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    Macadam Cowboy
    Note moyenne
    4,0
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    180 critiques spectateurs

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    Moon In June
    Moon In June

    1 abonné 20 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 7 juin 2014
    Emouvant et d'une écriture bien plus profonde qu'elle n'en a l'air. Dustin Hoffman et Jon Voight ont un jeu renversant d'authenticité.
    Benjamin A
    Benjamin A

    658 abonnés 1 922 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 mars 2014
    D'abord classé comme film pornographique à cause de la censure Américaine (très) sévère, "Macadam Cowboy", il fut reclasser en "Interdit au moins de 17 ans, après avoir gagné l'oscar du meilleur film. Il s'avère que l'academy a eu l’œil juste cette fois-ci, tellement l’œuvre de John Schlesinger se révèle puissante, dure et complexe. Il nous montre l'envers du décors du rêve Américain alors en proie à l'enlisement au Vietnam, la paranoïa post JFK ou encore les débuts d'une forte contestation intérieur venant de toutes sortes de communautés. Il filme les rues de New-York entre les marginaux, homosexuels, prostitués, la jungle rurale... à travers la relation d'amitié de deux anti-héros, l'un est un présomptueux gigolo sans le sou et l'autre un petit escroc boiteux et tuberculeux, qui se révéleront très bien écrit et très attachants que ce soit les personnages eux-même ou les liens qui les lient. Il rend son film réaliste et on croit à ses deux personnages, le récit est bien rythmé et la narration composé parfois de flash-back pour rappeler un passé douloureux est fluide. L'histoire est bien construite, intéréssante et belle, Schlesinger capte parfaitement les enjeux dramatiques qui sont de plus en plus fort au fur et à mesure que le récit avance. Les interprètes sont excellent, d'une sobriété exemplaire et sachant s'effacer derrière leurs personnages. On notera aussi une excellente bande-originale dont l'utilisation est toujours juste. Un très bon film, touchant, intelligent, puissant et finalement bouleversant, un film qui, à l'image de certaines scènes, reste gravé en mémoire.
    Hastur64
    Hastur64

    199 abonnés 2 289 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 mars 2014
    John Schlessinger a fait une adaptation plutôt fidèle du roman éponyme de James Leo Herly, même s’il coupe toute la partie enfance du héros en commençant le film à son départ pour New-York, n’évoquant cette partie du roman (pourtant essentielle pour comprendre la psyché de Joe) qu’à travers des flashbacks un peu abscons. Néanmoins le film ne perd rien de la force du roman notamment grâce à une interprétation inspirée de ces deux principaux acteurs. Jon Voight, quasi méconnaissable tant il est jeune, qui donne un Joe tout en naïveté bien décidé à faire fortune comme prostitué auprès de femmes riches et Dustin Hoffman en petit arnaqueur boiteux esseulé qui trouve en Joe un compagnon de misère. Le roman avait fait scandale à sa parution en 1965 et le film fut d’ailleurs également interdit au moins de 17 ans à sa sortie en 1969, le tout à cause d’un sujet encore un peu tabou aujourd’hui celui de la prostitution masculine et ici avec en plus un sujet quasi scabreux en cette fin des années 60, l’évocation de l’homosexualité. À mon avis il y a des cinémas du Midwest durant ces années-là qui n’ont pas dû le placer dans leurs programmes ! Un film récompensé de plusieurs Oscar et BAFTA qui, bien qu’il ait un peu vieilli, n’a rien perdu de sa force d’évocation. À voir pour les cinéphiles et les curieux.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 3 mars 2014
    Un film où l'on voit New York d'un autre œil : comme une ville de débauche, une ville où le rêve américain n'est que fiction. Un pur moment à partager avec ces deux acteurs hors du commun, élevés au rang de star à la fin des années 60. Ce film est vrai, déjanté, tragique, comique, tout ce qu'on peut attendre du cinéma.
    Truman.
    Truman.

    207 abonnés 1 364 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 février 2014
    1969 l'année des hippies, du sexe sans limite, de la drogue et des protestations contre la guerre du Vietnam, mais cette année ne sera pas une année très colorée pour les deux protagonistes de Macadam Cowboy .
    L'un Joe Buck au style de cowboy part du Texas et rêve de devenir gigolo pour femmes riches a New York, le second Rico Rizzo boiteux et tuberculeux vit dans la misère la plus totale .
    La rencontre de ces deux personnages mènera alors a une amitié en quête d'argent pour survivre dans la grisaille d'un New York gangréné par la pauvreté .

    Gris, triste et touchant ce film nous montre un aspect différent du rêve Américain, l'aspect réaliste ou le personnage du cowboy revient à la réalité et se rend compte que ses espoirs sont broyés, rien n'est facile à gagner mais tout perdre est facile .
    L'amitié entre les deux personnages offre un duo qui fonctionne a merveille, la réalisation offre de magnifiques plans dans les rues de New York, sous le soleil de Miami ou encore quelques passages en noir et blanc qui font froid dans le dos .

    Macadam Cowboy est un film humain, touchant et intéressant pour sa vision d'une époque ou il n'était pas si facile de vivre .
    Candice L
    Candice L

    25 abonnés 827 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 19 février 2014
    Un excellent film! L'histoire de deux hommes marginalisés qui apprennent à vivre ensemble et qui deviennent amis pour survivre dans la ville de New-York... Les personnages sont attachants, l'histoire est originale, à la fois drôle et tragique. A voir!!!
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 5 février 2014
    La prostitution masculine, sujet si tabou, si bien traité par Schlesinger. Personnellement le duo Hoffman/Voight, presque homosexuel tant il est soudé, m'a énormément ému. Quand deux optimiste sont déçus dans leurs amitions, ils restent beaux et attachant. Et cette bande son, "Everybody's Talking" est tellement géniale !
    Un des deux seuls films, avec Vol au-dessus d'un nid de coucou, faisant parti des films censurés et pourtant oscarisé. Preuve que ce grand film a dérangé, alors qu'il ravi encore aujourd'hui. 4.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 28 janvier 2014
    film culte,Jon Voight avec sa gueule de jeune premier , taillé pour ce role, à l'époque ça devait faire jaser la prostitution masculine , le monde la nuit psyché les pd, les lesbos ,les transs,ma solitude, la misere humaine et sociale , hoffman était déjà una cteur surdoué mais là il transcende le role de petit loser arnaqueur , j'ai bien aimé la photo de Maryline monroe seins nus quand Voight se met devant le miroir , ce film est accompagné par une B.O de folie composé par John Barry , un vrai film quand Hollywood savait faire des films
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 28 janvier 2014
    film culte,Jon Voight avec sa gueule de jeune premier , taillé pour ce role, à l'époque ça devait faire jaser la prostitution masculine , le monde la nuit psyché les pd, les lesbos ,les transs,ma solitude, la misere humaine et sociale , hoffman était déjà una cteur surdoué mais là il transcende le role de petit loser arnaqueur , j'ai bien aimé la photo de Maryline monroe seins nus quand Voight se met devant le miroir , ce film est accompagné par une B.O de folie composé par John Barry , un vrai film quand Hollywood savait faire des films
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 28 janvier 2014
    film culte,Jon Voight avec sa gueule de jeune premier , taillé pour ce role, à l'époque ça devait faire jaser la prostitution masculine , le monde la nuit psyché les pd, les lesbos ,les transs,ma solitude, la misere humaine et sociale , hoffman était déjà una cteur surdoué mais là il transcende le role de petit loser arnaqueur , j'ai bien aimé la photo de Maryline monroe seins nus quand Voight se met devant le miroir , ce film est accompagné par une B.O de folie composé par John Barry , un vrai film quand Hollywood savait faire des films
    septembergirl
    septembergirl

    571 abonnés 1 069 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 janvier 2014
    Un drame puissant et poignant dans lequel John Schlesinger dépeint l’envers de l’Amérique durant l'époque charnière des années 1960-1970, à travers l’histoire d’une amitié : celle de Joe Buck et de Rico Rizzo, deux personnages livrés à la dure réalité de la jungle new-yorkaise. Tout au long du film, Jon Voight et Dustin Hoffman sont extraordinaires de sobriété, de simplicité et de justesse. Une réalisation qui met à mal le rêve américain !
    Kilian Dayer
    Kilian Dayer

    99 abonnés 838 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 2 décembre 2013
    Prostitution au masculin, homosexualité, squat, traîne misère, Midnight Cowboy, signé John Schlesinger, 1969, fût, à l’image du célèbre Easy Rider de Dennis Hopper, un film hautement provocateur dans l’univers alors très policé du cinéma américain. Contesté et contestable, le film fût pour autant chaudement accueilli dès sa sorite par un public et des critiques impressionnés par le culot de son metteur en scène, par les prestations presque dérangeante, de son temps, de Dustin Hoffman et Jon Voight, pour rappel tous deux nominés à l’oscar du meilleur acteur. Débarquant de son Texas profond, Joe Buck espère profiter du vivier féminin de la métropole New-Yorkaise pour vendre son corps. Très vite endetté, crève la faim, Joe se lie d’amitié avec Rizzo, petit tuberculeux italo-américain qui l’entraînera, dans son malheur, vers un nouvel exil.

    S’il n’est dès lors pas dans mon intention d’accabler le film sous le poids de critiques acerbes et irréfléchies, je n’ai pour autant jamais accordé crédit au long métrage, révélateur d’un nouveau dynamisme à la fin de années 60 mais cruellement désuet au jour d’aujourd’hui. Si parfois, les films sont des témoins immortels d’un temps révolu, souvent passionnant culturellement, ici l’écart social entre 1969 et le 21ème siècle terni allègrement la lecture d’une œuvre qui n’est plus ni choquante ni entraînante. Que Jon Voight et Dustin Hoffman, surtout le second, soient excellents n’y changent rien. L’on accède dès lors à une narration déphasée qui fit mouche à son époque mais qui ennuie de nos jours. Témoin d’une Amérique crasseuse en pleine restructuration, John Schlesinger avait pourtant le potentiel pour inscrire son film dans l’histoire.

    Encore une fois, à l’image du film contemporain de Dennis Hopper, le trip, la folie des personnages tue dans l’œuf toute réelle volonté de faire du film une plateforme culturelle. Si John Schlesinger parvient toutefois à faire ressortir divers éléments dans son film, le plus singulier d’entre tous est cette description miséreuse du New-York des années 60 et 70, crasseux, gris, immensément peuplé de la lie humaine comme de la fortunée classe première. Les deux personnages de Macadam Cowboy ne sont pour ainsi dire pas intégrés à cette énormité culturelle qui semble pourtant englober tout un chacun. Ne trouvant pas leur place dans la Grosse Pomme, nos deux compères s’enfuient, en dernier recours, vers le soleil de Floride. Pour être honnête, si le film aurait duré une heure de plus, la Floride aurait elle aussi été symbole d’enfer pour ce texan complètement paumé.

    Critique dissidente, oui, mais peu objective car se basant sur une vision d’aujourd’hui d’un film d’hier. Si bon nombre de classiques du cinéma ont vieillis avec les honneurs, prolongation de leurs époques, témoins de l’histoire, d’autres sont désormais à archiver, aussi cruelle que cela puisse paraître. Macadam Cowboy était peut-être un chef d’œuvre il y bientôt 45 ans mais ne l’est indéniablement plus aujourd’hui. Son propos est mort et enterrés. Un film vieux comme le monde qui n’aura pas percer les âges. Seuls Dustin Hoffman et Jon Voight sont les témoins de cet ovni télévisuel qui n’emballe malheureusement plus grand monde. 07/20
    Lotorski
    Lotorski

    13 abonnés 588 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 26 novembre 2013
    Un film extrêmement provocateur pour l'époque. Certaines scènes sont hilarantes, mais que les déprimés soient prévenus : Ce n'est pas avec "Midnight Cowboy" que vous allez vous remonter le moral !
    Shephard69
    Shephard69

    291 abonnés 2 259 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 22 novembre 2013
    Deux acteurs au talent immense qui apparaissent en grande forme, Dustin Hoffman est génial dans son rôle d'infirme roi de la magouille et Jon Voight est impeccable de candeur dans son interprétation de cow-boy gigolo. Ca reste plutôt moderne dans le discours et dans l'évolution de cette histoire d'amitié impossible entre deux êtres totalement opposés, la mise en scène a vieilli mais reste excellente en tous points. Peu de longueurs, un immense film tout à fait remarquable plein d'empathie et de délicatesse sans verser dans le larmoyant.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 21 août 2013
    J'ai vu ce film il y a longtemps et j'en garde un bon souvenir, une histoire touchante, "réaliste", un bon jeu d'acteurs. L'image n'est pas toute jeune mais le film reste plaisant. à voir.
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