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Un visiteur
0,5
Publiée le 10 janvier 2017
Revoilà Droopy, revoilà Caliméro qui a repris quelques amphètes et/ou sniffé quelques rails et qui se met à soûler tout le monde, à blablater comme un détraqué, comme le pauvre gars névropathe qu'il est depuis toujours.
Il se prend pas pour n'importe qui le gugus (il doit viser Cannes et son festival de pisse-froids) il tourne carrément en noir et blanc parce que le noir et blanc, c'est comme se racheter une conduite pour un taulard : on vous prend pour un "artiste". Forcément. Mais pourquoi le "noir et blanc" ? s'interroge Télérama. Vous croyez qu'il y a un message (caché) là-dessous ?
Le siphonné de la parlote Woody Woodpecker dans son inépuisable logorrhée déblatère que se taper une jeune plante de 17 balais, c'est -finalement- un bon plan et incontestablement plus sympa que de rester avec cette rombière de Diane Keaton, même si elle ne porte pas de soutif (une féministe...). De toute façon, on s'en fout, ce qui compte, c'est d'en parler avec ses amis, ses ex, ses futures, son public (Positif a adoré) et à sa ville de cubes en béton.
On sent que Caliméro Droopy n'a pas fini de gaver : le pleurnichard binoclard est comme Terminator : impossible à arrêter. Et il ne la ferme jamais.
Un homme. Une femme. Un pont. Une ville qui s'éveille. Le plus beau plan de tout le cinéma. Sans oublier une idylle qui prend petit à petit forme sous le regard d'une voie lactée de carton-pâte. Un film qui s'achève sur le sourire, résigné, de Woody Allen. Une nouvelle journée qui commence sous le soleil de Manhattan et la musique de Gershwin. Pour moi, la quintessence, aussi bien formelle que thématique, d'un cinéaste au sommet de son art, qui, malgré la grande qualité de certains opus, n'atteindra plus jamais une telle réussite et surtout, ne retrouvera qu'occasionnellement (voir rarement) un tel sens du cadre, de la mise en scène. Une ville sublimée par un scope en noir et blanc de toute beauté, des personnages névrosés et attachants, dessinés et interprétés avec talent, des dialogues au diapason... "Manhattan" est le chef-d'oeuvre absolu de Woody Allen, une pure merveille à voir et à revoir infiniment.
Un chef d'oeuvre de Woody Allen, l'un de ses meilleurs films, une œuvre pleine de sensibilité et d'humour simple ... Un film tendre, paisible, beau ... un ambiance hors-du-commun, parfaitement calme, et comme toujours les dialogues prennent le dessus sur tout le reste, et ca rend le tout parfaitement unique et fascinant ! La photographie est tres belle, tout est magnifiquement filmé, la musique, bien que discrète et puissante ... Un chef d'oeuvre, simplement. Une film agréable, apaisant, touchant, et vraiment passionné. un grand Bravo a Woody Allen.
Les 5 premières minutes du film, portrait de Manhattan sur la musique de Gershwin, reste comme l’un des meilleurs antidépresseurs du monde. « Manhattan » est à ce jour le travail le plus aboutis de Woody Allen, la photographie de Gordon Willis sublime New-York comme jamais.
Il m'est impossible de comprendre, non pas le succès grand public, mais l'adhésion des cinéphiles à ce monument de conventions, de platitudes que représente ''Manhattan''. Quand un film est insignifiant, on met la musique en exergue, c'est exactement le cas car en dehors d'elle, hormis la scène finale, c'est le vide. La mise en scène est classique certes mais sans caractères et Allen ne sait pas filmer New-york ce qui est quand même un comble. D'ailleurs, c'est plus une accumulation de dialogues qu'autre chose et voir n'apporte strictement rien. Quelle déception pour un film qui a une telle réputation auprès des intellectuels. A croire qu'à sa sortie ils se sont faits anesthésier par le snobisme des propos et fascinéspar la chance de Woody d'être ,à 40 ans passés, adulé par une belle jeune fille. Nous savons tous qu'un grand film, nous pouvons le revoir sans cesse et sans cesser de l'aimer de 20 à 90 ans...Je suis certain que ''Manhattan'' ne résistera pas longtemps aux visions successives et que l'incompréhension se fera face à la réputation complètement imméritée d'abord de ce film et ensuite de celle de Woody Allen dans la hiérarchie des grands réalisateurs.
Une œuvre magnifique ponctuée de superbes dialogues. Woody Allen réalise une romance d'une niaiserie aucune en y ajoutant une qualité de photographie valorisant la grande New York. Du grand art.
"Chapter one: he adors New York City"...C'est sur cette célèbre phrase que s'ouvre l'un des films les plus reconnus de Woody Allen. Une comédie sophistiquée magnifique et dense, notamment au niveau des relations qu'entretient Isaac ( Woody Allen ) avec les femmes: il aime Tracy, une jeune fille de 17 ans, mais aussi Mary, une intellectuelle pédante et insaisissable, qui s'avère être l'amante de son meilleur ami Yale. La première force de Manhattan est qu'il s'agit d'un film personnel et quasiment autobiographique: comme Woody Allen, Isaac écrit de scénarios pour la télévision ( en effet, à ses débuts, le cinéaste juif était un gagman pour la TV dans les années 1950 ). De plus, le caractère névrosé et en pleine crise existentialiste de son personnage apparaît alors qu'il parle tout seul sur un canapé, vers le dénouement du film. Au niveau de la forme, la photographie noir et blanc de Gordon Willis et le Rhapsodie In Blue de Gershwin lors du générique grandiose du début du film font de Manhattan une oeuvre plastique d'une rigueur formelle monumentale. Un chef d'oeuvre.
On a devant nous un chef-d'oeuvre du cinema ! Ce véritable ovni laisse le spectateur sans voix, devant la beauté d'un New-York qui dans sa laideur comme dans sa beauté, dans son malheur comme dans son espoir, est sublimée. Bref un chef d'oeuvre.
Un temps, l'utilisation de la lumière (contre-jours) et du noir et blanc intrigue, puis on se rend compte que malgré ce "Woody Allen" en haut du générique, on n'assiste à rien plus qu'une version cinéma des Feux de l'amour, dialogues insipides et personnages ridicules. Jamais drôle, qui plus est.
Jamais entendu autant de Blabla. A force de parler on vous écoute plus. Il faut apprendre à marquer des silences.Si c'est la représentation des réflexions de Woody Allen je refuse de rentrer dans sa tête, même si ce n'est pas stupide du tout.
Si c'est une blague, elle est bien bonne. Mon sentiment de dégoût est tellement fort que les mots se dérobent sous ma plume. Il n'y a rien, le noir et blanc est d'une laideur comme nulle autre pareille, le cadrage est bâclée, la musique est insoutenable, l'intrigue et le dénouement sont d'une niaiserie à pleurer, les dialogues sont dénués de toute cohérence et enfin nous devons subir la prétention, sinon la cuistrerie, d'un homme qui s'apparente plus à un squelette galvanisé qu'à un homme. A travers Manhattan, Woody Allen s'est montré ridicule, d'un fatuité, d'une sottise qui a donné sur les nerfs. Bravo, vous avez réussi à populariser votre manque d'égard envers le cinéma, à démocratiser le banal divertissement au profit de l'art qu'est le cinéma. Où l'on se croit tribun quand on n'est que mouchard disait l'auteur des causeries du lundi, méditez cette phrase, M. Allen. Quel incomestible pourceau !
Mais que ce qu'il est soporifique comme film ! Franchement, voir un film pareil, décrit par tant de gens comme un chef d'oeuvre, ça déprime vraiment. Je voudrais vraiment qu'on m'explique ce que les gens trouvent de génial dans cette daube en noir et blanc. Woody Allen est vraiment trop surestimé avec ça, Hannah et ses soeurs, la rose pourpre du caire ...etc, même s'il a fait un vrai chef d'oeuvre qu'est Match Point.
Comme quoi un réalisateur génial souvent peut tomber dans le ridicule pour plaire au système ! Ce film est plus mort que le plus mauvais Bergman qu'il tente d'égaler. (Qui c'est Bergman ? le réalisateur de "L'œuf du serpent" et de téléfilms.)