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    Le Havre
    Note moyenne
    3,0
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    309 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 30 décembre 2011
    un sujet poignand avec un film tres sobre daroussin est exeptionnel
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 30 décembre 2011
    Une grosse d'aube pleine de clichés, bon pour les BOBOS en mal de pauvreté. Nul
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 30 décembre 2011
    Désolé mais je n'ai pas du tout compris la réalisation de ce film... Le jeu d'acteurs (L'acteur principal est capable d'afficher sur son visage en tout et pour tout une ou deux émotions), les dialogues (Et bien tu n'en manges pas ? - Non il y avait une marmite de soupe chez Yvette) récité comme des enfants récitent leur poésie à l'école primaire... "Mais c'est un film d'auteur !" diront certains ! Désolé mais ce n'est pas parce que ce film est "plein de poésie" (cf : le dernier plan avec le cerisier qui est assez tordant) que tous les clichés qu'on y montre passe mieux que dans Intouchables ou autres !
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 30 décembre 2011
    Pierre72 a tout dit...
    Trés mauvais film avec un trés mauvais jeu d'acteur...3 étoiles?! C'est n'importe quoi ...LOL
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 30 décembre 2011
    "Le Havre" surement pas la ville dont on n'apprend rien.Plutôt ce village hors du temps qui mélange les époques:véhicules des sixties,coiffures"occupation"pour les femmes,commerces qui font crédit,délateur style"Vichy",bateau rescapé des plans de restructuration,telephone mobile connais pas!
    La générosité n'y est pas militante mais va de soi.La police est bien de notre époque,mais l'intervention d'un commissaire misanthrope qui se fond progressivement dans ce "havre" la rend inopérante.Inopérants aussi les services de l'immigration dont le seul outil est un volume du code civil...Préfet déterminé en paroles(on ne le voit pas),mais qui confie une mission"capitale"à ce commissaire dont la compétence dans ce domaine n'est pas avérée.
    Un film lent,véritable fiction qui règle un problème d'immigration en dehors des acteurs traditionnels(passeurs,associations,état...).Ce n'est pas passionnant,mais à l'image du commissaire on peut en sortir un peu plus humaniste.
    Fabouille93
    Fabouille93

    3 abonnés 43 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 30 décembre 2011
    La critique professionnelle étant unanime, je me suis risqué à aller voir ce film (la bande annonce ne m'avait pas emballé...): je me suis ennuyé pendant 1h30! C'est mou, sans originalité, poussiéreux, filmé "à l'ancienne". Le jeu des acteurs est catastrophique (mais il paraît que c'est fait exprès!). Beaucoup ont quitté la salle avant la fin:je les comprends!
    marseyopolis
    marseyopolis

    18 abonnés 259 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 30 décembre 2011
    Quelle daube !!!… et quelle prétention !… Quel ennui, surtout. Qu'est-ce que nos intellectuels poussiereux peuvent bien trouver à un tel ramassi de banalités mal filmées et si mal jouées?
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 30 décembre 2011
    Ce film émouvant d'un petit garçon qui rencontre un vieil homme sur le point de perdre sa femme...
    mlaujoly
    mlaujoly

    13 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 30 décembre 2011
    “ Le Havre ou le retour de "Little Bob". Conte sympatoche...Et comme d'hab un Léaud vilain pas beau, au sens propre et figuré! ”
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 29 décembre 2011
    « Le Havre », ou le film que l’on aurait aimé aimer. Un film social et plein d’espoir, comme on a pu en voir un récemment avec « Les Neiges du Kilimandjaro » ; un film engagé sans être manichéen, à l’inverse du grossier dernier film de Cédric Klapisch ; un film certes plein de bons sentiments, mais moins populiste qu’ « Intouchables ». Malheureusement, Aki Kaurismäki rate le coche et signe un film frustrant et agaçant. La séquence pré-générique était pourtant prometteuse : Marcel Marx cire les chaussures d’une sorte de mafioso italien qui se fait descendre hors-champ quelques secondes plus tard. « Au moins, il a payé ! », s’exclame Marx avec une ironie teintée de bon sens. Si « Le Havre » avait continué sur cette lignée d’humour grinçant, son propos, au demeurant maintes fois rabâchés ces dernières années dans le cinéma français (« Welcome », de Philippe Lioret, en est l’exemple le plus flagrant), aurait eu plus de force. Il n’en sera rien.
    Il est fort probable que Kaurismäki ne s’y connaisse pas plus en spécificités françaises qu’un réalisateur français moyen en spécificités finlandaises. Ainsi, tout n’est que fantasme dans Le Havre, aussi bien dans la ville que dans le film. Et ses fantasmes datent un peu : en bon cinéphile qu’il est, Kaurismäki nomme ses personnages Arletty ou Becker. Comme on est au Havre, et qu’un certain Claude M. y a peint « Impression, soleil levant » il y a près d’un siècle et demi, un autre personnage s’appellera Monet. Pour le cireur de chaussures, on ira chercher en-dehors de nos frontières : Marx, rien que ça ! Même son casting traduit un goût certain pour l’ancien, et c’est ainsi que Kaurismäki va nous ressortir deux grands noms du cinéma français des années 60 : Jean-Pierre Léaud, l’icône de la Nouvelle Vague, et Pierre Etaix, réalisateur et acteur qui aurait pu (dû) être l’égal de Tati si ce n’avait été de malchances financières qui ne furent pas de son ressort.
    Tout est vieux, donc, dans « Le Havre », et tout y est également cliché et déjà vu. Notre Marx national est évidemment un homme pauvre mais bon, tout comme son amie la boulangère, son amie la tenancière de bar, son ami l’épicier, son ami clandestin vietnamien… Le film aurait pu s’appeler « De la générosité des petites gens ». En face, on a les salauds emblématiques de la France, traquant les Congolais presque comme des nazis : les flics. Et qui dit nazis dit collaboration : Léaud incarne un personnage identifié comme « dénonciateur » dans le générique de fin : de fait, ça lui correspond parfaitement, car sa seule caractéristique est de dénoncer le Juste Marx cachant le jeune Idrissa. Pourquoi fait-il ça ? On n’en saura rien, mais il le fait. Enfin, entre les gentils et les méchants, on a Monet, le commissaire, incarné par un Jean-Pierre Daroussin tout de noir vêtu, apparemment odieux, cynique et misanthrope, mais qui, en fait, aidera Marx dans sa noble quête. On peut donc être flic et bon, même si ça ne saute pas aux yeux.
    Même en étant de bonne humeur, difficile de se sentir concerné par une histoire cousue de fil blanc. Difficile également de s’intéresser à l’autre histoire, celle de la femme de Marx, atteinte d’une vilaine maladie dont on taira le nom. Le film finira bien, dans les deux cas : le film a été vendu comme un « conte de fées social ». Soit, un peu d’optimisme ne fait pas de mal, mais on demeure quand même très loin de Chaplin ou de Capra. Déraciné de sa Finlande, Kaurismäki y perd aussi bien sa puissance narrative que formelle. Et « Le Havre » n’est qu’un médiocre petit film bien français.
    Thomas D.
    Thomas D.

    20 abonnés 171 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 30 décembre 2011
    Une fable,un conte ou encore une comédie sociale. C'est originale, déjà vu certes mais pas avec humour, Welcome et Eden à l'ouest, par exemple sont des films tristes sur les clandestins. Voilà un film optimiste sur un sujet triste. La façon dont les acteurs parle, on dirait sans aucune émotions, je trouve sa drôle moi pas ridicule comme les autres critiques que j'avais lu. Bon, bref à voir.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 9 janvier 2012
    ce film est vraiment un navet de chez navet.
    faire passer harfleur pour calais chapeau.
    melange d'epoque .
    Adri P
    Adri P

    11 abonnés 294 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 29 décembre 2011
    Sincèrement désolé de devoir mettre cette note á un film français qui se veut différenciant mais... j`ai trouvé le havre trés mauvais, le scénario, les dialogues creux, un jeu d`acteur qui doit être volontairement mauvais, quand je vois les autres critiques, je me dis que je suis passé a coté d`un truc mais apres réflexion je suis surtout passé á coté de la bonne salle. Dommage le synopsis m`avait mis l`eau á la bouche
    pierre72
    pierre72

    126 abonnés 367 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 28 décembre 2011
    Je le dis tout de go, j'ai détesté le dernier film d'Aki Kaurismäki "Le Havre". Oui, je sais, il y a en ce moment dans la presse une pub pour lui, où claquent : "Un enchantement"" ou " Lumineux" ou encore "Magistral". Je sais que toute la critique française et même mondiale crie au génie, que c'est parait-il un pied de nez à la politique de Claude Guéant, que le réalisateur finlandais a réalisé un bijou d'irréalisme mais je persiste, pour moi, c'est une grosse daube.
    D'abord, il y l'histoire, du genre bien pensante mais traitée façon conte : Oyez bonne gens comme la police française est méchante avec de pauvres et gentils sans-papiers. Regardez comme de pauvres français peuvent être bons alors qu'ils vivent avec trois fois rien...Il y a Marcel Marx, un gentil cireur de chaussures qui va prendre sous son aile un brave petit clandestin, aidé de ses amis la boulangère et l'épicier. La femme de Marx, Arletty, doit aller à l'hôpital pour essayer de soigner un mal vraisemblablement incurable et est donc totalement inopérationnelle dans la lutte contre Monet, le méchant policier et un voisin collabo, qui voudraient faire reconduire fissa le jeune Idrissa à la frontière qu'il n'aurait jamais du franchir.
    Raconté comme ça, cela peut sembler intéressant. Et puis un film de plus pour déplorer la politique actuelle d'immigration, c'est toujours bienvenu. Seulement, ici, le traitement façon Amélie Poulain à la sauce finlandaise est dur à avaler. Je veux bien que la magie du conte nous fasse cohabiter des taxis Peugeot 403 avec des téléphones portables, que des policiers bien d'aujourd'hui se garent à côté de R16, que les épiciers présentent leurs légumes sur des carrioles à roulettes alors que les centres villes regorgent de CIC et autres Pimkie.
    Ensuite, il y a les acteurs, à qui le réalisateur leur a demandé de "ne pas jouer pour acquérir une image raide et autoritaire".Ainsi, chaque fois qu'André Wilms ouvre la bouche, c'est pour proférer une sentence pompeuse sur un ton tellement faux que l'on oublie quel bon acteur il peut être. Quand apparaît Jean Pierre Léaud, on a l'impression qu'il est doublé. Peut être était-il trop juste pendant la prise et qu'au montage on a préféré lui adjoindre cette voix idiote... Mystère. Quant à Kati Outinen, elle lache ses répliques avec application, c'est phonétiquement parfait, mais on n'a pas du avoir le temps de lui donner le sens exact. L'avantage pour elle, c'est que cela lui est facile d'être au diapason avec ses partenaires, tous plus faux les uns que les autres.
    Tout ça, pour moi décrédibilise totalement le propos avec, ajouté à cela, une image particulièrement laide (mais je ne doute pas qu'elle a été énormément travaillée et pensée) qui surligne le propos de manière redondante. Ils sont pauvres donc tout doit être laid, misérable et minable.
    Cerise sur le gâteau, nous avons droit à une chanson live, en entier, de Little Bob Story (?!), "le Presley de ce royaume" dixit Aki Kaurismäki, car figurez-vous que ce pauvre cireur de chaussures, organise, à ces moments perdus, des concerts de rock!!
    La suite sur :
    http://sansconnivence.blogspot.com/2011/12/le-havre-de-aki-kaurismaki.html
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 28 décembre 2011
    Je ne connaissais pas le réalisateur... je n'y suis donc venue que parce que les critiques m'y ont encouragée... je n'aurais pas dû...
    J'ai préféré quitter la salle. Non, ce film n'a rien de poétique.. il dessert son propos, nuit à la ville, nuit aux clandestins (oh ! la vilaine horreur de voir l'enfant porter le sac du cireur de chaussures... une fois que ce dernier lui montre qu'il va le prendre en charge... oh ! l'horreur d'entendre le cireur lui dire "mais c'est que tu viens d'un milieu cultivé... parce que l'enfant lui répond que "son père est professeur")
    De qui se moque-t-on ? comment peut-on trouver encore une fois de l'argent pour faire un tel film ?
    En quoi ce film serait-il humaniste ?
    à zapper haut et fort.
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