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    Ilusiones Opticas
    Note moyenne
    2,1
    48 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
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    16 critiques spectateurs

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    1 critique
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    lugini
    lugini

    16 abonnés 245 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 29 avril 2010
    film très intéressant. Il fait le constat de tout l'univers artificiel que la mondialisation galopante a créé que ce soit au Chili ou ailleurs. Partout tout est identique, seuls les aveugles ne sont pas bernés. Qui est aveugle, celui qui ne voit pas ou celui qui voit?
    jfharo
    jfharo

    48 abonnés 1 232 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 18 février 2010
    Un film long et ennuyeux
    sans grand interêt , si ce n'est sa curiosité .
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 23 février 2010
    On passe un très agréable moment avec ces personnages tous un peu décalés...
    velocio
    velocio

    1 160 abonnés 3 022 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 8 mai 2010
    Les chiliens deviendraient-ils les spécialistes du film choral ? Sorti en France un mois avant "La buena vida", "Ilusiones Opticas" utilise le même procédé et, également, un acteur commun, Eduardo Paxeco. Tourné à Valdivia, une ville du sud du Chili, ville natale du réalisateur, et dans la station de ski de Antillanca, située dans le Parc National de Puyehu, ce film raconte le destin hivernal de plusieurs personnages dont un ancien aveugle qui, venant de retrouver un semblant de vue, s'aperçoit que le monde n'est pas aussi beau qu'il l'imaginait et un ingénieur qui ne supporte pas que sa société attache dorénavant davantage d'importance à la communication qu'à la qualité de sa production. On aura compris qu'après le "Huacho" de Almendras, Jimenez s'attaque, mais autrement, aux ravages causés par la globalisation dans un pays comme le Chili. Il est dommage que, croyant bien faire, il nous entraîne un peu trop souvent dans des sentiers de traverse qui s'avèrent sans grand intérêt et nous fasse perdre le fil principal du sujet. On notera la présence dans ce film de Valentina Vargas, une comédienne chilienne qui fait une grande partie de sa carrière dans notre pays.
    tixou0
    tixou0

    629 abonnés 1 969 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 23 juillet 2010
    Nous sommes au sud du Chili en plein hiver austral, sous la pluie une grande partie de la journée. Mais dans le centre commercial de la petite ville il fait la même température - 23 degrés - toute l'année, nuit et jour. Là vont se croiser la plupart des personnages de ce premier film en forme de bonne surprise. Ils sont 8, 5 hommes et 3 femmes, en 4 couples : deux couples mariés, un couple fraternel (le frère et la soeur) et un couple père/fils. Ce n'est pas pour autant un film "choral", comme la mode en existe depuis quelques années ; le Chilien Cristian Jimenez qui assure aussi le scénario met plutôt en scène une sorte de sotie filmique. Il y a bien une trame narrative, mais les personnages mêlent leurs vies et s'y emmêlent dans une suite de saynètes réjouissantes. Tout part, pour l'anecdote, de Juan contemplant par la vitre du restaurant du centre commercial un paysage aux lignes tristement floues - aveugle depuis la petite enfance, une opération lui a rendu la vue, mais très imparfaitement. Exclu du monde des aveugles (par sa propre compagne toujours aveugle, en premier lieu), en marge du monde des voyants, il regrette son changement d'état ! Les autres personnages (une riche voleuse qui séduit puis abandonne le nouveau vigile du centre commercial, son mari qui veut améliorer l'image de marque de son entreprise qui se trouve au centre du système de santé de la province grâce à l'ancien aveugle, la soeur du vigile qui pense que des implants mammaires pourront la rendre enfin séduisante, un cadre vieiilissant sur la voie du licenciement qui se croit amoureux d'elle et son fils en pleine crise identitaire) ont eux aussi des problèmes de vue ! "Illusions d'optique", au sens propre et figuré, ou comment on a du mal à voir et à être vu (e), comment on se voit et comment les autres vous voient etc. Variations décalées sur un thème original, et dans l'écriture, et dans la réalisation. En bref, un bon moment de divertissement et de réflexion.
    jujulcactus
    jujulcactus

    21 abonnés 291 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 10 juin 2010
    Un film chilien, une bande annonce décalée, un scénario singulier ... Pourquoi pas, ça a l'air bien marrant : Illusions d'optiques! En effet le film possède un rythme lent, sans pour autant exploiter les personnages un peu barrés qui se croisent tout au long du film. Les quelques gags sont malheureusement dans la bande annonce, la musique est toujours la même, et l'on a beaucoup de mal à éprouver une once de compassion aux malheurs qui frappent les employés du centre commercial. Malgré tout l'ensemble se laisse regarder, empreint d'une douce folie (mais trop cachée!) et servie par de bons comédiens.
    diehard5
    diehard5

    19 abonnés 482 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 9 août 2010
    Une fantaisie gentille qui n'accroche pas, une mise en scène distante et neutre, des personnages attachants qui parviennent à faire naître de la drôlerie dans un film qui en a besoin.
    traversay1
    traversay1

    3 081 abonnés 4 620 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 février 2010
    D'abord, ne pas se laisser berner par la bande-annonce de Ilusiones opticas qui laisse présager une comédie absurde menée à toute vapeur. Le film du jeune chilien Cristian Jimenez (premier long-métrage) est en effet drôle mais son rythme est lent et nécessite un temps d'adaptation, afin de s'habituer à son style et à la copieuse galerie de personnages de cette oeuvre chorale très singulière. Valdivia (ville natale du cinéaste) est un bien bel endroit, au bord d'un lac et proche de glaciers, mais l'hiver il y pleut abondamment et l'ambiance est un peu sinistre. Jimenez profite de ce cadre pour décrire l'existence aléatoire de quelques individus au bord de la déprime, d'une part dans un centre commercial, d'autre part au sein d'une compagnie d'assurances médicales aux méthodes de communication interne, disons...particulières. Ilusiones opticas se distingue par un humour pince sans rire et une ironie mordante lestés de quelques messages à caractère social qui ne manquent pas de sel. Un film difficile à situer dont les références sont à chercher aussi bien dans le cinéma scandinave contemporain que chez Keaton ou Tati (voir les gags en arrière plan). En tous cas, cela mérite plus qu'un coup d'oeil.
    QuelquesFilms.fr
    QuelquesFilms.fr

    220 abonnés 1 596 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 28 juin 2013
    Mondialisation, consommation, communication... Cristián Jiménez (dont c'est le premier long-métrage) donne à voir une certaine image de la modernité dans son pays, le Chili, sur un ton burlesque et triste à la fois. Il capte l'absurde au quotidien, les rapports de force et de pouvoir entre les gens, la déshumanisation en marche. Côté style, on songe à Kaurismäki ou à Tati. Beaucoup de plans fixes. C'est souvent l'action qui vient se loger dans le cadre et non la caméra qui suit l'action. On note un soin apporté aux décors, aux couleurs (noyées dans la grisaille), avec une multitude de détails. Le montage participe aux effets comiques. Un humour pince-sans-rire, minimaliste, assez savoureux.
    Il est dommage, toutefois, que le mordant de la critique socio-économique s'estompe peu à peu, au profit de la dimension narrative. Une narration qui comporte par ailleurs trop d'historiettes pour être aboutie, ou, tout du moins, pour trouver un équilibre. Le personnage de l'aveugle disparaît ainsi pendant une partie du film ; le propos sur la religion juive ne s'intègre pas vraiment à l'ensemble, etc. Bref : le canevas de l'ensemble n'est pas totalement concluant. Mais le regard et le style sont prometteurs.
    Ceux qui gardent un souvenir ému de la belle Valentina Vargas dans Le Nom de la Rose, de Jean-Jacques Annaud, auront la surprise (et le plaisir) de la retrouver ici dans le rôle de Rita (la bourgeoise kleptomane).
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 25 février 2010
    Dans ce film, il est bien question d'optique avec l'histoire de Juan, aveugle depuis l'enfance et à qui une opération a rendu partiellement la vue, mais il est surtout question d'illusions sur le travail, la beauté et bien sûr, l'amour! Quelques personnages représentatifs de la société chilienne contemporaine se croisent aux deux pôles de la vie professionnelle et sociale de la petite ville de Valvidia, livrée à un hiver de brouillard et de pluie : le nouveau centre commercial et la compagnie d'assurances médicales Vidasur. Les scènes ont l'apparence changeante des images d'un kaléidoscope mais s'ordonnent en fait autour du couple central : Manuela et son frère Rafael. L'une travaille chez Vidasur et se persuade que la chirurgie esthétique est la seule solution à son vide affectif. Rafael devient vigile au centre commercial et met son emploi en péril pour la belle Rita, riche mais cleptomane et un peu mariée. A la fin de cette "tranche de vie", certains auront ouvert les yeux et vu enfin, comme Juan, le monde tel qu'il est, pas très beau mais offrant quand même quelques chances de bonheur : Manuela se rapproche de Juan, David, de son fils Samuel et de la religion de ses ancêtres, Rita reconstruit sa famille et guérit de sa manie. Entre temps, le cinéaste aura abordé le problème du chômage, de l'exploitation des classes sociales entre elles, endémique à l'Amérique latine, de la "modernité" galopante et de la solitude inhérente à la condition humaine. Toutes ces petites scènes de la vie ordinaire sont traitées néanmoins avec beaucoup d'humour : on sourit souvent avec compréhension et sympathie pour ces frères humains. L'ironie et la dérision font glisser la gravité du propos comme la situation des licenciés que l'on fait semblant d'aider à se reclasser ou l'utilisation de Juan comme objet publicitaire pour Vidasur ou celle de Rafael comme "homme à tout faire" (vraiment tout!). Ce premier film à la tonalité douce-amère augure bien de la carrière de Cristian Jimenez.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 13 mars 2010
    Lorsque l'on sort d'une salle de cinéma en étant déçue et en faisant un constat "Une bande annonce aurait suffit", il y a peu de choses à rajouter à une critique. Malgré un scénario prometteur, et une bonne idée de départ, Illusiones Opticas, est un film qui passe à côté de sa chance. Lent, prévisible, pas vraiment concret, il ne peut se contenter de ses interprètes et ne peut embarquer le spectateur dans son univers. Dommage..
    titishson
    titishson

    3 abonnés 15 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 1 mars 2010
    Nul , decevant! Je n'ai souris à aucun moment, film banal sans aucun interet!!
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 21 février 2010
    De nombreux passage de ce film sont amusant . Mais ce film à un terrible défaut , le manque de rythme . Le film tourne à 2 images par seconde , c'est à dire au ralentit . A voir pour les curieux
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 17 février 2010
    à ne pas rater !! un film qui fait du bien
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 20 février 2010
    des idées originales au départ mais pas approfondies ; plus grave , aucun tonus, aucune énergie : s'en suit un jeu des acteurs déprimé et déprimant . Pas une trace d'humour ( m^me à l'arrière plan , désolé !) . Au final manque flagrant de qualité artistique
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