scènes de joie ou de peine dont regorge le film. A voir!
    elisa2102
    elisa2102

    127 abonnés 1 484 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 25 juin 2011
    Quand on réunit la réalisatrice de "Se souvenir des belles choses", le scénariste de "Un crime au paradis" et le scénariste de "Un dernier pour la route", ça ne peut que donner un film génial et plaisant à regarder ! Servi par des actrices de talent (surtout Nina Rodriguez et Julie-Marie Parmentier), cette comédie dramatique familiale traite d'un sujet grave, les SDF, avec beaucoup de réalisme, peut-être trop de réalisme quand on pense à la fin.. Le film est triste et drôle à la fois. Il mérite d'être vu selon moi !
    JCOSCAR
    JCOSCAR

    106 abonnés 1 100 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 18 novembre 2010
    No et moi est une comédie dramatique que le bande annonce m'avait bien plu.... mais le film n'en dit pas beaucoup plus malgré le sujet intéressant qui reste un conte de fée...
    Uncertainregard
    Uncertainregard

    94 abonnés 1 285 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 28 mars 2011
    Malgré la très bonne interprétation des 2 gamines, une BO sympas et de jolis plans, cette histoire est loin de m'émouvoir...
    Alexis D.
    Alexis D.

    94 abonnés 873 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 24 mars 2020
    S’il est indéniable que la force de "No et moi" repose sur l’excellence du jeu de Julie-Marie Parmentier, Zabou Breitman propose un film intelligent, parce que accessible et doucement naïf, sur un sujet interpellant sans jamais sombrer dans le misérabilisme. La réalisatrice signe dès lors une adaptation réussie du roman éponyme de Delphine de Vigan. "No et moi" est avant tout un regard empli d’espoir sur la désolation de la situation des SDF. L’introduction du film est quelque peu didactique, voire vindicative. Par le biais d’un recours à une voix-over, celle de Lou (le moi du titre), Zabou Breitman livre une série de chiffres et de faits. Elle met à nu la réalité de la rue telle que perçue par les statistiques. Deux réalités se font face rapidement : celle commune, générale et consensuelle du constat horrible de cette désespérante situation; et celle singulière de Lou qui désire aller au-delà et comprendre cette réalité. Tout est dit d’emblée. Lou a rencontré une jeune SDF et en livre le récit. Le récit d’une rencontre que le spectateur est invité à faire. Cette première réalité de la voix-over, timide et mal à l’aise, est intelligente. Elle a pour mérite de conduire le spectateur à un degré certain de concentration. Cette voix-over change rapidement de statut, passant du pensant au parlant. La voix n’est autre que celle du jeune personnage livrant le fruit de ses recherches lors d’un exposé. Toutefois Zabou Breitman porte le choix de recourir ensuite à une voix-over en tant que telle, plus banale et platement explicative qui exprime le pathos de la protagoniste. Faut-il dès lors y adhérer… D’autant plus que la logique musicale renforce l’idée d’exacerbation du pathos (sans se limiter à celui de Lou). Une exacerbation trop marquée tant les recours, pluriels, sont nombreux. Le film narre donc l’extraordinaire aventure de Lou Bertignac (Nina Rodriguez), qui est une drôle de petite personne. Elle a 13 ans, mais largement deux classes d'avance (elle vient d'entrer en seconde dans un grand lycée parisien), elle est fille unique (mais a eu une petite sœur au prénom d'héroïne d'opéra, Thaïs, disparue de la mort subite du nourrisson) d'un père aimant mais souvent absent pour son travail (Bernard Campan) et d'une mère dépressive depuis le décès de sa cadette, 5 ans plus tôt (Zabou Breitman elle-même). Surdouée, réfléchie et solitaire, elle est la récitante de ces quelques mois de sa jeune vie que Zabou Breitman met en images pour sa quatrième (et très réussie) réalisation. Lou, qui aime passer du temps dans la gare d'Austerlitz pour y observer ses contemporains, rencontre "No"/Nora (Julie-Marie Parmentier), 19 ans, et déjà un an de vie errante (qui accepte contre quelques consommations alcooliques dans un café proche de se raconter). Lou prépare un exposé sur les "Invisibles", les SDF. Lou n'arrive pas à oublier No, qui n'est donc pas pour elle qu'un simple témoin, d'ailleurs plutôt rétif, d'un travail scolaire. La jeune fille ayant déserté la gare, Lou la cherche partout, et finit par la retrouver dans une file d'attente devant une soupe populaire. Débute alors l'amitié singulière de Lou et No, que rien pourtant ne rassemble. Le duo est en fait souvent complété par le deuxième ami de Lou, Lucas (Antonin Chalon), son camarade de lycée (un cancre qui a deux classes de retard), un solitaire finalement lui aussi malgré ses bonnes fortunes (il vit seul dans un grand appartement après le départ de son père pour le Brésil, et refuse de rejoindre sa mère et son nouveau compagnon, qu'il déteste). Lou arrive à décider ses parents à accueillir No dans la chambre inoccupée de Thaïs. Cette cohabitation curieusement permet à la mère de Lou de sortir définitivement de son mal-être, et No semble sur la voie de l'insertion sociale : elle a trouvé un travail de femme de chambre dans un petit hôtel. Pourtant ce mieux n'est qu'en surface pour la jeune fille : incapable de décrocher de l'alcool, par ailleurs arrondissant ses fins de mois en se prostituant avec des clients de l'hôtel, elle est chassée de l'appartement des Bertignac par le père de Lou. Celle-ci, incapable de renoncer à une amitié pourtant si inappropriée, fugue, et s'apprête à partir avec No pour l'Irlande. Mais cette dernière, dans un sursaut de lucidité, lui fausse définitivement compagnie. Vie douloureuse des sans-abris, perte d'un enfant, dépression... Avec un tel arrière-plan, il y avait tout à craindre du récit de Lou : mièvrerie et autres larmoiements, en particulier. Or, "No et moi" n'est ni un mélodrame, ni même l'occasion pour la cinéaste de se faire donneuse de leçons. Deux principaux parcours de vie sont envisagés : d’une part celui de Lou, qui va grandir de manière considérable au point de devenir femme; de l’autre celui de No. La dynamique d’évolution se base sur celle de la rencontre : de la timidité à la complicité, de la raison à la passion. La direction d’acteurs est bluffante. Si quelques séquences se veulent artificielles afin d’ancrer une distanciation humoristique qui est le reflet de la pensée de Lou, Zabou Breitman ancre une logique principalement réaliste où la qualité du jeu de l’ensemble des comédiens est à souligner. L’étourdissante Julie-Marie Parmentier (qui interprète No) capte notre attention de manière sidérante. La jeune fille, qui semble sans âge, ne cesse de témoigner d’une fraîcheur étonnante. Elle apparaît pouvoir tout jouer ou plutôt tout incarner. La justesse qui émane de son approche du personnage de No en est une nouvelle preuve. La nervosité tant de son phrasé que de ses mouvements est criante de vérité. Petit brin de femme, au visage poupon et angélique, Julie-Marie Parmentier est stupéfiante. Elle parvient à établir à l’écran une fine complicité avec sa jeune partenaire Nina Rodriguez (Lou). Elle se fond aux SDF incarnant leur propre rôle sans retenue. Elle est d’une rare crédibilité alors que la réalité transcendée par son personnage est d’une âpreté crasse. Zabou Breitman témoigne aussi d’une mise en scène duale qui se veut la rencontre d’un réalisme (d)étonnant dans les choix de cadrage et de montage et d’une artificialité romasnesque et visuelle. L’ensemble reste cohérent. Les personnages sont à la fois touchants et poignants de part leur manque d’affection et qui se cherchent au travers du récit. La confrontation des deux mondes, celui de l'adolescente et celui de la rue, est saisissante. Et la volonté de Lou de changer la société ne laissera pas le public indifférent. D'ailleurs, le spectateur lui-même s’attachera sûrement à No pour tenter de l’aider. Peu à peu, la peinture de la dure vie de SDF et de la déshumanisation s'estompent quelque peu pour laisser place à l’espoir et à la mélancolie. Cette nouvelle vie où les deux êtres vivront pleinement leur adolescence et retrouveront l’envie de vivre à pleines dents le moment présent fait le cœur du film. Traitant ainsi d'une renaissance et de l’espérance d’un avenir moins sombre, ce récit audacieux laissera au spectateur quelques marques et peut-être l'espoir de réduire l’individualisme et de changer le monde. C'est au final une histoire d'amitié absolument magnifique et improbable entre deux gamines trop mûres chacune dans leur genre (Lou, l'intellectuellement précoce, et No, brisée par l'abandon (une scène la montre ainsi essayer en vain de renouer avec sa mère, devant une porte qui ne s'ouvrira pas), sans repères ni identité, détruite par les beuveries, marquée à jamais par la violence de la rue) filmée avec délicatesse, sans effets appuyés, sobre et belle, et dont l'interprétation est parfaite (quelques afféteries de Julie-Marie Parmentier mises à part). Zabou Breitman en particulier fait une superbe composition (en mère revenant peu à peu à la vie) devant sa caméra tendrement inspirée. Cette amitié touchante qui porte le film est aussi appuyée par la présence d'un troisième membre, Lucas, le camarade de classe de Lou, adolescent un peu cancre sur les bords habitant tout seul ayant des relations difficiles avec ses proches (en particulier son beau-père). Ce trio trio va nous offrir de superbes moments autour d’une tranche de vie adolescente. L’émotion reste intacte à l’image; tout comme la solidité des rapports entre les 3 jeunes protagonistes. Ce trio de jeunes comédiens est exceptionnel. On parvient vraiment à ressentir les émotions adolescentes; la manière dont à cet âge-là tout est vécu à fleur de peau. En tant que spectateur, on passe du rire à la boule au ventre en quelques secondes. Et puis, tous les idéaux et la sensation de pouvoir changer le monde et les destins très présents chez la jeune Lou incarnent le vernis de toute puissance de l’adolescence alors que le cœur est encore fragile. En un mot, j’ai adoré passer 1h40 avec ce trio d’ados idéalistes, égratignés et passionnément attachants. On a une vision positive de la jeunesse qui fait du bien avec 3 personnages à des âges différents. Le parallèle avec un monde adulte plus raisonnable et raisonné représenté par le père de Lou est tellement vrai; et nous fait réaliser que l’on est passé de l’autre côté. La maturité s’oppose alors parfois violemment à l’idéalisme juvénile; et c’est les premiers conflits entre Lou et ses parents. Des conflits dont père, mère et Lou sortent grandis. C'est donc un merveilleux drame sur la misère sociale mais aussi une très belle fable sur l'adolescence, qui retranscrit très bien le mal-être adolescent, les émotions ressenties à cette période, la difficulté de se trouver, de s'épanouir, etc... Par ailleurs la bande-son du film est extrêmement sympathique et les décors sont très beaux (que ce soit le métro, l'appartement de Lou, celui de Lucas, le lycée parisien où étudient Lou et Lucas...). "No et moi" constitue ainsi un vrai drame touchant, poétique, sincère, tendre et juste qui ne peut laisser de marbre, ainsi qu'un très beau film sur l'adolescence (peut-être même l'un des meilleurs). Un chef d’œuvre pour ma part, ainsi qu'un magnifique drame français à voir impérativement
    Flowcoast
    Flowcoast

    51 abonnés 1 199 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 14 mai 2011
    Etant donné , la carrure du film , No et moi , de Zabou Breitmann est un film français ,trop démagogique ... Une histoire hostile , d'une élève de seconde , et d'une jeune SDF pour faire frémir tout le monde. Seulement , No et moi , s'avère être un film trop moyen pour supporter l'image trop évangéliste de ce film ... En tout cas , c'est mal joué , personne sort du lot... Encore une fois, un film français jeune , mais très peu vu ... Et puis, c'est quoi ça ? J'ai vu des gens que je connaissais dans le film , car tourné au lycée Sophie Germain dans le 4e arrondissement de Paris, alors qu'en fait, le lycée montré dans le film de l'extérieur n'est même pas celui -ci
    xavierch
    xavierch

    44 abonnés 1 167 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 17 avril 2011
    Voici une vraie bonne histoire entre une gamine de 13 ans très douée, et une sdf de 19. Le film est raconté du point de vue de Lou, et nous donne une bonne dose d'émotion, et j'ai beaucoup aimé que No parte car elle s'aperçoit qu'elle est en train de détruire la vie de Lou. Zabou Breitman est vraiment une bonne réalisatrice (et actrice aussi).
    galau7
    galau7

    28 abonnés 719 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 18 novembre 2010
    Personnages atypiques autour d'une sans abris. Et dans l'imbrication de tous ces destins, la réalisatrice nous promène et nous perd dans la diversité de son propos. Une mention toute particulière pour les deux jeunes actrices.
    No reste un mystère pour moi...
    DestroyGunner
    DestroyGunner

    22 abonnés 865 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 novembre 2010
    Un sujet non-conventionnel mais bien traité, comédie douce amère plutôt acide, même émouvante mais sans pathos. Les jeunes acteurs m'ont séduit, leur aînés sont plutôts bons. Une grande justesse de ton pour la description de la vie et des aspirations des "teenagers". Réalisation de qualité. A voir nécessairement.
    toka59
    toka59

    18 abonnés 269 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 29 novembre 2010
    C'est mieux que ce que j'imaginais, j'ai apprécié la mise en scène , la musique, le jeu de Nilda Fernandès est superbe et Antonin Chalon est vraiment pétillant mais j'ai eu un peu de mal avec le personnage de No : c'est trop je pense, probablement surjoué. Après je suis quand même rentrée dans le film pourtant je ne saurais dire pourquoi mais Zabou Breitman a du mal à me toucher. C'était comme pour "Je l'aimais" ou j'avais adoré le livre qui m'avait beaucoup touché alors que le film m'avait laissée de marbre bien que pas mauvais. Je ne sais pas mais je reste au bord, il manque un petit truc.
    chrischambers86
    chrischambers86

    11 968 abonnés 12 157 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 12 avril 2011
    Qu'il parle du handicap de la maladie d'Alzheimer, d'homosexualitè ou des regrets amoureux, le cinèma de Zabou Breitman ne lasse pas de surprendre par son audace et sa sensibilitè hors du commun! Avec "No et moi", elle met en scène une histoire d'amitiè entre une surdouèe et une jeune SDF! Le film est adaptè du roman de Delphine de Vigan et interprètè par deux comèdiennes prometteuses, Nina Rodriguez (Lou"is" Bertignac) et Julie-Marie Parmentier (qui en fait peut-être un peu trop ici). L'occasion pour Zabou Breitman de traiter de la duretè de la rue (les figurants sont de vrais SDF), de l'adolescence, et de signer un film engagè et sincère mais qui n'èchappe pas à quelques facilitès avec une fin inaboutie...
    Thierry M
    Thierry M

    131 abonnés 2 435 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 16 novembre 2010
    vue en av premiere. Zabou Breitman est desormais un grand nom du cinema français. elle le demontre dans ce film tres touchant et drole sur un des sujet le plus delicat de notre pays.les 3 jeunes comediens sont exelent et boulversant. campan et zabou sont des parent geniaux. bref aller le voir. On rit , on pleure, onpasse unbon et grand moment de cinema.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 20 novembre 2010
    No & Moi est un film qui part un très bon sentiment, mais après la demi-heure, le film commence à prendre une tournure qui ne m'a pas plu. C'est trop simple, on est pas attaché aux personnages et on a plutôt envie de se barrer que de les aider. Les plans ne sont pas beaux. Un petit plus pour Nina Rodriguez qui joue vraiment bien. Sinon c'est mou.

    2/5
    Claricewins
    Claricewins

    54 abonnés 1 053 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 23 août 2011
    Lorsqu’une femme au caractère d’enfant rencontre une ado matûre, cela donne No et moi. Difficile d’apprécier No au premier abord, car elle n’est pas vraiment attachante, elle est autodestructrice, et on se dit tout de suite qu’elle a une trop grande influence sur la jeune Lou. On a d’un côté la vision de la jeune Lou, qui voit tout de suite No comme une victime et qui veut l’aider, mais on a aussi de l’autre côté la vision du père de Lou, plus terre-à-terre, qui arrive à voir au-delà du problème immédiat de No, qui est d’être sans-abri. L’histoire suit son déroulement logique jusqu’à arriver à une fin logique. Belle reprise de Nothing Else Matters par le groupe d’Apocalyptica. D’ailleurs, la BO est très éclectique.
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