Avis : The Tortured - Page 3

Film a petit budget. Tous se joue sur lhistoire (et encore), rien de bien severe comme l'annonce le titre. Il faut bien attendre 40 min pour entrer a peine dans le film. En plus, totalement irrealisable lhistoire. Ne vous enbettez a regarder ce film, grosse perte de temps, desole.

7/20 : Dans THE TORTURED, la mise en scène est assez pauvre mais ce n’est pas ce que nous reprocherons principalement à ce film. Tout d’abord, le couple interprété par Jesse Metcalfe (que certains auront pu découvrir dans la série Desperate Housewives tenant le rôle du jardinier de Gaby) et Erika Christensen sont crédibles en tant que parents brisés et anéantis suite à la perte de leur propre enfant, âgé de six ans. Celui-ci a été kidnappé et tué par un psychopathe. Ses parents, outrés par la peine insuffisante reçue pour le meurtrier et souhaitant la mort de celui-ci, décident de faire justice eux-mêmes en le séquestrant et en lui faisant affliger d'insoutenables souffrances. Les reproches, la culpabilité, le doute, la haine et l’injustice sont très bien évoqués et démontrés dans THE TORTURED. Cependant, le film manque de crédibilité (lors d’un accident de voiture fatal, le père de famille s’en sort indemne alors que l’avant du véhicule a été totalement broyé) et la fin est bâclée et tirée par les cheveux. Dommage que THE TORTURED s’achève de manière très décevante, car celui-ci avait pourtant de bonnes idées.

un film écœurant, qui marche sur les traces des Saw et autres films de torture, mais dans le versant malsain de la démarche, sans forcément comprendre ce que Saw peut avoir d'ironique

La vie d’un jeune couple s’en retrouve brisée le jour où un pédo-criminel du nom de John Kozlowski kidnappe leur fils Benjamin. Ce dernier sera retrouvé mort quelques jours plus tard et son assassin condamné. Mais le jugement ne satisfait pas les parents (condamné à 25ans de prison) et ces derniers décident de kidnapper à leur tour le tueur pour lui faire subir les atroces souffrances qu’il a lui-même fait endurer à leurs fils.

Six mois après le très réussit Les Sept Jours du Talion (2010) de Daniel Grou (aka "PodZ"), une seconde adaptation du roman "Les Sept Jours du talion" de Patrick Senécal a vu le jour. La première version était québécoise, elle avait fait le tour des festivals et n’était pas passé inaperçu. Bien évidemment, il fallait que les américains s’en emparent pour en faire leur propre adaptation (pas foutu de distribuer la version originale sur le propre sol, en l’absence d’acteur connu, des dialogues au compte-goutte et sans la moindre musique, clairement cette excellente adaptation n’aurai pu convenir à un public habitué aux blockbusters balisés et prémâchés, bien trop loin des standards habituels).

Résultat, on retrouve l’inconnu Robert Lieberman (Visiteurs extraterrestres - 1993) derrière les manettes de cette « libre » adaptation du roman (dont bon nombre d’éléments ont été remplacés). On passe ainsi d’un rape and revenge à un banal torture porn, le tout étant clairement dénué d’un quelconque intérêt et filmé par un chef op’ aux abonnés absents (l’image est bien trop sombre, illisible et cramé au sépia). L’intrigue quant à elle est bâclée à la va-vite, si bien que les parents se transforment en bourreaux avec une facilité et une aisance déconcertante (question crédibilité, on repassera). Quant aux acteurs, on retrouve le fadasse Jesse Metcalfe (le jardinier dans la série TV Desperate Housewives) & Erika Christensen dans les rôles principaux, l’ennui c’est qu’ils sont clairement dépourvus de talent et cela saute aux yeux constamment.

Bien que le film ne dure pas plus de 80min, on a largement le temps de trouver le temps long et ce n’est pas pseudo twist-ending final qui viendra sauver l’ensemble.

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Malheureusement, The Tortured manque de profondeur et n'apporte pas de nouveautés dans le cinéma. C'est un film classique, comme un autre, avec un petite dose d'hémoglobine pour ceux qui voulaient en voir. On l'oubliera vite.

Mais que c'est mou du genou. Déjà l'action met des plombes à démarrer pour bien camper une histoire qu'on avait parfaitement assimilé en 15 secondes. La pub laissant penser à un "torture movie" tendance "saw" ou "hostel" est survendue, les adeptes du gore auront bien du mal à y trouver leur ration. Quand à la tension dramatique et au suspens ils sont à peu près aussi présent que dans une pub pour des haricots verts surgelés. Gros gros ratage. 1 / 5

Ça c’est un vrai film de torture, à des années lumières de Les 7 jours du talion en terme d images. Plus proche d I spit on your grave que d Œil pour œil, ce long métrage se montre insoutenable et très prenant, on est accroché de bout en bout, même s il parait de temps à autres quelque peu incohérent. Un enfant décédé suite à une captivité douloureuse et pleine de torture, un meurtrier mal puni et deux parents à la recherche d une paix intérieure, ce qui donne The tortured, la meilleure œuvre de Lieberman. Beau à voir, à entendre, et à analyser, un vrai film d exploitation a voir par ceux qui n ont pas froid aux yeux. Je le déconseille aux moins de 16 ans. 4/5

Après un début qui relève davantage du drame et très lent (j'ignore si la faute revient au jeu d'acteur ou aux dialogues, mais le couple ne parvient jamais à nous faire éprouver leur chagrin), on bascule vers du "torture porn" très soft. Ce qui manque cruellement à ce film, au final, c'est de la profondeur. Tout est un peu survolé, ce qui fait que les acteurs ne nous transmette jamais aucune vive émotion : ni effroi, ni chagrin, ni surprise. Et pourtant, la fin est très intéressante d'un point de vue psychologique et porte à la réflexion sur les notions de vengeance, de bien et de mal.

Long à démarrer, difficile d'accrocher à ce film....

Vraiment bien aimé ce petit film de torture où on se dit "ça pourrait nous arriver et on aurait certainement le même esprit de vengeance".Plutot bien foutu avec des scènes de torture sympathiques et un final génial.
Mais bon malheureusement trop court (1h12 tout de même) et peut être un copié-collé des "7 jours du Talion" (que je n'ai d'ailleurs toujours pas vu).
Ce film n'est pas exceptionnel et pas destiné à être culte mais on passe un bon moment.
Et mention à Erika Christensen qui est sublime

Très typé SAW (ou clin d'œil ?), La mise en place est superbe, les contradictions des personnalités également, l'esprit torturés des parents est également très bien mis en scène, seulement, la fin est bâclée, et c'est bien dommage ! Cela se finit avec une pirouette attendue et on reste sur sa fin !!!

Pas très lieber le Lieberman avec The Tortured ! M'enfin, qu'importe le nom de famille, on n'est pas franchement là pour en débattre. Par contre, on va parler du film, du moment qu'on y est. Alors Droogie, il a été produit par la clique de Saw et ses potes, et il en est fait la mention partout sur la jaquette. Avec ça, on peut être sûr de ne pas avoir affaire à un N'oublie jamais !
Ouais mais, qui dit être labellisé Saw, surtout pour les 6 derniers, n'est pas franchement gage de qualité...

Après l'enlèvement puis l'assassinat de leur fils, un jeune couple décide de récupérer le meurtrier alors qu'il est conduit en prison, pour le mener dans une baraque de campagne à l'abris des regards, et l'y torturer jusqu'à ce que mort s'ensuive. Le synopsis est aussi simple que ça.

Alors au final, qu'en est-il de ce film ? Alors déjà c'est court (et c'est tant mieux), et ensuite, bougrement mal interprété. Didiou, on a vraiment affaire à deux parents qui ne rentrent jamais dans leur personnage, et le plus mauvais dans l'histoire, c'est que ça se voit à l'écran !
Passé cela, le scénario est aussi facile que le synopsis, jusque dans son dénouement. Ceux qui jouent les étonnés par le twist, faites-moi rire ! Plus prévisible que ça tu meurs !
M'enfin, y a deux, trois scènes de torture sympa, pour les quelques sadiques que nous sommes, hormis cela, pas grand chose à en tirer.

Côté réal', c'est la sauce classique, qui conduit au montage classique qui lui-même conduit aux cuts classiques pour que les scènes fassent inévitablement plus dark ! Ouais... M'enfin, si on se penchait davantage sur l'aspect humain de la chose que sur la volonté exaspérante de balancer de la tripaille devant l'écran, peut-être que le film serait un peu plus consistant. En attendant, The Tortured est relégué au rang du divertissement quand-on-n'a-rien-d'autre-à-foutre, et ça, c'est pas glorieux.

énième film de torture qui ne vaut pas franchement le coup de perdre 1h30 de son temps... sauf si vous patientez jusqu’à la fin...

J'ai eu du mal à trouver Jesse Metcalfe crédible dans le rôle du père responsable et attristé. Ses précédents rôles ou son physique, apparence trop jeune, trop "minet" peut-être. L'indécision, le revirement successif des parents est agaçant, 1fois d'accord ; 2 fois, mwoué ; 3 fois on se demande si le réalisateur se moque de nous. Le film est relativement sobre, pas d'ultra-gore. Après oui, le titre du film annonce la couleur, mais sans excès. La fin du film fait la différence, sans elle, je ne lui aurait donné qu'un 2.

Il s'agit d'un film mal foutu simplement réalisé pour mettre en place de nombreuses scènes de torture sanglantes. Il y a aussi trop de clichés dans ce qui est un film assez inutile. Insipide et sans imagination. Un travail de caméra ennuyeux, un mauvais jeu des acteurs et un complot ennuyeux et prévisible. Ce film essaie d'être Saw, mais il est terne et même les scènes de torture sanglantes n'ont pas aidé. Sans intérêt...