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    Comment je me suis disputé... (ma vie sexuelle)
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    39 critiques spectateurs

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    inspecteur morvandieu
    inspecteur morvandieu

    14 abonnés 1 465 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 1 février 2024
    Le film est long et bavard. Sympathique...mais long et bavard. Autant les personnages et les interprètes -en particulier le principal d'entre eux- sont attachants, autant les aventures sentimentales urbaines de Paul Dédalus peuvent sembler rébarbatives à force de se complaire dans une introspection obstinément cérébrale.On aborde l'existence de Paul au moment oû celui-ci peine à achever sa thèse autant que sa longue relation avec Esther.
    *Rien de dramatique dans ce film où l'auteur et Mathieu Amalric laissent filtrer une certaine dérision au-delà d'un propos sérieux au coeur duquel la relation homme-femme est décortiquée jusqu'à la psychanalyse. On s'en amuse parfois, notamment en considérant le désarroi de Dédalus et ses relations inabouties avec les femmes; on s'en détourne aussi à d'autres moments lorque le discours se fait moins léger, plus complexe et didactique. La vie de Paul Dédalus, au milieu de ses amis- lesquels ont aussi leur mot à dire- parait bien désordonnée, pas très cohérente; la mise en scène intimiste d'Arnaud Desplechin témoigne aussi d'un certain désordre.
    Hotinhere
    Hotinhere

    422 abonnés 4 749 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 novembre 2022
    Chronique existentielle qui trace le bilan d'une génération, un peu brouillonne mais magnifiquement interprétée, dialoguée et mise en scène.
    Anonyme M
    Anonyme M

    45 abonnés 1 540 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 22 décembre 2021
    nul. le film a roman, ce n'est pas intéressant, c'est affreusement long, souvent des histoire donc ont s'en fiche même pour un film et tu décroche très vite.
    Bertie Quincampoix
    Bertie Quincampoix

    74 abonnés 1 737 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 4 décembre 2021
    Second long-métrage d’Arnaud Desplechin, souvent considéré comme culte, Comment je me suis disputé a hélas mal vieilli. Parisien, germanopratin, prétentieux, ce film porté par des « filles et fils de » ayant grandi rive gauche agace tant ses personnages ne semblent parler qu’à et pour eux-mêmes… et ce pendant 2h50 ! Mettant en exergue tous les personnages masculins – et en particulier celui de Mathieu « Paul Dédalus » Amalric, double du cinéaste – qui enchaînent les conquêtes féminines et qui n’en peuvent plus de se perdre dans des tourments amoureux et métaphysiques dont on se fout, le film réserve un traitement inférieur aux femmes, tout juste bonnes à pleurer longuement lorsqu’elle se font larguer. Malgré quelques séquences plus réussies, voire carrément drôles, on peine à être convaincu. Heureusement, Arnaud Desplechin réalisera des œuvres plus inspirées au cours des années suivantes.
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    3 427 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 21 octobre 2021
    James Joyce a peut-être été le plus grand écrivain du XXe siècle mais son alter ego Stephen Dedalus est l'un des écrivains les plus ennuyeux de la littérature mondiale. C'est un intellectuel égocentrique qui se perd dans un marécage d'idées de seconde main au point de ne plus savoir comment vivre sa vie et qui alors qu'une ligne suffirait prononcera des rames de paroles denses circulaires et toutes en allusions. C'est aussi le cas de son homonyme Paul dans ce film avec lequel nous avons le privilège de passer trois heures alors qu'il parle de sa vie en désordre il parle met sa carrière en danger il parle et met ses relations en désordre et il parle pendant trois heures de film. Comme Stephen ses problèmes d'écriture sont liés à ses problèmes de sexe. Comment je me suis disputé... (ma vie sexuelle) est un film clé du jeune cinéma français qui privilégie le tournage en appartement de dizaines de jeunes acteurs certains brillants mais sans charme qui boivent un café parlent et ils parlent de sexe pour essayer d'épater le public...
    Shawn777
    Shawn777

    463 abonnés 3 331 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 23 août 2021
    Alors, comme d'habitude, j'ai énormément de mal avec les films de d'Arnaud Desplechin qui est un cinéma, je pense, que je n'arrive pas à comprendre. Second long-métrage du réalisateur, sorti en 1996, il nous conte l'histoire de Paul qui est en train de faire sa thèse, interminable depuis depuis quelques années, et qui a des histoire d'amour avec diverses femmes. Voilà, je ne vois pas vraiment d'autres moyens de résumer ce film qui m'a paru vraiment très long ! N'en déplaise aux fans du réalisateur, je trouve que ce dernier a l'art de raconte tout et rien à la fois. Je veux dire, que l'histoire ne soit pas structurée et que ce soit juste une fenêtre sur la vie d'un ou plusieurs personnages à un moment T de leur vie, je veux bien l'accepter. Mais alors ici, je n'ai vraiment rien vu de réellement intéressant dans la vie de ces petits bourgeois parisiens dont la vie n'est que très peu captivante. De plus, le film dure trois heures alors si on ne rentre pas dedans ou si on n'adhère pas au style du réalisateur, je vous laisse imaginer la lenteur du truc. Encore, j'ai fais un effort, j'ai vraiment accroché, ou du moins tenté, à la première heure de film mais une fois cette dernière passée, j'ai eu franchement beaucoup de mal à tenir les deux dernières heures. Mon impression globale finalement en ressortant du film, c'est d'avoir eu sous les yeux quelque-chose que l'on ne retient pas forcément car le film veut aller dans tous les sens, avec beaucoup de personnages, mais ne raconte rien de concret, de précis. Je sais que c'est le style du réalisateur et c'est d'ailleurs pour ça que je ne considère pas ce film comme étant mauvais mais juste une œuvre à laquelle je n'ai pas pu avoir accès. Et puis, honnêtement, j'ai également beaucoup de mal, non pas avec les films d'auteur, mais avec ce style très littéraire qui tend très rapidement à un aspect très intello et nombriliste assez détestable (même si ce n'est sûrement pas l'intention de l'auteur). Concernant les acteurs, je n'ai rien à dire, excepté peut-être Emmanuelle Devos mais c'est parce-que je n'ai jamais été très fan de son jeu d'actrice en général. "Comment je me suis disputé... (ma vie sexuelle)" est donc un film que je ne suis pas prêt de revoir !
    Martine R.
    Martine R.

    4 abonnés 62 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 28 juillet 2021
    Quinze ans ont passé depuis que j'ai vu ce film lors d'un séjour à Paris chez mon compagnon de l'époque.
    Il pleuvait à torrents ce jour-là ; le cheveu mouillé et frisotté, j'ai assisté au spectacle affligeant des querelles et tergiversations d'un petit monde verbeux et nombriliste.
    Mon ami, qui en faisait partie, a trouvé le film excellent et accueilli avec dédain mes réticences provinciales.
    "Comment je me suis disputée avec mon ex-conjoint"...La première série d'une longue suite de querelles tout aussi stériles et ennuyeuses que celles des personnages du film.
    A périr d'ennui, dans la vie commme au cinéma.
    Jack B.
    Jack B.

    21 abonnés 10 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 12 mars 2021
    je ne l'avais pas vu. En 96 cela me parlait peu. Je l'ai regardé heureusement avec la modernité des supports, j'ai pu faire avancer le curseur de vision pour activer, couper, rétrécir, ce long métrage, trop long qui a pris de l'âge.. J'ai été très ému de voir ces jeunes acteurs donner autant, de toutes leurs verves, jouer tous ces jeux, les œillades, les voix, les geste, tronqués par une chorégraphie du cadre pauvre. La caméra ne voit que le triste. Le film insiste sur une pauvreté émotionnelle, un racornissement des sentiments provoqué par une haine, une jalousie, une gène, on pourrait même parler d'une extrême gêne, un empêchement de vivre. Là, où il ya de la gêne il y a aussi très peu de place pour le génie...Et le plaisir , c'est pour l'auteur une notion vulgaire, il n'est chez les personnages qu'une dérive d'un sentiment de puissance, ''je l'ai je le/la tue'', Car qu'importe l'objet, c'est le faire chier et nous faire chier de concert qui prévaut sur tout, et permet de débiter du monologue exalté pour rien au kilomètre. Le personnage principal doit être en quelque sorte épinglé par le mépris ambiant, la chute dans l'escalier, une vulgaire bouffonnerie cinéphile, se déroule sous l'œil froid et sordide d'une foule de jeunes étudiants, impassibles et sans doute haïs. On reste frappé par la misogynie générale du traitement de celles qui ne sont que des ''sujets'' féminins, on reste étonné par leur résilience, cette acceptation totale à un traitement humiliant. Les acteurs et actrices n'ont pas tous vieillis pareil, ce qui est l'attrait anecdotique principal du film, voir une très débutante Marion Cotillard consentir à une panouille muette à poil, juste pour le plaisir de se dire qu'elle y est, reste l'un des moments de cruauté rétroactive qui peut sans doute motiver une vision de ce film bancal. Je ne suis pas surpris du futur, des querelles et des fâcheries que provoquera et subira ensuite Desplechins avec entre autres sa soeur, son ex compagne et bien d'autres sans doute fâchés par sa facilité à déshumaniser toute histoire personnelle pour la transformer en ingrédient fade d'une scénario cruel. Le film n'est même pas symptomatique d'une époque puisque il n' y évoque même pas les problèmes relationnels provoqués et subis dans la vie sexuelle de cette génération liées au Sida à l'époque c'était d'actualité tout de même chez les jeunes adultes filles et garçons. En définitive t il n'ya aucun moment d'époque, à part la tabagie suffocante, et l'horrible jardin de boulevard Voltaire. On se demande presque qu'est ce qu'il est bien allé foutre à Bruges pour les plans du début... Sans doute pour décrocher l'avance sur recettes à l'époque.. ?
    Peter Franckson
    Peter Franckson

    35 abonnés 1 077 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 18 septembre 2019
    Le film franco-français chiant par excellence, centré sur 4 couples de trentenaires : des personnages falots, égocentriques, même pas bobos mais plus bohèmes, velléitaires et se posant des questions métaphysiques sur leurs problèmes du quotidien : Paul Dédalus (Mathieu AMALRIC qui a obtenu le César du meilleur jeune espoir masculin en 1997 pour ce rôle), 29 ans, maitre-assistant à l’université de Nanterre, tardant à terminer sa thèse, souhaite rompre avec Esther (Emmanuelle DEVOS), sa compagne depuis 10 ans et qui prépare le concours à une école d’interprètes. spoiler: Il a une liaison avec Sylvia (Marianne DENICOURT), la compagne de son meilleur ami Nathan (Emmanuel SALINGER) puis avec Valérie (Jeanne BALIBAR), étudiante en D.E.A., fantasque et perverse. Sans oublier une fâcherie avec un ancien camarade de Normale Sup, Frédéric Rabier (Michel VUILLERMOZ), nommé professeur dans la même université et propriétaire d’un singe (qui finira mort, coincé derrière un radiateur !) et un frère qui veut entrer au séminaire, en pleine crise métaphysique.
    Un sujet « passionnant » avec une voix off pour faire plus littéraire et une musique un peu dissonante pour renforcer une dramaturgie, inconsistante et dont on se contrefiche. Bref, un film trop long [2h50, qui n’arrive pas à la cheville de « Mort à Venise » (1970), 2h11, de Luchino Visconti, « Le pont de la rivière Kwai » (1957), 2h41, de David Lean, « Le guépard » (1963), 3h05, de Luchino Visconti, « Ben-Hur » (1959), 3h32, de William Wyler ou « Il était une fois en Amérique » (1984), 3h40, de Sergio Leone], trop bavard avec des personnages sans intérêt et un scénario confus. Ce n’est, ni un mélodrame à la façon de Douglas Sirk ou Pedro Almodóvar, ni un marivaudage à la façon des « Liaisons dangereuses » (1988) de Stephen Frears, ni une comédie sur le sentiment amoureux comme « L’art d’aimer » (2011) d’Emmanuel Mouret.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 19 août 2019
    Un film (et peut-être aussi un cinéaste , il faudrait que j’en revoie un ou deux) qui me laisse froid et vaguement agacé. Le montage, fluide, original dans sa façon de naviguer dans le temps, est ce qu’il y a de plus intéressant et réussi. La réalisation est prometteuse, surtout pour un deuxième film. Mais alors ce scénario... Les histoires de couples bourgeois ne sont pas celles que je préfère, mais tout dépend de la manière. Ici, c’est pédant, recroquevillé sur soi, TRÈS long et surtout saturé d’un imaginaire catho et d’une fascination complètement anti-romanesque pour les grilles de lecture psychanalytiques. Les comédiens sont dans le cabotinage, (quand ils ne sont pas franchement mauvais pour quelques uns) et tout est trop écrit et sur-signifiant. Je retiens quelques jolis moments, surtout avec Emmanuelle Devos, toujours merveilleuse, et une vision du couple qui aurait pu être interessante si elle s’était exprimée avec plus de simplicité. Il y a aussi un regard original sur la dépression et les affaissements/paralysies du corps qu'elle peut provoquer, mais c'est à la marge.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 26 mars 2017
    Ce film représente à mon avis ce que la promotion FEMIS de la fin des années 80 a fait de pire au cinéma français. L'avènement d'un pédantisme petit bourgeois qui a fini d'achever le travail entamé trente ans plus tôt par la nouvelle vague à travers l'élimination progressive du prolétariat représenté à l'image. Un film qui cultive l'entre-soi d'un petit milieu imperméable à tout ce qui ne lui ressemble pas, celui de la petite bourgeoisie estudiantine auto-satisfaite en orbite autour de ses problèmes existentiels, de ses relations amoureuses aussi troublantes que dans un sitcom bon marché, et nous inflige au passage ce que la philosophie universitaire peut avoir de conséquent sur leur toute petite existence, une existence que Desplechin s'emploi à faire passer pour un vaste monde. Evidemment la question économique est totalement évacuée du sujet, ce petit microcosme parisiano-mondain est autosuffisant dans tous les domaines. C'est aussi une manière de tuer définitivement le cinéma politique, comme Desplechin s'est employé à le faire pour chacun de ses films suivants. Cette complaisance pour l'anecdotique, le futile, cache sa réelle intention de dynamiter le réel. Desplechin c'est un peu la lance à incendie de Jean-Claude Brisseau, il marche volontiers main dans la main avec Christian Boltanski dans sa volonté d'en finir définitivement avec le social. Boltanski ou d'une autre manière, Luc besson. Desplechin aime la laideur, ses décors sont hideux, sans doute pour ne pas nous détourner de l'insipide diarrhée verbale de ses personnages. Comment peut-on exploiter les décors naturels de la capitale avec une volonté aussi délibérée de les banaliser, de les affadir, de les faire taire. Truffaut que Desplechin idolâtre savait au moins filmer la place des Abesses et les grands boulevards. Le Paris populaire, le Paris pittoresque est sans doute trop ingrat pour la prétentieuse caméra de Desplechin. D'une certaine manière Desplechin est un homme politique, de cette nouvelle espèce qui fait de la politique en tuant le politique. Son cinéma est voulu, subventionné, encouragé, promu (comme le cinéma de Besson qui s'oppose au sien dans la forme, mais qui nourrit les mêmes ambitions ) un cinéma qui induit dans la conscience du public que le peuple n'existe pas. "Comment je me suis disputé ou ma vie sexuelle", délibérément provocateur par son ingratitude sémantique et stylistique, est un manifeste direct de la bourgeoisie contre les classes populaires, au sens figuratif comme au sens exclusif dans son expression "à ne pas vouloir s'adresser au peuple."
    Matthias T.
    Matthias T.

    39 abonnés 612 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 13 décembre 2016
    Un film vraiment excellent, qui peut sembler destiné à un public réduit (les khâgneux et les thésards en bref), mais qui, par la maestria de son récit, l'audace de ses dialogues, la qualité de son interprétation et la multitude de ses scènes d'anthologie finit par s'élever haut, très haut, presque au rang de film culte pour toute une génération plus ou moins germanopratine mais pas uniquement.
    Daniel C.
    Daniel C.

    132 abonnés 715 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 juin 2015
    C'est émouvant de découvrir ce film quasiment vingt ans après sa sortie. La jeunesse des acteurs est, elle aussi, troublante. Je vois ce film au lendemain d'avoir vu "Cinéastes", le documentaire de Julie Gayet et finalement, Desplechin pourrait également être questionné sur la féminité de son cinéma : y-a-t-il un cinéma de femme tourné par des hommes? La manière, dont il fait dialoguer les hommes entre eux, me semble incarner la part féminine des hommes. Je suis allé voir ce film après avoir vu il y a peu "Trois souvenirs de ma jeunesse". Oui, c'est un cinéma imprégné de psychanalyse, dans lequel la parole, la culture, l'art, la transmission ont la part belle. Les emportements de ces intellectuels sont impressionnants, mais ce n'est pas tant la culture, qui est déterminante. La recherche de vérité est là et chacun bute sur elle, dans le lien amoureux, dans la rencontre, dans la séduction, dans l'amitié, dans la sexualité.Et puis, bien sûr, il y a la mort, la croyance... Un parent meurt, comment s'en sortent les enfants? Comment réhgler ses comptes avec un parent disparu? Comment ce que nos parents nous lèguent de leurs "casseroles" non dégnées, non délimitées, imprègne-t-il le devenir conjugal et le cours de notre existence? Il faut dire et redire encore jusqu'à en épuiser la charge mortifère.
    Alexcherbourg
    Alexcherbourg

    18 abonnés 103 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 9 mai 2015
    Sorte de "Hélène et les Garçons" version fac de Nanterre, ce film dépeint des adolescents attardés qui s'occupent en discours remplis de vacuité, tous persuadés d'être le centre du monde et sans le moindre engagement social. En plus, c'est interminable. Une véritable torture.
    Jonathan M
    Jonathan M

    111 abonnés 1 528 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 15 avril 2015
    Le cinéma version Desplechin, c'est prétentieux. Long, mais pas ennuyeux ici. Paul Dédalus dessine les contours de ce qu'est Mathieu Amalric en 2015. Un monstre sacrée qui ne se l'avoue pas, ou peut-être devant sa glace. Toujours avec un air de je m'en foutisme complet, il régie la passion de la gente féminine, toutes aux aguets de son sourire irritant. Pour revenir au film, il est de ceux qui sape le moral tout en gardant une fantaisie cachée. C'est certain, ce metteur en scène est original dans son genre.
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